Lu ici :
"le gouvernement [] à peine installé a donc appliqué la manière forte. Le ministre de l'intérieur a lancé un coup de filet qui a conduit à l'arrestation de 400 immigrés clandestins roms, mais également marocains, albanais, nigériens ou tunisiens.
Et l'exécutif n'entend pas en rester là. Il a annoncé une série de nouvelles mesures :
- restriction des visas de tourisme pour les roumains,
- allongement de 2 à 6 mois de la durée de permanence sans jugement des immigrés clandestins dans des camps de détention provisoire,
- durcissement des peines pour des petits délits comme le vol en appartement,
- requalification de l'immigration clandestine d'infraction en délit pénal".
Fausse joie, cela se passe en Italie qui démontre que, malgré les cris d'orfraie de l'UE, il reste encore une petite marge d'initiative aux pays qui le veulent bien.
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