Magazine Humeur

Le nouvel truc à tract!!!!

Par Basicinstinct82

De toutes les vertus que l’on puissent rêver, cultiver, répandre, et solliciter, lorsque, le désir combiné à la volonté, de transcender, les divergences de vue, la nature complaisante du repli identitaire et communautaire, la primauté non justifiée des uns sur les autres, et la décadence inacceptable et enclavée, de l’approche et la rationalisation des procédés de gestion déjà expérimentés, en cours d’exécutions ou encore, ceux balisant la marche de la Guinée vers son devenir, nous font jaser au rythme des réactions intempestives, des déviations doctrinales, de la crise de confiance, de l’inconsistance et l’incohérence, des décisions, l’incrustation et l’immersion de l’élite dans le canevas de la déperdition, et l’inscription quasiment absolue, du pouvoir dans le creux de la déconvenue inexprimée,  il va de soi et vue la contingence des valeurs et ce qui précèdent, que les vertus les plus usitées et autrement les plus partagées, peuvent demeurer hors de portée, en ce sens que, nous arpentons la marche vers l’avenir avec pour seul principe, s’il en faut, un axiome s’articulant au tour de trois critères fondamentaux, à savoir: Pensée-Action-Résultat.

Ainsi d’une approche pluridisciplinaire à une approche technique, domaniale et sectorielle, on aboutit à une franchise, qui sera fait de dérapages, et manquements avérés et susceptibles de refluer dans le cahier des charges futures. Une approche qui loge, l’ensemble des présupposés techniques et les analyses scrutatrices, dans le moule de la crédulité, quoi que, l’ensemble des données prééminentes, à la naissance d’un état de droit, laissaient pointiller, la gestation d’un espoir nourrit, une largesse d’esprit, une marge de manœuvre, pour le président élu, de surcroît, à tendance consensuelle, mais hélas, nous voilà, de nouveau, les yeux rivés, non pas, à l’interaction des forces du progrès, l’émulation et la compétition politique, toutes, inhérentes à l’existence et la consolidation de la démocratie, mais tout au plus, à la solde, des injonctions puritaines, qui font ressortir le pouvoir du cadre de son exercice institué, voulu, habituel et normal.

En conséquence,

Le tracé des directives économiques,

La réévaluation des capacités institutionnelles de l’état,

L’harmonisation de la législation aux réformes entamées,

Le redéploiement des ressources humaines,

la redéfinition des attributs et prérogatives, y compris l’octroi des moyens d’action, un nouvel système de dotation budgétaire des collectivités et des différents services de l’état, obéissent, indiscutablement à la règle de la parité et se trouvent un terrain de convenance, quand les règles d’observance politique, de suivi et d’évaluation, des dites réformes, ne souffrent, du cloisonnement des méthodes et procédés, sur fond de crispation, d’une forme révolue et compromettante de souscrire aux principes républicains, la valse et la porte ouverte à la pseudo consécration et la confiscation pure et simple du pouvoir.

Partant, nul ne saurait persuader, le commun des mortels, qu’à ce rythme, nous puissions, atteindre 50 % de nos objectifs de développement, voir de stabilisation économique, si ce n’est macroéconomique et structurelle en 5 ans, vu que le doute se voit permis de trôner au summum des préoccupations, du fait de l’opacité et la nature largement discursive, des actes posés. Par delà, ces aspects, annonciateurs d’un futur parcimonieux, à saisir et cerner, avec des aptitudes selon les cas de figure, l’on sait la Guinée, acquise à la cause de la solidarité et du socialisme, pour avoir été enivrée, pendant des lustres, par une doctrine, censée accroître la collectivisation des moyens de production, l’omniprésence de l’état dans la sphère de la production, la centralisation économique, et administrative, édulcorées par une démocratie de type populaire. Un passé certes lourd à drainer et difficile à traire, des habitudes d’une population, aussi bien du point de vue, comportemental, mental, psychologique que social, mais nullement impossible, pour une élite, vivant au creux et au sein de l’imaginaire de son peuple, ayant pour sacerdoce, de relever le défi contre la pauvreté, l’ignorance, le mal être endémique qu’est le sous développement, encore moins, pour un leader, qui s’est estimé tout au long de son parcours et de sa vie, habité et guidé par un seul et unique, combat, dont il ne veut recevoir de leçons de personne, à savoir, conférer à son peuple si longtemps resté dubitatif à son égard, décence, prospérité, bien être.

Telle une défiance, au corpus des actes constitutifs de la

marge d’ascension, sclérosée par les données non pré

requises, mais dissimulées au fur et à mesure, que l’onction

des valeurs didactiques se veut ponctuelle et (telle une

défiance, aux multiples  tentatives disparates,

disproportionnées, souvent érigées en paravent disculpé, de

sceller le glas, à la déchéance, laquelle s’octroie, par

la jonction des faits endogènes et exogènes, une duplicité

technique, factorielle, et illustratrice, d’un état en

déliquescence de son embryon à sa forme la plus élucidée,

la rhétorique habituelle d’infléchissement des pratiques et

procédés s’en prend ainsi sans relâche à l’hérésie

frénétique, apparent au sommet de l’état, avec à la clé, une analyse ostentatoire de la difforme préoccupante de la

monnaie, une approche de la politique qui préfigure celle

des masses, voyant la définition et l’orientation qui se

profilent à l’horizon et une prospective croissante des

agrégats économiques.

Ceci étant, les enseignements à tirer, des tractations en

cours, en vue de bâtir une plateforme collégiale de gestion

du pays, allusion faite, à la profusion d’informations sur

le net prétextant, "Guinée58"non soutenant même de

multiples entrevues, entre le président de l’UFR et

l’actuel président de la république, relatives à la

probable formation d’un gouvernement d’union nationale,

s’il ne se révèle hypothétique, restent à la fois largement tributaire d’un désir non reproductif du schéma de  configuration, comme on en rêverait et souhaiterait, pour

une jeune démocratie, mais aussi et surtout au summum,

d’une réalité latente, celle de la résorption rapide des

préalables, à l’amorce d’une politique de relance et de

redressement économique, lorsque, l’économie, paraît comme

la principale source d’extinction des difficultés majeures,

leur cloisonnement et leur inscription dans le cahier des

charges des gouvernements successifs.

Ainsi la Guinée, devant cette situation qui laisse présager

une possible cohabitation entre les deux formations

politiques, gisant au creux de deux tendances différentes,

risque fort de se heurter à une confrontation, entre le

choix différé de l’option libérale et l’entame d’un régime,

naît sous la coupole du militantisme, par extension du

communisme, voyant que les initiatives privées, la création

des structures palliatives et l’homologation de toutes les

unités de recherches, à titre d’exemple, ne sont pas délimitées et englobées, par une politique globale. Ce qui aurait pu éviter, que l’on se penche sur un rassemblement de toutes les forces politiques, au sein d’un gouvernement dans le seul but, d’éradiquer le problème de la mal gouvernance, la pauvreté et le sous développement, fort d’un principe selon lequel, l’élection au suffrage universel, inclue aussi bien la responsabilité que la capacité d’action, d’où, elle s’est vue assortie d’une sanction, conférée par les urnes.

Pour l’heure, la déduction de l’organisation des élections

législatives, de la capacité institutionnelle à gérer et à

la finalisation, de la transition couronnée de la gestation et l’illustration d’une configuration assez imagée, équilibrée des pouvoirs et institutions, discréditent la thèse d’une gestion apaisée et réussie du pays, lèvent même le voile sur les aptitudes des protagonistes, tout en laissant libre courent aux injonctions invétérées, aux oppositions stériles, aux dysfonctionnements avérés et prouvés des institutions, lorsque l’interaction des pouvoirs est effective. De là, à imaginer, contrairement au pigiste de "Guinee58" que la présente démarche tend à dissiper toutes velléités tendancielles futures à l’opposé de S Touré, en lieu et place de sa crainte de se révéler inéligible dans 10 ans, vu qu’il sera septuagénaire, n’est plus qu’une logique qui s’offre aisément à la matière grise.

Autrement, la preuve du souci que manifeste Alpha Condé, pour conduire son mandat à son terme, avec les règles de l’art, doit, à mon sens, trouver son expression dans sa capacité à impulser et forger un nouvel élan, et proposer au regard de ses années d’opposition, une politique qui magnifie sa vision du pouvoir, fait planer la transparence et le savoir-faire, sur toutes autres considérations, ne faisant pas fies de concepts au service de la cause.

Plus loin, dire que S Touré, veuille appartenir, au gouvernement de Alpha Condé, n’est en soi, que l’affirmation d’une volonté émanant d’un leader de surcroît en adéquation avec son parti, mais non la souscription garantie à un mode de gestion qui réponde aux exigences, que l’on est en droit d’en attendre, à en croire, aux élections présidentielles, faites sur la base de programmes de sociétés, non l’appartenance régionale, à moins, que les révélations futures au sujet de cette élection, nous démontrent le contraire. Quoi qu’il en soit, l’homme assume son avenir et fait face aux fluctuations d’une vie politique, qui n’ont que trop laissé, déboucher des brèches, nivelées au lieu de pics au creux de l’électorat, bien que l’élite, fût acquise et conquise, depuis que le nom fait figure d’une référence.

A la visée d’une sommité improbable, un déclic psalmodié à l’image du souffle tempéré, une prise à partie mal pourvue et finalement, un laps d’ardeur consacré en vue de ne ménager que la partition subséquente au devoir, la décrispation de la chaîne de résolution des substrats économiques, sonne comme un butte à tout, si elle ne veut se révéler dans le creux de l’incapacité active, de l’incohérence déstructurant, et la lassitude profanatrice des règles et principes, qui sied aussi bien à la promptitude et à l’urgence, qu’à la régulation, la planification, et une forme de symbiose vouées à cumuler de part et d’autre, les options évolutives en contrat profond avec la spécificité qui ressort de, et fonde, notre modèle paradoxal de développement.
A ceci près, devant une large perception de la gamme des paramètres à contenir pour stopper la dépréciation de la monnaie Guinéenne, contenir l’inflation qui culmine sans cesse, au delà, des deux chiffres et relancer une croissance, qui vacillait  aux alentours environ de 5%, une moyenne annuelle au cours des années 1990-2000 et qui de nos jours, peine à atteindre 2% du PIB, l’émergence de la nécessité d’une cure de jouvence, pour remettre à flot, les caisses de l’état, s’impose, interpelle et alerte au demeurant, les acteurs à la fois économiques et de tous bords, à pallier, à une déficience accrue, du pouvoir d’attractivité, d’impulsion et de remodelage, du cadre législatif à l’observance du panel constitutif des doctrines structurantes.
Sur le plan du budget en son volet investissement, il est plus que regrettable, que l’accroissement du déficit budgétaire, n’ait pas été consacré aux investissements des grands travaux, et dans la production de biens et services, de sorte à créer de l’emploi, stimuler la demande sur le marché local, car, en confortant l’offre, on réduit le poids de l’importation sur la réserve des changes, et promeut les produits locaux, dans le but de relancer la croissance à partir de l’investissement intérieur. A savoir que la seule solution qui vaille, et qui mette à l’abri tant soit peu, de la conjoncture et prémunit contre les effets pervers d’une récession ou d’une crise, réside dans la productivité locale.
Quoi que ces dernières années, on ait procédé croit-on de bonne foie, à une augmentation salariale à Conakry, mais d’entrée, non compensatrice des errements du levier de la croissance, au regard de l’évolution de l’indice des prix à la consommation sur place, gisant sous le poids d’une inflation tirée et entretenue apparemment par le coût. Ce qui n’a occasionné l’éclatement d’aucune bulle dégressive de la ponction remédiant à la déchéance.
Donc, aucun effet immédiat, n’a pu en résulter, sauf que le problème s’est posé en d’autres termes, à savoir: la flambée du prix du pétrole, dans un pays qui présente des déficits en tous genres, car au lieu, de localiser, les secteurs, dont le subventionnement cautionnait la survie même de l’état et confortait au quotidien la vie de la population, tels que les transports publics, l’état s’est lancé dans une course folle à la prédation, croyant que la force  publique suffisait à elle seule, à ramener à de meilleurs sentiments les agents économiques du marché parallèle des changes.
Ainsi, en faisant venir d’entrée, une société de transport public, on baisse le coût du transport de sorte à dégraisser le budget des ménages consacré au transport, afin qu’ils réorientent cet excédent vers la satisfaction de leurs besoins, sur le marché local. Là, on aurait vu se répercuter sur l’épargne des ménages, l’augmentation salariale.
Partant, l’effort de stabilisation économique, doit se situer à la fois, en amont et en aval, des décisions qui l’accompagnent, et surtout une bonne compréhension du comportement des consommateurs.
Quoi qu’il en soit, les défis de la relance économique, sont de loin, ceux scruter pour l’heure, pour le simple fait, que la marge de manœuvres conférée aux nouveaux dirigeants, semblait à la hauteur du défi. Pour cause, les fonds des audits, des sources d’évasion fiscales détectées, des postes fictifs de la fonction publique et des créances de l’état, devraient immédiatement être affectés, pour la constitution d’un fonds spécial dédié à la réforme et à la restructuration, éventuellement pour doter de caisses de fonctionnement toutes structures mises en place, pour le redressement et la stabilisation. C’aurait été, une décision rapide, courageuse et pragmatique pour booster hors du cadre morose, les structures économiques…etc.
Sur le plan de l’agriculture par exemple, un impératif s’impose, c’est non seulement l’assistance technique aux producteurs locaux à travers la mise à leur disposition d’une ingénierie fiable, mais aussi et surtout, la création d’une filière, qui doit utiliser des entrepôts locaux, préfectoraux et régionaux, pour le regroupement à des fins d’achat, de la production locale et son drainage vers les marchés pour leur écoulement. Une piste sérieuse pour décloisonner la production locale.
N’est ce pas un nouvel truc à tract? D’après Corneille dans le cid, je cite" Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années".

Bien que la retenue, la clairvoyance et une certaine dose de maturité, nous font élaguer, entre le doute, la suspicion et une incompréhension qui s’étendent de plus en plus, aux sphères, jusque là, imaginées, imperméables aux invectives érodées et sans avenant, aux indécisions et aux confrontations annihilant, l’œuvre collective, axée sur l’entame d’une nouvelle ère, en vue de consolider les acquis arrachés à la suite de hautes luttes, et au prix du sang de ceux qu’on apprendra désormais à appeler, les martyrs, il est et il demeurera, un impératif absolu, pour l’élite politique, en particulier, et celle intellectuelle en générale, de veiller aussi scrupuleusement que la nature des faits jalonnant notre évolution historique, et la logique résultant des données, scrutées,  nous en attribuent le sens, au respect des clauses de la compromission et surseoir les dérives, impropres, à générer l’idéal collectif de sursaut, lorsqu’il faut dépasser les clivages habituels et parer aux éventualités dont les diverses improbabilités, nous plongent dans le creux de la déraison, sèment la désolation et nous renvoient au tréfonds de la déconvenue, source avérée d’implosion sociale, de crise politique et de stagnation économique.

Ainsi, la Guinée et les Guinéens, se croyant dispensés de toute obligation de remodelage, de nos structures politiques et institutionnelles, notre modèle social erroné et désuet, y compris, d’observer les règles strictement célèbres de par leur propension à faire resurgir, une plateforme de gestion conséquente et rationnelle, à l’aide des agrégats politiques, sociaux et économiques, suffisamment tripatouillés, nous jette de nouveau sur le terrain de la discorde, à tel enseigne que nos anciens démons, ceux hérités des périodes les plus fastes, que ceux, acquis pendant les périodes les plus sombres de notre histoire, refont jours, planent sur les perspectives en vue, cloisonnent les ardeurs et confinent même les relents, dans le canevas, pseudo convenances.

Pour mieux, que je me fis, l’abstraite illusion d’avoir suggéré la primauté, de l’action au détriment de la plénitude des subjectivations relatives à une conception rabougrie, dénouée du sens voulu, pour indénombrables, paraîtront, les prises de position désobligeantes, ayant entraîné, la dégringolade, et le confinement des aspirations de toute une nation, en lieue et place, d’une transition appelée de tout vœux, à demeurer  un rempart absolu, contre l’ignominie et les dérapages en tous genres.

Sur ce, que Tibou Camara ou autres accusés, dans la tentative d’assassinat de Alpha Condé, montent au créneau de nos jours, pour en appeler à une gestion concertée de la Guinée et mettre en avant l’incompétence, et l’incapacité de ce dernier, à faire face aux défis majeurs, tels que la demande sociale, les problèmes économiques, afin  d’augurer un sens et une portée, aux accusations et les corroborer, du moins celles le concernant dans cette affaire, me paraissent, nous renvoyer, à la période pouvant être considérée comme celle des véritables prédictions, vue qu’elle offrait, une marge considérable de résorption, de prévention et la mise en place des jalons d’une gestion future, qui aurait prémunis contre, une dérive, inéluctable, de par la jonction des volontés et des procédés.

Pour peu ou proue, que j’élague l’étendard des soubresauts, les dispensent de la vertu domptrice de toute docilité, me ressasse la matière grise avec un de ses innombrables, préceptes politiques, creux et vestiges, de l’approche à dimension Africaine, de la déconvenue, les divergences conceptuelles et les incertitudes binaires des lendemains alliés à une conception corporatiste trop vénale, je ne parviens point, à me dissocier, du calque des injonctions, ayant fait entériner, galvaniser, et germer, l’idéal de scrutation collective des dérives, jusque là, entrevu, comme, le socle de la mauvaise gouvernance, et de l’impodérance des procédés, gisant du fait, sous le poids indétectable des affres, d’une opposition de forme, faisant à gré et à souhait, essuyer, un effroyable et larmoyant, effritement au fond du problème, quoi que (ce fond) s’articulant, autour des mêmes aspects et s’offrant aux mêmes panels de critiques et par delà, cet aspect, concomitant, d’une adhésion commune aux mêmes idéaux, à la même cause et au même combat, rien en l’état actuel de l’évolution politique et des prises de positions; encore moins, remontant, le passé si proche, si vivant et vivace, si prégnant qu’il fut, si impacté par l’élongation des oppositions antérieures stériles, voir stéréotypées, et dont les séquelles (oppositions), ornent encore l’esprit des vivants et des illustres témoins, du combat mené, au cours de la dernière ligne droite d’une conquête (les élections libres et démocratiques) unanimement auscultée comme celle de toutes les vertus, un combat pouvant être dénommé, comme, celui de la grandeur d’esprit retrouvée, reprise et refaite, sur la base d’une concurrence, établie selon, les seules règles, de la préséance et de la bienséance, sur fond de compétence et de légitimité; ne nous poussent à céder à la tentation d’une jonction supposée altruiste, mais non illustratrice, des quelques possibles et rares points de convergences, au regard de l’observance de la marge de résolution escomptée, et du postulat originel décliné en avant goût de l’entame, par chaque frange, labellisée, sous le sceau de la primeur, d’une mutation aussi bien qualitative, que quantitative, des agrégats sociaux, politiques et économiques.

Eh bien, en cela, rien ne me paraît souscrire, à la stimulation, comme sources, de la réticence maugrée, en hymne à la raison, y compris les apartés fait d’élucidations néfastes, à l’entente et à la cohésion sociale, tout au plus, un code de conduite, une approche, une méthodologie, et un engagement à n’altérer sous aucun prétexte, ne serait ce qu’extra technique, n’obéissant à aucune forme de reniement, à la logique pérenne de circonscription des aléas qui se font jours à l’image du script de toute gestion collective, d’une onction suffisamment et prétendument actées comme une présomption présumée pour les errements du futur, revue à l’image du chaos et des désertions doctrinales du passé, la stagnation,  du présent, le dédale, le manque d’élucubrations quand il faut surseoir le gouffre abyssal, et inonder les cris sociaux de désespoir, de déshérence, de frasques onomatopées, et enfin qu’attendre ou solliciter, du futur, devenant de surcroît, hypothéqué et imbibé, de ce fait, des procédés dérisoires, malfaisant, malencontreux, contraignant, des régimes s’étant succédés au perchoir et ayant réussi à accumuler et endosser, l’exégèse des responsabilités, dis-je toutes les responsabilités, revues et réappropriées, en débitant, l’arc des convenances et celui des confiances, en soudoyant l’ardeur populaire et en fringant de pétulance, le vouloir submergé des démons de la discorde.

Ceci étant, bien que les critiques qui fusent sur le toile, soient de natures à relever de passage, les marges in conséquentes du nouveau pouvoir à Conakry, de sorte à baliser son règne, pourquoi pas tenter, de le cerner soient au mieux, soient au dépourvu, il me revient, dans ce tollé dispatché, une conviction encrée et enracinée dans le creux de mes prises de positions et s’y adjoint, avec la seule et redoutable arme, dont l’origine explique, on ne peut mieux, ses pendants naturels actuels.

Ainsi, face aux injonctions, c’est à dire, celles de ceux de nos jours, voulant dissiper dans une fonction éparse, les obstacles qu’ils ont contribué à dresser résolument, obstinément avec une détermination farouche à occulter une approche consensuelle et qui cherchent à forger, inéluctablement, bon gré, malgré, leurs revendications dans le moule vindicatif, je me refais une marge non moins, conséquente, vue qu’elle cherche à nous renvoyer dans les primats des disjonctions, mais largement à la portée de la donne préexistante et dominante, de la plate forme actuelle d’infléchissement des directives d’un régime, phagocyté de travers par ses approches et travesti par l’élan qu’il s’est imprimé, rien que pour s’emparer d’un pouvoir, arraché de l’urne, avec amalgame, stupeur et torpeur, au point, qu’on a failli, assister in extremis, si les révélations s’avèrent vraies, à un assassinat politique, dont les dessous sont à la fois, enfouis et entourés du fameux secret de polichinelle des dernières élections présidentielles Guinéennes, dites transparentes et démocratiques.

Partant, moins un refus du ou une désertion à l’égard du champ d’expression du mérite, mais disons, plus l’impact d’un idéal inaltérable, de par sa fonction de redorer le blason, celle coercitive, d’innovation, de régulation, de renouveau et de moralisation, le nouveau régime de Conakry, attire par exemple, par sa propension à augmenter le budget de la présidence, rien que celui alloué à la caisse noire, c’est à dire, les dépenses privées du PRG, à hauteur de plus de 75%, alors chiffré à une dizaine de milliards du GNF, à l’heure où l’austérité, la discipline et la rigueur budgétaires sont de mises.

Pire, il paraît que le RPG se servirait des fonds de l’état, pour faire campagne, en les distribuant aux militants pour augurer faste et plénitude, à chaque déplacement de l’actuel président, (lire l’article, de Alkhaly Daffé sur Guinée58 concernant le voyage du PRG aux USA).

Outre, que ce fait, soit récurrent dans le paysage politique Guinéen, comme en font fois, les avantages, accordés au PUP, au temps de Conté, il ne saurait demeurer, un tabou pour les contemporains, encore moins, pour les politiques et l’élite de façon générale, de se voir, tôt ou tard, rappeler à l’ordre, et à la justification des financements de leurs partis politiques, de sorte à élucider les financements occultes, sinon justifier tout simplement, la gestion des comptes publics!!!

En lieux et places, de l’euphorie, la félicité, le contentement et le désir de jouissance extatique, des uns et autres, à l’égard d’un pouvoir, acquis, par une onction diversement, qualifiée à la fois, d’avenante à l’évolution politique des oppositions de principes, d’imaginaire, issue d’une contrainte à tout point de vue, et institué (le pouvoir) en référence, à un ordre longtemps, demeuré encré, dans la primeur à une aspiration inestimable, incommensurable, et vouée à transcender toutes les contraintes et obstacles et quoi que cette frange, soit sublimée au point de céder, sur toute la ligne, du socle fondateur des idéaux qui nous ont permis, d’amoindrir les dérives éparses des différents régimes, ayant présidés aux destinées du peuple de Guinée, circonscrire ces règnes, soient par des actions sporadiques de soulèvements populaires, soient par des actes d’infléchissement des directives et politiques gouvernementales, impropres à générer ipso facto, l’idéal collectif de progrès, de prospérité et de développement, il me restera infiniment gravé dans la cervelle; aussi longtemps que la primeur des actes à observer pour doter la Guinée d’une plate forme de gestion conséquente et à la hauteur des objectifs de développement, nous dicteront la saisine des règles primo définies comme incontournables, et aussi édifiantes que pourraient me paraître, la jonction et l’édification, des procédés sans lesquels, se prémunir, contre les errements du futur et ses élucubrations seront une vanité; que le recours à une méthodologie opérationnelle et pragmatique, nous feront accéder à un postulat de résolution, des difficultés et baliseront, pour autant que le sens se joint à l’action, l’élucidation de la problématique du développement, débarrassée, des immixtions sur le terrain des divergences stériles et l’alliance naturelle qui nous la rattachent, à coup de buttoir et à défaut de solutions, à la fatalité.

Ainsi, en repassant au crible, les différents postulats qui se dessinent sur le terrain politique, les oppositions nourries et la discorde élaguée de son mobile, on en reviendrait sans encombres, ni prise à partie, encore moins, des injonctions à but détournées, à revoir le discours du Pr Alpha Condé, prononcé le 23 septembre 2011, devant l’assemblée générale et un parterre de dirigeants politiques, d’hommes politiques, de diplomates des  Nations-Unies, y compris tous ceux de près ou de loin, se voyant impliqués dans et concernés par la recherche des solutions au processus de développement, sans oublier, l’illustration parfaite de ses pendants naturels, au sein d’une institution à dimension planétaire.

Partant, le discours, prononcé, quoi qu’obéissant à une tradition, aux origines mal élucidées, quand on veut privilégier, le symbole qui s’y accole, au détriment, d’un vouloir, ressuscité de marquer une rupture, telle qu’exprimée à travers la volonté de changement, nous aura permis, celui de Alpha Condé, d’en savoir un peu plus, sur les déterminations actuelles du nouveau PRG, articulées autour de sa vision politique, en ses grandes lignes.

Pour ainsi établir un rapport aussi étroit qu’ils nous auraient donné d’en déceler, entre ces déterminations et les grandes idées qui la caractérisent, je m’en suis donné pour devoir,  concomitamment, aux confrontations politiques en vue, les diverses prises de position et le postulat actuel, sous lequel le pouvoir se présente à Conakry.

Reprenant un inventaire des actions menaient de front par son gouvernement, à l’égard de tous les secteurs, pour éradiquer la pauvreté, combattre la corruption et les détournements de deniers publics, respecter les libertés fondamentales et les droits de l’homme, bien que ne devant nullement figurer, à l’agenda de son gouvernement en attendant les élections législatives qui sont un passage obligé, pour celui qui se soucie d’une gestion consensuelle et paramétrée des différents secteurs, il fait étalage d’une docilité et d’un esprit de consensus, qui sont de loin, observés sur le terrain, comme en témoignent les tractations actuelles pour l’organisation des élections législatives, contrairement à son exposé, des actions menées jusque là, je cite:

"Des stratégies et politiques dynamiques sont élaborées et appliquées pour l’amélioration des conditions de vie des populations.
Au nombre des réformes engagées le gouvernement accorde une place de choix à l’agriculture, en vue de parvenir à l’autosuffisance alimentaire.
De même, le secteur minier est en voie d’être assaini, à travers l’adoption d’un nouveau Code plus attractif, qui prend en compte les intérêts de la Guinée et de ses partenaires.
Dans cette dynamique de changement, des actions se poursuivent pour la modernisation et la restructuration du système judiciaire, afin de garantir la promotion et la protection des droits et libertés des citoyens, de créer un cadre incitatif pour les investissements.
Sur le plan financier, la réforme permettra de juguler l’inflation, d’empêcher les détournements de deniers publics, d’éviter l’utilisation de la planche à billets, de combattre la mal gouvernance, l’impunité et la corruption.
Des mesures rigoureuses de gestion tels que l’unicité de caisse de l’Etat, le renforcement du contrôle économique, la refonte de l’administration, ainsi que la réalisation d’audits, arrêteront la saignée financière et corrigeront les dysfonctionnements.
Outre les mesures d’amélioration de la gestion macroéconomique et les réformes structurelles dont je viens de faire état, le gouvernement a élaboré des stratégies de réduction de la pauvreté pour satisfaire les besoins fondamentaux des populations en matière de création de revenus et d’accès aux services sociaux de base, notamment l’approvisionnement en eau potable et en énergie".

Pour mieux analyser, le discours prononcé le 23/09/2011, par le Pr Alpha Condé, devant la 66° session de l’assemblée générale des Nations-Unies, en ses aspects relevant de la politique intérieure, je pense qu’il faut mieux, s’en référer à la fois à la dimension technico-structurelle du discours et à une approche axée sur la faisabilité des dites réformes, doublés de leur niveau de conception, d’exécution et de mise en œuvre, esquissés en étendard absolu, d’une convenance, supposée et censée refléter le niveau d’adhésion de la population.

Ainsi de par son aspect technique et une approche conjoncturelle, (discours) tentons de cerner au mieux, le bien fondé des orientations impulsées et leur conformité avec un choix judicieux, efficient et rationnel, en sachant d’entrée que l’analyse technique, nous dispense de tergiverser, sur le mode de conjugaison des efforts, liés, disons, à la surenchère politique, déclinée, à la place, d’un discours de politique générale, dépourvu de mordant, lorsqu’il faut le disséquer, selon le postulat standard de légitimité conférable aux décisions et réformes d’un état qui se bâtit selon le seul précepte, de l’interaction et l’équilibre des institutions républicaines, de la modernisation des structures et leur fonctionnement , non pas transposés, mais inspirés autant des spécificités sociologiques, que de la particularité d’une évolution politique, enfourchée et alternée depuis l’entame de l’indépendance politique, entre la centralisation d’une économie au service d’une politique rigide, et aux antipodes du pluralisme politique, et la libéralisation anarchique d’une économie au service d’un état qui fléchissait rien que sous le poids de ses indécisions et son incapacité récurrente à coordonner, cadrer et impulser les politiques publiques, dites alors, de redressement national, ne cessons jamais de le dire.

Pour ainsi feigner, à la souscription momentanée, et pourquoi pas prémunir, le socle collectif, contre les aléas privatifs et entravant, y compris parer aux éventualités diversement contributives et aliénant pour les perspectives en tous genres, de surcroît, en mode de transcription pérenne d’une démarche, à la solde exclusive, d’un renouveau resplendissant, teinté d’un brassage des procédés et des techniques, pouvant et devant être hérités, simultanément des passages auréolés et fastes de l’évolution de la Guinée aux passages à vide, observés, comme une déchéance, à ne ménager, que dans l’optique d’un sursaut, refaisons une dissection combinée de certains passages du discours, avec les faits, caractéristiques, de la situation politique, économique et sociale, telle que corroborée, par l’embellie, non illustrative, à mon sens, d’une rigueur perceptiblement distincte des errements du passé,  une conception échelonnée en fonction des priorités, articulée autour de la nécessité d’identifier à défaut d’un afflux de financements, les pôles de croissance et ceux de compétitivité, dans la recherche des effets du multiplicateur et d’entraînement et finalement aplanie (conception) par les divergences et oppositions constructives.

Partant, du discours, force de persuasion, nous est dévolue et faite comme l’entame d’un règne, qui doit être circonscrit selon les règles de l’art, lorsque l’imaginaire collectif, se voit contraindre de demeurer, dans le creux vivace de l’action enfilée, par et pour, non subsister selon le gré de la dimension symbolique, des politiques publiques.

Sur ce, abordant la question très sensible et suffisamment usitée, des conditions de vie de la population, qui est en soi, le déterminant essentiel, de la politique globale, ambitionnée par le gouvernement, en temps et en heures, il lâche un boulet subjugué, pour ceux qui savent, qu’un récit est toujours narré au passé, soutenant en quelques 9 mois d’exercice du pouvoir; et bien que sachant qu’à la fois, la légitimité et la compétence technique, du CNT comparativement à une assemblée Constituante, furent largement au creux des injonctions nourries, à travers les lignes qui suivent que:

« Des stratégies et politiques dynamiques sont élaborées et appliquées pour l’amélioration des conditions de vie des populations."

De là; à brusquer avec force et conviction, un bilan d’évaluation à mi-parcours, de Alpha Condé, fustigera la retenue, et d’ailleurs, ce bilan, ne serait plus qu’une souscription volontaire, au discernement, car, à la lumière de la vérité, on est plus enclin à forger le moule de la conception et de la mise en œuvre des réformes, à la caution de l’existence d’une assemblée étoffée techniquement et largement représentative des différents courants et tendances politiques, qui se disputent, à ne plus s’en offusquer, l’autel des convenances, relatives, à une gestion politique concertée, à un leadership de taille, le tout au service d’une économie qui prospère, d’un état dont le règne s’apprécie et d’une société, qui transgresse les inégalités, en donnant consolation et vigueur, à l’humain

Plus loin, en métronome absolu, et au lieu, d’assortir, l’esquisse des mesures et réformes engagées par son gouvernement, à mon sens, tout au plus, la plume de celui qui écrit, ces discours, de pendants naturels et acquis pouvant en être générés du point de vue, économique, notamment, la stratégie de réduction de la pauvreté, la création de revenus, et l’accès aux services sociaux de base, lorsque gardant, fidèlement à l’esprit que l’économie, est le dénominateur commun avéré de la résolution des difficultés et une solution capitale pour juguler, les effets pervers des dysfonctionnements structurels, et stopper l’hémorragie des finances publiques. En cela, les lignes qui suivent, suscitent de plusieurs manières, des débats à connotations inversement supposées, et relativement imaginées, raison pour laquelle, encarter d’autres solutions et d’autres alternatives, me paraissent traduire au summum, l’adhésion commune, à un mode de gestion qui se veut consensuel et débarrassé, des entraves, qui la confinent et la cloisonnent, dans le moule de l’incrédulité.

"Outre les mesures d’amélioration de la gestion macroéconomique et les réformes structurelles dont je viens de faire état, le gouvernement a élaboré des stratégies de réduction de la pauvreté pour satisfaire les besoins fondamentaux des populations en matière de création de revenus et d’accès aux services sociaux de base, notamment l’approvisionnement en eau potable et en énergie ».

Le rapport exhaustif entre le déni et le repli, dans la quête d’une plateforme d’exigence collective de résultats, par extension, entre la fable incandescente et les pseudo-transgressions des clivages sporadiquement habituels, qui nourrissent nos perceptions, ornent nos pensées et sapent quelque fois notre vue de la réalité environnante et quoi que faisant offices, d’un nouvel ordre voulu, prend à partie les attributs dispensant, l’idylle des avenues, de concevoir et entretenir un lien étroit et indissociable, entre les procédés les moins consensuels, les moins rétributifs de l’âme des penseurs et défenseurs, de la nation au sens républicain du terme, parce que resurgissant des encombres et les vestiges d’une conception du pouvoir figée et enracinée dans le creux du passé et l’offre de la plénitude des moyens légaux et légitimes de conquête, d’acquisition et d’exercice du pouvoir, laquelle (l’offre) bien que rehaussant le désir de légitimité et circonscrivant les nouvelles prérogatives qui s’y rattachent dans le moule du compromis, si ce n’est par inadvertance, le moule de la connivence, pourrait, si ça ne l’est, pour peu ou proue, s’effilocher, sous le poids de l’inclusion déviationniste du repli sur fond de déni, ainsi que la démesure de l’esprit de suffisance, de l’orgueil épidémique, propres à certaines ethnies, induisent de facto à la marginalisation des autres en contribuant à la gestation de la fibre ethnico-communautaire.

En cela, le nouvel truc à tract nous laisse, présager que lorsque la pertinence et le niveau d’abnégation, corroborés, par le culte de la diversité, se font le paravent de la construction de la nation, le dénouement escompté devient alors, l’aboutissement et l’obligation de résultat.

Loin d’imaginer, les substrats constitutionnels, institutionnels, structurels, par extension républicains, sur lesquels, une Guinée qui fut éprise, à ne plus pouvoir s’en démettre, de liberté, de démocratie, et d’une refondation de la nation, appelée de tous les vœux à demeurer, flexible et au firmament de l’art de bien faire, en fondement exhaustif, d’une république qui se meut et croupit, sous le lourd fardeau de la négation déviationniste et la dépravation subséquente, à une forme de relégation des valeurs didactiques, présidant aux destinées, de la fable, de la circonvolution que se fait à présent l’apôtre, les accrocs, à la préférence ethnologique et la résurgence de la stratification sociale, héritées, des vestiges des anciens grands empires, la conscience collective, elle, s’empare de la question, pour mieux la fustiger, tout en s’appropriant la sacro-sainte aspiration des Guinéens, restés fidèles, à la formulation d’une plateforme d’exigence active de renouveau, du moment que le discours, de la flottille de partis, battant, pavillon, localisation géo-régionale du leadership politique, par rapport au devenir du pays, s’accommode à une perception inconciliable, avec les grandes lignes, fondant et magnifiant la révolution des valeurs, des mentalités, des pratiques, mais aussi et surtout, la crainte de l’assombrissement et de l’obscurcissement, de l’horizon temporel.

Sur ce, considérant l’avènement d’une véritable démocratie, en Guinée, comme la volonté exprimée et partagée par toutes les forces vives de la nation, ainsi qu’un dénouement de l’histoire politique, au regard des données, notamment spatio-temporelles, sociologiques et politiques,

Considérant, la Guinée comme une et indivisible et souscrivant au respect scrupuleux des principes juridiques, nationaux et internationaux, sou tendant la consolidation du processus de démocratisation et la réalisation des objectifs de développement que le pays s’est fixés,

Considérant, l’intangibilité du militantisme politique, la liberté d’expression, d’association, de manifestation et la pérennisation des libertés fondamentales, comme un acquis des luttes jalonnant la conquête de la démocratie et que nul ne peut entraver,

Considérant, le parcours ascensionnel et politique du nouveau président Guinéen, comme un amas, de la jonction des valeurs, de dommages collatéraux injustement infligés et impropres à galvaniser, tout au moins, enclencher, un processus de modélisation,

Considérant, la finalité du combat politique, comme une fin, non un moyen,

Considérant, que le temps a fini, par conférer, aux acteurs, partisans et sympathisants du fabuleux combat pour la renaissance politique du pays et l’accession à l’autel de toutes les vérités, une large gamme de perception, de déductions, de compréhension, d’analyse disséquée et de remise à plat des tenants et aboutissants, de la formidable œuvre des vainqueurs de la horde barbare,

Considérant, que la vertu jointe à la valeur, permettent de dégager, une marge d’assimilation des agissements sporadiques observés à l’échelle nationale, à une tentative d’obstruction, de mise à sac, de toutes velléités d’infléchissement et la circonscription des attributs et prérogatives du politique, à des fins, pardi électorales,

Considérant, la mnémonie, comme un moyen avéré de faire renaître au sein de la conscience collective, le goût de la contestation positive, planter le décor de la confrontation et l’interaction des formations, afin d’en tirer meilleur profit, pourquoi ne pas, en appeler, à non plus, me percevoir, comme un ennemi, mais comme un des alliés les plus fidèles, à la cause du mieux être de ce pays,

Considérant, que si la thèse, selon laquelle, vivre à l’étranger et combattre le système, équivaut à paraître, comme un ennemi du pays, fait figurer en bonne place sur la liste, l’actuel président, qui vient de se faire, élire, à 73 ans

Considérant, qu’à partir du moment, où le devoir de faire face à son destin, revendiquer ses droits les plus naturels, assumer ses prises de position, pour parer au plus probant et apporter, sa pierre, à l’édification d’une nation forte et prospère, deviennent un sacerdoce,

Il ressort de la présente pige, que la cupidité s’offre à nous, comme un avenant au libre cours, d’une vie, laquelle, se voyant maugréer et prise, dans le creux, le créneaux de l’offuscation et les affres de la déconvenue, et craignant l’absolue altération de surcroît, des valeurs qui l’ont toujours et si bien caractérisé, largue les amarres de l’appartenance socio-ethnologique, des convictions voilées, de l’incompétence, du tripatouillage, et d’une vision obsolète de la gestion d’un pays, tout en se prévalant de la diversité des catégories constitutives de la nation comme une source intarissable de sursaut rêvé et imaginé par les plus humbles.

Au moment, où les prédicats de par leur attrait, nous font jauger la réalité, comme une donne essentiellement vouée à rehausser la vision, alterner les analyses, surseoir la dénégation, parfaire le devoir d’assener un coup d’assommoir à toutes les tentatives, se prévalant de la nature obsolète et dénaturée du substrat conceptuel des agrégats aussi bien sociaux, que politiques et économiques, la verve politique; pour les besoins de la cause illustrative de la volonté de bâtir le socle de la nation sur des bases qui anticipent toutes dérives préjudiciables à l’ordre futur projeté et favorable à la renaissance sous le sceau du paradigme naturel de l’innovation et de la conquête des valeurs les plus partagées, usitées, enviées et recherchées; elle, se veut; à certains égards, notamment lorsqu’il faut dépasser les clivages politiques, sociaux et ethnoculturels, y compris les conceptions qui sèment les graines du désarroi, sapent la conscience collective, et renvoient au tréfonds des dénis habituellement sources, de déconvenues, et de dépravations des relents concourants à élucider la fable des disgrâces; iconoclaste, tout en se prémunissant du décryptage, par le biais de la dialectique des faits qui viennent orner l’acheminement rigide et temporel de la construction d’un état de droit, qui s’est toujours voulu aux antipodes de l’ordre incriminé et dépassé, sans jamais en posséder le concept théorique, et tout en obstruant de passage, les approches saugrenues, d’une réunion incertaine et inavérée autour d’une vision commune du futur.

Partant, d’une conception à une autre du devenir de la Guinée, on finit par s’apercevoir, de la force trépidante de réaction vivace, ravivée, énergique et même énergisante que nous procure une allusion faite, à un état de fait qui se résumerait à l’objectif déclaré commun de déminage du débat social et politique national, qui apparaître dans la ligne de mire, des acteurs à tous le niveau, de l’état, à la république, en passant par la nation, en ce sens où la vertu en question, et au sens premier du terme, nous plongent, dans nos premiers amours, pourquoi pas nos premiers penchants, constituant le support de la plateforme d’exigence commune de renouveau. En cela, une force de probité morale, largement subséquente de la panoplie d’inventaires, (des aléas, des contraintes, des difficultés, des opportunités passées, présentes et futures, sans oublier toutes les formes d’allégeances, fait de l’état du pays), remet à jour le goût de booster hors du champ du leadership politique, la construction d’un état de droit, autour des précipices d’un passé révolu, d’une conception erronée, d’une vision abjecte, donnant le pressentiment d’un futur hypothéqué.

A l’heure où les attentions, en Guinée, se ramènent à la sommation infiniment tous azimut entre l’advenu et le convenu, au moment où l’on semble, sous le poids de la dialectique, et au seuil de scruter le débat politique qui s’est adjugé, une nouvelle dimension et des paramètres subjugués par inadvertance, s’il faut se voiler la face, et concéder que la raison et la prémonition se sont soldées, par une adhésion de facto et sin die incitatives par le biais de la connivence ethnolinguistique, voir sociologique, il ne paraîtrait plus pour une lucidité avérée, la nouvelle logique qui se substitue à l’approche, jusque là, observée et exprimée aux fins, d’une revalorisation des concepts, la restructuration des procédés et la mise en veille des règles d’observances, substrats simultanés d’une action collective, tendant à ressasser les omissions, les transgressions, les dérives et les déviations qui s’accolent à toutes les œuvres de consolidation d’un destin collectif et lorsqu’elles se révèlent à la sommité des exigences, en vue de rétablir, un ordre qui se doit naturel de par la pressure des valeurs et la cassure des méthodes.

Ainsi, considérant, la perfection comme une œuvre infinie, à l’égard bien évidemment des concepts politiques, que dans l’art, de ressortir, avec finesse et humilité, la justesse des aspirations supérieures d’une nation prise dans sa totalité,

Considérant, que la seule possibilité à transcender les clivages qui fondent et magnifient, l’adhésion commune aux mêmes idéaux, constitue une qualité faite de grandeur s’inscrivant dans la logique du rassemblement,

Considérant que d’une approche puritaine, à celle technique, philosophique et intellectuelle, le seul aboutissement auquel, la nature nous convie, est et demeure, le champ des confrontations et des cogitations politico-intellectuelles,

Il ne saurait se pointer, une seule brindille de discordes qui ne fasse, l’objet d’une attention et d’une interprétation résolument voulues, dans le creux de l’infléchissement, telles que, dictées par nos sens, et envisagées par le dénouement que connaît les faits et gestes, entourant, l’exercice du pouvoir à Conakry.

Sur ce, attendu que la nature humaine ne peut s’astreindre de céder à la tentation du sursaut, telle que, le laisse présager, le cycle d’évolution humaine, (Début-Apogée-Déclin),

Attendu que, la valse des déconvenues, traduit au summum, la démarcation et l’élongation, caractérisant les démarches conceptuelles actuelles, nourrissent les divergences et font naître, d’autres, procédés de contrainte et de contrepoids, à un ordre s’enracinant au mépris du consensus, de la haine d’antan et engloutissant à tout point de vue, à tel enseigne, qu’il (ordre), occulte, les passions et les désirs initialement partagés autour de la concession faite au leadership politique,

Attendu que le destin, et la délocalisation faite du pouvoir, à travers ses champs d’applicabilité théoriques et pratiques, s’effilochent au fil des divagations sporadiques, des prises à partie intempestives, doublées des possibilités existantes, laissant entrevoir, la nécessité de l’existence d’un canevas et du champ des interactions entre les formations politiques, pour contenir, l’euphorie et l’abrupt adjonction de l’effort et du mérite, suscités par une longue et une lente errance, dans le vide de l’univers politique,

Il ressort amplement prouvée et largement partagée, une légitimité totalement naturelle à surseoir, le rapprochement, au motif d’une imperceptibilité et du manque de linéarité, longtemps observées, analysées et interprétées dans le but, de conférer une certaine pérennité aux actions entamées, s’il faut, (à la limite à ce que je désignerais, comme) se reporter au cahier des charges ou encore à celui, des clauses techniques de projet.

Au delà, je me souviendrais toujours avec attrait et beaucoup de stupéfactions, que la seule voie du salut, qui m’est offerte dans ce tintamarre géant, reste et demeurera pour une part infinie, le tact. N’est ce pas, de nouveau un nouvel truc à tract?

Pour peu que je me fasse, une raison certaine, que j’admette une logique pérenne, une démarche originale et une effroyable envie de seconder par aléas, pour avoir précédé en fléchant, contre d’une part, vents et souffletons et de l’autre, la marée humaine coléreuse, empathique et déchaînée, il me reviendra infiniment à l’idée, une jonction effrénée et haletante, en vue de condenser, un parcours et une vie, qui ne sachent plus se révéler dans l’esprit des profanes, des vulgum pecus, des béotiens, que dans la cavité, le renfoncement du labyrinthe, et de l’enchevêtrement, ainsi,

Au nom des principes, les plus fédérateurs et consensuels, répulsifs de la horde des incriminés, dont le rôle dans le processus de désintégration des agrégats impulsifs de la décadence, se fait couramment jour,

Au nom de la fable accolée, au dénouement dudit parcours et entreposée en stratégie de dévastation systématique, mêlant stupeur, torpeur et allégations dénouées de tout sens,

Au nom de l’exigence de réactivité, du devoir de rapprochement logique suscité, en pareille circonstance, de la communauté de vision encartée, sur fond de déconvenues sporadiques,

Au nom des procédés ayant émaillé, la construction harmonieuse d’une Guinée nouvelle et son inscription, sur un registre en forme de pendentif,

Au nom des divagations spontanées et vainement arraisonnées, ne laissant à nul, la possibilité de se prévaloir de la nature et le sens de ses droits, encore moins, à convoler en juste noce avec l’idéal, d’amour et de vérité, et lorsqu’elles sont savamment privées de correctifs et planifiées à des fins de discrédits de sorte à assener des atteintes disproportionnées, à la saine morale individuelle et à la conscience collective

Sur ce, prenant progressivement conscience et acte, des prises de position incarnées et observées à des fins tendant à juguler la théorie de la renaissance des valeurs sous toutes ces formes, étoffée qu’elle est (la théorie), enrôlée qu’elle fut et aussi anticipative qu’elle se projette d’être,

Considérant dans la foulée, l’éclat conféré à la privation psycho démonstrative, opérée et engendrée, depuis belle lurette, de surcroît qui expliquerait et ayant présidée, doublées des raisons inavouables, sinon à une forme de rétrocession, du moins la cooptation de la vieille écurie managériale de l’opposition d’antan, jadis, répugnée, stigmatisée, et bien que prise sous le prisme du lampion de la dénégation,

Considérant que la nature des injonctions provenant de cette adjonction mal avérée, mal ficelée et quoi que tripatouillant, accroissent la marge des contraintes, développent un mélange de genres difficile à harmoniser, et mettent en cause, la crédibilité, du projet initié, en révélant l’emphase, elle même, attribut subséquent d’une décroissance certaine d’activité et du champ des valeurs, enviées et disputées,

Attendu que la notion de prédominance des visions exposées, de l’approche proposée, et des idées exprimées, nous permettent à coup sûr et à tous bords, de transiger à tout point de vue, concéder en fonction de la stratification des priorités, pourquoi pas, planter le décor d’un futur débarrassé de toutes suspicions, comportant peu de négations, vue que la nature humaine est imparfaite, et sujet à un remodelage constant en fonction des besoins,

Il ressort grandement inexprimé, tout au plus, implicitement exprimé, que je demeurerais astreint, à ne ménager point d’efforts, pour transformer en facteurs d’émergences concrètes, des donnes primo déterminantes d’une passion indétrônable, avec férue, s’il le faut, et sans coup férir, s’il n’en faut, cette lancée, partie de peu, entamée sur une base linéaire, actuellement croisée, Colisée, entremêlée, soudoyée, abreuvant, dégénérative, âprement teintée du refus d’approuver ce qui ne peut l’être, car, simulant la vague et la décence.

En cela, force naturelle et vocation substantielles, seraient de me concevoir avec les aléas et les contraintes, à l’origine, voulant guider et embastiller mes pas.

En définitive, je me vois mal renoncer à cette bataille qui m’incombe de plus en plus, pour tenir bon, car nulle alternative, ne semble pouvoir m’en extraire, au regard de l’ampleur des dégâts et des atteintes ne laissant plus jaillir qu’une prédisposition naturelle à se battre pour s’approprier son dû, laquelle à son tour, suppose, mon implication sans relâche dans le processus politique en cours bon gré, mal gré.

Quoi que l’on ne puisse se laisser distancer, par l’énoncé des évocations, liées à la politique, pouvoir aplanir toutes les divergences qui s’y accolent et accepter, de dissimuler les intentions qui s’y impriment et ont fait naître et planer le doute, dans les esprits, subjuguer la raison et transformer, les fondements du devoir patriotique, en apparat adossé à la subtilité des idées, aux procédés magnifiant la décence, et à l’auto satisfaction morale, matérielle, psychique et mentale, il ne saurait éternellement subsister les aléas et les contraintes qui simulent, la vérité, sur fond de contestation, ressassent le module de la convergence, canalisent les ardeurs à des fins illustratives de la cogitation à mettre en exergue, afin de contenir, les concepts quelque fois, dégénératifs, quelque fois, constructifs, et annonciateurs du nouvel ordre social, à bâtir, alternative certaine, pour la consolidation d’une république en transmutation, et d’une nation reposant sur un socle largement voué à transgresser les différences.

Ceci dit, la vie des hommes n’étant dissociable des œuvres qu’ils bâtissent, en sachant de surcroît, que les hommes qui s’y évertuent, larguent à la postérité et à la conscience collective, une perception, une impression et un devoir de mémoire, qui peuvent se présenter, sous la coupole, des attributs illustrant la finalité conférée à l’œuvre entamée et les procédés ayant sou tendus, son dénouement, il va de soi, que la conquête et l’exercice du pouvoir, obéissent à la même règle, et astreignent la nature humaine de ce fait, à circonscrire le champ des valeurs à ne point faire, abstraction des dérives conceptuelles, à l’ambition boulimique, et vorace, lorsque l’art, la pensée, et les aptitudes ne s’y apprêtent et quand elles sont subséquentes, de la prédominance du bradage des règles primo classiques, transcendant la conquête d’une œuvre collective, ainsi que l’accomplissement ou l’atteinte d’un objectif à finalité personnelle.

Par ailleurs, la question qui me tente, déborde de ma matière grise, puisque difficile à saisir, est la légitimité du combat de certains et non pour d’autres, en d’autres termes, pourquoi, Alpha Condé a vécu en France, protégé, assisté, managé, malgré son opposition farouche au pouvoir en Guinée et pas nous?

A cette question, force de persuasion, serait de demander d’entrée, aux uns et autres, le décloisonnement des attentes, le degré actuel des privations en tous genres, les garanties octroyées par le nouveau gouvernement, les arcanes du pouvoir en Afrique, lorsqu’il est exercé sous une contrainte, qui échappe aux hommes, même si l’action cumulative et combinée des hommes, (l’opposition politique) réunis par une adhésion commune aux mêmes idéaux, auront fait naître le mythe, galvaniser le désir de rassemblement en chacun, et celui d’ascension et de succès revendiqués, à travers des agrégats qui ne laissent plus, aucun édifice idéologique désuet à l’abri de la ruine. Eh oui, du souvenir à l’action, on aura appris et on continue à apprendre, comment s’y prendre à ne pas s’y méprendre, quand devant l’autel de toutes les vérités, on parvient à brandir l’étendard, d’une divergence accrue et plaçons au summum de toutes les questions, la marque et la vision personnelles que chacun s’octroie et entend imprimer à la résurgence des valeurs, sou tendant la réalisation du rêve collectif. En cela, Alpha condé, saura tirer peut être profit et sûrement de l’enseignement, de la posture actuelle adoptée, pour des raisons qui s’incrustent en marge totale du champ des dénégations et font scruter, l’ordre et la teneur des jonctions à opérer avec lucidité… Etc.

En demeurant persuadé, qu’une étape franchie, dans la lutte contre la misère, la pauvreté, l’obscurantisme, la mauvaise gouvernance, l’instabilité politique, et institutionnelle, etc….en obstruant les procédés et les pratiques attentatoires à la décence, au bien-être, ne nous affranchit point de la cogitation, de l’analyse, et à poursuivre, aussi fidèlement que la possibilité nous est offerte, le fabuleux combat, voué à la consolidation dans ses grandes lignes, des pieuvres acquis balisant la marche d’une nation, il me restera infiniment, (pour avoir inscrit ma vie dans ce canevas) et indéfiniment, (pour n’avoir prémédité, mais tirés mes agrégats conceptuels au fil des évènements), gravé, dans le cœur, cette envie inaltérable, de braver toutes les oppositions, avec pour armes, la conception analytique, l’interprétation scientifique, et l’approche qui s’y attèlent, comme le ressort illico presto, à tout avenant à la postérité, reposant sur l’art de bien faire, bien manager, édulcorés par la grandeur de la vision, la clarté des concepts, et l’originalité du processus, fusse-t-il, en dérogeant aux procédés conceptuels habituels, entraves antérieures, submergées de nos jours dans le moule de l’incrédulité, quand enclencher l’Audimat de l’intelligentsia, à stimuler le débat et fustiger, les raisons certaines, de la déconvenue, ne parviennent plus à combler l’esprit des fantoches.

De là, à renforcer les convictions déjà, suffisamment encrées, s’illustrant à travers des prises de position, allant non pas, à l’encontre de l’intérêt collectif, parce que nouées pour infléchir, permettre l’interaction des différents pouvoirs au sein d’un régime démocratique et empêcher la confiscation et la concentration du pouvoir à une sphère unique, ne laissent plus présager un lustre. D’où, une réactivation, illico dare-dare, de la fibre de la contestation politique, source de compromis, paravent de l’équilibre des pouvoirs, support d’une gestion à finalité collective, associant, société civile-action gouvernementale-pensée collective-procédés inclus et en marges de la sphère étatique, telle m’a toujours semblé être l’œuvre, à laquelle, le sens nous exhorte et nous commande, depuis l’entame, de l’ère pendant laquelle, avions-nous rêvé, le hasard et l’improvisation, se verront extraites, de la gestion conséquente, de la politique globale, devant mener sur l’autel de la prospérité et l’épanouissement de toutes les composantes de la société Guinéenne.

Pour ce faire, force de caractère, engagement politique et intellectuel et vocation humanitaire, nous astreignent à la connivence incertaine, hypothétique, (tant que les aléas discréditent les actes), et primo compromettant pour l’avenir, en sachant que la contradiction dans ce cas de figure, est source et essence avérées et vérifiées de l’atteinte de la vérité.

En cela, nul ne saurait me dissuader, me divertir et tenter de me ressasser, après avoir, passé des années à fulminer, pour que triomphe la liberté, la justice et la démocratie, dans ce qu’elles ont de propices, à générer le bonheur collectif.

Loin d’une évocation puérile, délocalisée, émargée et élaguée de la boucle constitutive, de la plateforme commune d’exigence, de recherche et de résolution des problèmes qui naissent sur le parcours balisé, désormais déliquescent, sans extrapolation aucune, de la nation, un énorme éventail, répertoriant, les questions fondamentales, de la consolidation de l’avenir collectif, surgissent de la boite de pandore, une boite demeurée jusque là, dans le cloison, de la rétention volontaire, palliant à la déconvenue, afin de semer les graines de l’aspiration commune à une vie dépassant le cadre de la subjectivité, les clivages sporadiques et pouvant ouvrir la Guinée à l’innovation sous toutes ses formes et à l’éclosion des idées, sans lesquelles, une nation, voit son devenir circonscrit, dans le moule de la crédulité, de l’imprévision, du hasard, finalement confiné dans le creux des pratiques, qui ne la propulsent que vers l’instabilité politique, institutionnelle, la stagnation économique et l’implosion sociale.

Partant, pour peu, qu’on se fasse une idée, de la crainte du drame et des conflits sociaux, à caractère tribal, ethnique, pour mieux notre sens du compromis, du consensus, et d’une gestion concertée du pays, se doivent normalement d’être aiguisés, en prémonition à une démarche qui cadre la volonté, fédère les initiatives, rassemble dans le respect de la diversité et malgré la différence.

Au demeurant, persuadé que je suis, de demeurer, dans le spectre de la condescendance des procédés qui génèrent la probité, et l’aptitude technique, comme seules valeurs didactiques, enclenchant la spirale des convenances, en terme d’actions, caractérisant et traduisant, on ne peut plus de façon, éloquente, l’onction non belliqueuse, mais celle, sujette et reflet, de la compétence au détriment de toute stratégie à finalité typiquement politicienne, il me restera infiniment gravé, à l’esprit que gaver, le renouveau à travers l’innovation est la seule voie du salut, car échappant, à la résurgence, à la fois des rengaines d’antan, des incohérences du passé, les dérives contextuelles et les accointances résultant de la collision des sens. En cela, je croirais, dur comme fer, que pour autant, il aura fallu, mobiliser toutes les énergies, pour infliger une déroute à la horde des barbares, pour autant, la conscience collective, nous incite à apporter un sérieux correctif à toute injonction, tendant à porter une atteinte disproportionnée aux acquis arrachés de hautes luttes et au prix de la vie, de nos martyrs.

Loin des préjugés quotidiens qui ornent l’esprit du Guinéen le plus sceptique et le plus résolu à en découdre avec la vie, dans ce qu’elle a de caractéristique, au sein d’un état, où la rareté des ressources vitales est rythmée par un combat voué à la survie, à la subsistance et bien que suis-je adepte inexprimé quoi que prouvé lorsqu’on a suivis le cours de ma vie et les événements majeurs ayant marqués l’évolution récente de la situation politique à Conakry , d’un mode, de résolution conventionnelle, schématisé et circonscrit aussi bien des différents, et des divergences de vue, que des contentieux, qui naissent au cœur à la fois de l’organigramme technique des structures étatiques et dans la conception, l’élaboration, la transcription des directives et politiques publiques, voir, à chaque fois que l’entame d’un processus de transformation qualitative et quantitative pointe le nez et astreint au dépassement des clivages habituels, à l’heure où l’ensemble des institutions républicaines, sont remplacées par des organes palliatifs, mais de quelle source(organes)? Allusion faite au caractère palliatif des institutions républicaines décrit plutôt, j’en viens à aborder, avec retenue, prudence et assez probables grincements de dents, la récente montée d’adrénaline, du jargon de l’endocrinologie, à Conakry, en apprenant non sans questionnement, la tentative d’assassinat du nouveau président Guinéen, le 19/07/2011 dernier dans sa résidence privée, située dans la banlieue de la capitale Guinéenne.

Une tentative d’assassinat qui faisait suite, selon les données préexistantes, en toute analyse cohérente, et à la lumière de la vérité, à plusieurs manœuvres politiques vaines du pouvoir en place et tentatives d’intimidation, d’arrestations arbitraires , a été malgré tout accueilli, avec surprise, par l’ensemble de la population, vu qu’il vient à peine d’être élu à l’issue d’une élection, avec effroi, au sein de l’armée et la classe politique en crainte à d’éventuelles représailles, et finalement mal perçu, lorsque les premières nouvelles qui en faisaient état, et les allocutions officielles du pouvoir pour apporter sa version des faits, n’ont eues de cesse de paraître incohérentes, comme l’atteste le décryptage des piges de la presse locale et les médias du Web.

Au demeurant et partout ailleurs, il semble démontrer qu’une situation telle que celle vécue par les Guinéens, à travers la transition politique en cours, aurait laissée sur une faim inassouvie, un désir in escompté, tout observateur, convaincu de la rationalité des procédés techniques de gestion et de résolution des mutations politiques et économiques, vilipendée, mise à sac par certains acteurs de la transition, et bradée par certains organes, avant que la transition elle même, ne fasse l’objet d’une formalisation à l’échelle multinationale, dont le coût et les répercussions, sur le devenir, fournissent les agrégats explicatifs," d’un coup concocté à l’image du vouloir, en lieu et place, de fourbir". Tel un dilemme pré-séquentiel, circonstanciel, les tractations autour des conditions à observer pour l’achèvement du processus de transition, n’ont pas encore finies de faire émerger d’immenses Icebergs devant le navire, battant à la fois, pavillon: justice, démocratie et développement.

Ainsi en procédant à une série d’arrestations liées à la tentative d’assassinat, d’un président, de surcroît d’un pays d’Afrique noire, bien que sachant le ressentir, au summum de la réplique, si elle s’avère vraie et établie, (la tentative)une dose de sagesse et de retenue, afin de sortir grandi, d’un événement majeur, s’imposaient, au camp présidentiel, pour que soit observée, une règle fondamentale, en droit, qui n’a peut être jamais existé dans l’imaginaire du Guinéen, à savoir, la présomption d’innocence, à la place de l’arbitraire.

Partant, la justice s’est vue ainsi saisir de l’affaire, par voie expéditive, pour tous les cas, où le crime ne serait pas constitué, vu qu’elle n’a émis aucun mandat d’arrêt, d’amené etc…en sachant que l’affaire aurait pu aussi relever de la sûreté intérieure de l’état, ou encore de l’atteinte à l’intégrité territoriale, ce qui aurait ouvert la voie à un procès devant une juridiction spéciale, selon les cas, la cour de sûreté de l’état si elle existe ou la cour martiale ou un tribunal militaire équivalent. Mais rien de tout ça, parce qu’on a encore du mal à situer la responsabilité qui pourraient revenir aux civils, dans la préparation d’une attaque avec des armes aussi lourdes, en pleine capitale d’un pays où les armes pour la défense du territoire est une denrée courante, encore moins, les fonctions respectives actuelles des officiers en causes, de sorte à déterminer leur degré d’implication et la compétence ou non, du tribunal de première instance de Dixin.

Quoi qu’il en soit, on apprend par ailleurs, que le président aurait le 15/08/2011, fait bénéficier de la grâce, les condamnés des événements ayant émaillés le retour du leader de l’UFDG et dégénéré en affrontements, qui a nécessitée la saisine de la justice. Un acte symbolique, positif et constructif, sauf que je demeurerai, éternellement opposé à la méthode qui pérennise les pratiques d’antan, à savoir: Pourquoi les familles des détenus vont demander pardon au président, en lieux et places, d’une initiative personnelle, l’application du droit et user d’une prérogative conférée par la fonction?

En définitive, l’heure ne semble guère favorable à l’attitude des autorités Guinéennes, observée suite à cette tentative d’assassinat, à en croire la méfiance accrue de la communauté internationale et la réticence des presses étrangères à diffuser et relayer des accusations dont le bien fondé reste à démontrer.

PS: Ceci n’est pas une pige à l’obédience de la dissidence, mais à la recherche d’une vérité enfouie dans les tombes et les cachots.

Au nom de la justice et de l’ordre, je me permets de dire ce qui précède, vecteur d’adhésion commune de tous les politiques, à l’œuvre de démocratie, d’unité et de paix…

Je ne suis pas jaloux, mais je ne laisserai personne des auteurs de cette merde, échapper au supplice que j’entends, leur infliger.

Moins une suspicion, un tracas relégué au quotidien, une opposition futile, déconcertée et in contenue, mais plus un souci de rassembler l’ensemble des pièces du fameux puzzle, qu’est devenu l’inscription de l’avenir collectif dans le registre des principes qui la font émerger de la torpeur populaire aussi promptement que la nécessité, l’urgence, les besoins, et l’esprit nous le commandent, la logique advenante à l’exposé et à la compréhension de la tentative d’assassinat du nouveau président Guinéen, le 19/07/2011, ne peut point laisser les plumes alanguir, vue la passion qu’elle déchaîne, l’émoi qu’elle largue à la face de l’opinion et la suite que cette tentative d’assassinat connaît et s’apprête à nous faire vivre. Quoi que cette même opinion soit partagée entre euphémisme, délation et scrutation, l’élite intellectuelle et politique, se voit contrainte à demeurer factice à l’image des procédés et faits similaires ayant marqués à la fois, l’évolution de la Guinée, mais aussi et surtout, l’évolution de tous pays, pouvant fournir des agrégats, propices à moderniser le fonctionnement de la justice, dépassionner le raisonnement s’y attelant et nous inciter, à construire un modèle de justice incluant le respect scrupuleux des principes fondamentaux de tout état de droit.

Sur ce, nul n’ayant le monopole de la justice, encore moins, posséder la capacité institutionnelle de concentrer dans ses seules mains, l’ensemble des pouvoirs pouvant exister au sein d’une nation démocratique, il résulte d’une démarche assez conséquente, que l’observance des règles primo définies, pour le respect du droit des deux parties, soit inscrit comme le gage d’un procès équitable, non entaché de vice de forme, voir une nullité manifeste, constatée dans la procédure, puisqu’il faut parler de droit, assortie d’une garantie de son application effective . Raison pour laquelle, conscient que des erreurs judiciaires, peuvent saper les fondements d’une république, ternir son image et de surcroît être à la solde de la machination, la répression et des manœuvres même politiques, il est d’un devoir intellectuel et même politique pour l’élite de demeurer fidèle aux idéaux qui ont permis à la Guinée, de faire trôner, le suffrage universel au détriment du diktat, l’ordre à la place du désordre, le compromis et le consensus quoi que assez relatifs en lieues et places, de la déconvenue, la discorde.

Partant, pour loin que remonte, l’aspiration du peuple de Guinée, à une existence meilleure, pour peu s’avéreraient ses acquis évolutifs, dans le sens ou l’entame, du multipartisme, et son institution qui fussent volontaires, y ont essuyées des revers, que seul le génie de la pensée dévolue à ceux qui s’évertuent à dénoter les tenants et les aboutissants d’un ordre institué à vue, développé inconsciemment, peuvent élucider.

Quoi qu’il advienne, aujourd’hui mieux qu’hier et plus que jamais, la justice Guinéenne, se construit un important pallier de son avenir, à chaque fois que sa saisine requiert une interprétation du droit débarrassée de ses entraves d’antan, car, plus que la répression du crime, c’est les moyens d’y parvenir comme stipulé par les textes de loi, qui font l’alfa et l’oméga de la grandeur rêvée, et imaginée, d’une institution, qui aura réussi à relier, sa mutation sous trois formes, ces 50 dernières années, à savoir, : la démocratie populaire de type socialiste très répressive, un régime d’exception très défaillant et finalement, une tendance affirmée pour la naissance d’un état de droit.

Telle une défiance, au corpus des actes constitutifs de la marge d’ascension, sclérosée par les données non pré requises, mais dissimulées au fur et à mesure, que l’onction des valeurs didactiques se veut ponctuelle et (telle une défiance)aux multiples tentatives disparates, disproportionnées, souvent érigées en paravent disculpé, de sceller le glas, à la déchéance, laquelle s’octroie, par la jonction des faits endogènes et exogènes, une duplicité technique, factorielle, et illustratrice, d’un état en déliquescence de son embryon à sa forme la plus élucidée, la rhétorique habituelle d’infléchissement des pratiques et procédés s’en prend ainsi sans relâche à l’hérésie frénétique, apparent au sommet de l’état, avec à la clé, une analyse ostentatoire de la difforme préoccupante de la monnaie, une approche de la politique qui préfigure celle des masses, voyant la définition et l’orientation qui se profilent à l’horizon et une prospective croissante des agrégats économiques.

Ceci étant, les enseignements à tirer, des tractations en cours, en vue de bâtir une plateforme collégiale de gestion du pays, allusion faite, à la profusion d’informations sur le net prétextant, "Guinée58"non soutenant même de multiples entrevues, entre le président de l’UFR et l’actuel président de la république, relatives à la probable formation d’un gouvernement d’union nationale, s’il ne se révèle hypothétique, restent à la fois largement tributaire d’un désir non reproductif du schéma de configuration comme on en rêverait et souhaiterait, pour une jeune démocratie, mais aussi et surtout au summum, d’une réalité latente, celle de la résorption rapide des préalables, à l’amorce d’une politique de relance et de redressement économique, lorsque, l’économie, paraît comme la principale source d’extinction des difficultés majeures, leur cloisonnement et leur inscription dans le cahier des charges des gouvernements successifs.

Ainsi la Guinée, devant cette situation qui laisse présager une possible cohabitation entre les deux formations politiques gisant au creux de deux tendances différentes, risque fort de se heurter à une confrontation, entre le choix différé de l’option libérale et l’entame d’un régime, naît sous la coupole du militantisme, par extension du communisme, voyant que les initiatives privées, la création des structures palliatives et l’homologation de toutes les unités de recherches, à titre d’exemple, ne sont pas délimitées et englobées, par une politique globale. Ce qui aurait pu éviter, que l’on se penche sur un rassemblement de toutes les forces politiques, au sein d’un gouvernement dans le seul but, d’éradiquer le problème de la mal gouvernance, la pauvreté et le sous développement, fort d’un principe selon lequel, l’élection au suffrage universel, inclus aussi bien la responsabilité que la capacité d’action, d’où, elle s’est vue assortie d’une sanction, conférée par les urnes.

Pour l’heure, la déduction de l’organisation des élections législatives, de la capacité institutionnelle à gérer et à la finalisation, de la transition couronnée de la gestation et l’illustration d’une configuration assez imagée, équilibrée des pouvoirs et institutions, discréditent la thèse d’une gestion apaisée et réussie du pays, lèvent même le voile sur les aptitudes des protagonistes, tout en laissant libre courent aux injonctions invétérées, aux oppositions stériles, aux dysfonctionnements avérés et prouvés des institutions lorsque l’interaction des pouvoirs est effective. De là, à imaginer, contrairement au pigiste de "Guinee58" que la présente démarche tend à dissiper toutes velléités tendancielles futures à l’opposé de S Touré, en lieu et place de sa crainte de se révéler inéligible dans 10 ans, vu qu’il sera septuagénaire, n’est plus qu’une logique qui s’offre aisément à la matière grise.

Autrement, la preuve du souci que manifeste Alpha Condé, pour conduire son mandat à son terme, avec les règles de l’art, doit, à mon sens, trouver son expression dans sa capacité à impulser et forger un nouvel élan, et proposer au regard de ses années d’opposition, une politique qui magnifie sa vision du pouvoir, fait planer la transparence et le savoir-faire, sur toutes autres considérations, ne faisant pas fies de concepts au service de la cause.

Plus loin, dire que S Touré, veuille appartenir, au gouvernement de Alpha Condé, n’est en soi, que l’affirmation d’une volonté émanant d’un leader de surcroît en adéquation avec son parti, mais non la souscription garantie à un mode de gestion qui réponde aux exigences, que l’on est en droit d’en attendre, à en croire, aux élections présidentielles, faites sur la base de programmes de sociétés, non l’appartenance régionale, à moins, que les révélations futures au sujet de cette élection, nous démontrent le contraire. Quoi qu’il en soit, l’homme assume son avenir et fait face aux fluctuations d’une vie politique, qui n’ont que trop laissé, déboucher des brèches, nivelées au lieu de pics au creux de l’électorat, bien que l’élite, fût acquise et conquise, depuis que le nom fait figure d’une référence.

N’est ce pas un nouvel truc à tract?

Sur ce, je veux tuer la confusion dans son œuf….

A la visée d’une sommité improbable, un déclic psalmodié à l’image du souffle tempéré, une prise à partie mal pourvue et finalement, un laps d’ardeur consacré en vue de ne ménager que la partition subséquente au devoir, la décrispation de la chaîne de résolution des substrats économiques, sonne comme un butte à tout, si elle ne veut se révéler dans le creux de l’incapacité active, de l’incohérence déstructurant, et la lassitude profanatrice des règles et principes, qui sied aussi bien à la promptitude et à l’urgence, qu’à la régulation, la planification, et une forme de symbiose vouée à cumuler de part et d’autre, les options évolutives en contrat profond avec la spécificité qui ressort de, et fonde, notre modèle paradoxal de développement. A ceci près, devant une large perception de la gamme des paramètres à contenir pour stopper la dépréciation de la monnaie Guinéenne, contenir l’inflation qui culmine sans cesse, au delà, des deux chiffres et relancer une croissance, qui vascillait aux alentours environ de 5% une moyenne annuelle au cours des années 1990-2000 et qui de nos jours, peine à atteindre 2% du PIB, l’émergence de la nécessité d’une cure de jouvence, pour remettre à flot, les caisses de l’état, s’impose, interpelle et alerte au demeurant, les acteurs à la fois économiques et de tous bords, à pallier, à une déficience accrue, du pouvoir d’attractivité, d’impulsion et de remodelage, du cadre législatif à l’observance du panel constitutif des doctrines structurantes. Sur le plan du budget, en son volet investissement, il est plus que regrettable, que l’accroissement du déficit budgétaire, n’ait pas été consacré aux investissements des grands travaux, et dans la production de biens et services, de sorte à créer de l’emploi, stimuler la demande sur le marché local, car, en confortant l’offre, on réduit le poids de l’importation sur la réserve des changes, et promeut les produits locaux, dans le but de relancer la croissance à partir de l’investissement intérieur. A savoir que la seule solution qui vaille, et qui mette à l’abri tant soit peu, de la conjonction et prémunit contre les effets pervers d’une récession ou d’une crise, réside dans la productivité locale. Quoi que ces dernières années, on ait procédé croit-on de bonne foie, à une augmentation salariale à Conakry, mais d’entrée, non compensatrice des errements du levier de la croissance, au regard de l’évolution de l’indice des prix à la consommation sur place, gisant sous le poids d’une inflation tirée et entretenue apparemment par le coût. Ce qui n’a occasionné l’éclatement d’aucune bulle dégraissante de la ponction remédiant à la déchéance. Donc, aucun effet immédiat, n’a pu en résulter, sauf que le problème s’est posé en d’autres termes, à savoir: la flambée du prix du pétrole, dans un pays qui présente des déficits en tous genres, car au lieu, de localiser, les secteurs, dont le subventionnement cautionnait la survie même de l’état et confortait au quotidien la vie de la population, tels que les transports publics, l’état s’est lancé dans une course folle à la prédation, croyant que la force publique suffisait à elle seule, à ramener à de meilleurs sentiments les agents économiques du marché parallèle des changes. Ainsi, en faisant venir d’entrée, une société de transport public, on baisse le coût du transport de sorte à dégraisser le budget des ménages consacré au transport, afin qu’ils réorientent cet excédent vers la satisfaction de leurs besoins, sur le marché local. Là, on aurait vu se répercuter sur l’épargne des ménages, l’augmentation salariale. Partant, l’effort de stabilisation économique, doit se situer à la fois, en amont et en aval, des décisions qui l’accompagnent, et surtout une bonne compréhension du comportement des consommateurs. Quoi qu’il en soit, les défis de la relance économique, sont de loin, ceux scruter pour l’heure, pour le simple fait, que la marge de manœuvres conférée aux nouveaux dirigeants, semblait à la hauteur du défi. Pour cause, les fonds des audits, des sources d’évasion fiscales détectées, des postes fictifs de la fonction publique et des créances de l’état, devraient immédiatement être affectés, pour la constitution d’un fonds spécial dédié à la réforme et à la restructuration, éventuellement pour doter de caisses de fonctionnement toutes structures mises en place, pour le redressement et la stabilisation. C’aurait été, une décision rapide, courageuse et pragmatique pour booster hors du cadre morose, les structures économiques…etc. Sur le plan de l’agriculture par exemple, un impératif s’impose, c’est non seulement l’assistance technique aux producteurs locaux à travers la mise à leur disposition d’une ingénierie fiable, mais aussi et surtout, la création d’une filière, qui doit utiliser des entrepôts locaux, préfectoraux et régionaux, pour le regroupement à des fins d’achat, de la production locale et son drainage vers les marchés pour leur écoulement. Une piste sérieuse pour décloisonner la production locale. N’est ce pas un nouvel truc à tract? D’après Corneille dans le cid, je cite" Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années". À suivre… Ces fils de pute, suivent tout en direct et en ligne, avant publication même au point que mon blog mentionne ma résidence aux USA, alors que je suis bel et bien à Paris. Quel système de pillage et de prédation?

Bien qu’à la merci du challenge des temps les plus mémorables, et l’abstraction constante, en filigrane, des aspects les plus rétrogrades et les plus expressifs de la déconvenue et de la mésentente, l’œuvre de redressement et de stabilisation progressive, des canaux géniteurs de la mannes des finances publiques, continuent à faire souscrire à la gestation des procédés les plus usités, les approches les plus innovantes et une méthodologie de la conception et d’affinement qui rompent avec la morosité technique, détractent la gestuelle mal pourvue dans le processus de prise de décisions, afin que naisse une chaîne de balises, laquelle à son tour, incite à la mise au point, d’une architecture des structures étatiques, de type ouverte, en fonction, du tableau descriptif, des aléas et difficultés, antérieurs, imprévisibles, à l’instant T de l’exécution d’un programme d’action, d’une politique d’orientation ou même d’un projet d’investissement, j’en passe…. Ainsi, dépassant le cadre habituel des subjectivités discursives récurrentes, le dédale coercitif inconsciemment concocté en parallèle par les démons de la discorde, et la rhétorique délocalisée des prémisses de la dérive, l’analyse qui résulte du constat de la situation des finances publiques, n’a cure, des effets pervers d’annonces de la reprise progressive et réelle, utilisés, de l’économie, et fustige au demeurant et en continue l’enclavement dans le créneau du suivisme, de la subterfuge et le refus d’élucider les entraves au cours soit normal, soit accéléré de l’œuvre de consolidation et de stabilisation économique, en fonction des besoins exprimés. De là, à demeurer sceptique, infléchir et pourquoi pas décloisonner, toute approche qui s’y accolent, au nom du pacte républicain, qui donna naissance à la plate forme désormais commune, de gestion de l’état, sujet à remodelage et à adaptation constante, tout en soutenant, une thèse qui allie, le besoin, la disponibilité et la capacité d’action, n’est plus qu’une astuce, une ruse et une ultime tentative de doter la Guinée, d’un programme de développement, ayant un socle qui la dispensera, à un horizon inconnu, des soubresauts d’antan, des convulsions persistantes antérieures et l’ineptie répétée de l’élite politique et intellectuelle. Partant, l’économie Guinéenne, tels qu’en révéleraient ses caractéristiques et paramètres essentiels aujourd’hui, est de loin, sujette à une satisfaction pérenne. Ce qui est un contrepoids à l’ordre voulu et rêvé, lorsque je constate, l’entame sous scellé conventionnel, de la scrutation des actes primo déterminant, d’une volonté débarrassée de toutes contraintes aussi bien en termes de capacité d’action, que de la propension technique à faire germer de choix judicieux et configurer l’architecture des structures au prorata des engagements allant dans le sens d’une refonte des doctrines préexistantes, qui sont à l’origine de la tentative d’hégémonie ratée de la plupart des états Africains, vu qu’elle n’a de tenants ( la tentative)que l’expression excessive, défigurée et imagée de la souveraineté, des errements des politiques publiques et le dispatching inexpliqué des efforts jusque là consentis. En conséquence, il apparaît d’une logique approuvée et d’une analyse partagée, qu’une option politique, sinon un projet de société, ou un programme de gouvernance, trouve son expansion et ses vertus didactiques, au sein même des aptitudes, dont font montres et preuves, ses initiateurs et ses incarnateurs, pour le simple fait, qu’une autre vertu s’en dégage, celle qui crée un lien étroit entre sa phase de conception, d’élaboration, et celle d’exécution, c’est à dire, sa mise en œuvre effective. Sur ce, le tableau de bord de l’économie nationale, à ne point s’en douter, se présente, sous une forme, qui laisse subsister pas mal de failles qui rendent dérisoires, sa lisibilité, de sorte que, songer, rien qu’à l’équilibre du budget, dans un proche avenir, par le biais d’un code minier qui fléchit à mon sens, entre une fiscalité défaillante puisque, ne prenant suffisamment pas en compte, du moins sous un aspect flexible, sa modulation au rythme des retombés et l’expansion de l’investissement, serait un piètre vouloir. Exemple, je ne vois pas, l’utilité avérée d’une disposition du code minier qui stipule en gros, je cite: "Toute entreprise ayant exploitée 15 ans, une mine, doit obligatoirement recruter, jusqu’à 90 % de son personnel, parmi les nationaux. Elle est où, le principe de formation continue et progressive à toutes les techniques de gestion des nationaux, à des fins de rétrocession? Il ne s’agit pas de la remettre en cause, mais mieux l’étoffer, en sachant qu’on n’en a pas fini avec le transfert de technologie, d’où une autre source continue de dépendance. A ceci près, je voudrais dire, pour qu’un code soit suffisamment attractif, il faut non pas, reprendre exclusivement le contenu des codes en la matière, supposés meilleurs ou plus appréciés, il s’agit à mon sens, d’étudier avec attention, avant tout, les conflits, les contraintes et les difficultés, antérieurement connus, les perspectives, tout en procédant, comme ça aurait du être le cas, pour toute l’architecture juridique, de ne jamais surseoir au principe fondamental de révision et d’amendement, afin de dresser un tableau illustratif, de la plupart des situations auxquelles on pourrait être confronté. Par la suite, essayer, d’inclurent les spécificités inhérentes à chaque entité, opérant ou ayant déjà opéré, dans le secteur. Quand à la fiscalité, la première donne à requérir, est une réévaluation des assiettes fiscales à tout point de vue, ensuite s’octroyer, l’audace d’aller, à l’encontre d’un secteur, qui pourrait apporter gros, si on en tire meilleur profit, à savoir, le tertiaire, l’informel, sans jamais omettre, le postulat selon lequel, celui qui sera parvenu, à adopter une fiscalité souple, et progressive, sur les entreprises, en fonction des rentes et la faire substituer par une productivité agro pastorale locale élevée, celle industrielle des manufactures de produits courants, aura touché du bout du doigt, l’une des brèches de la convenance. à suivre…

Bien que la retenue, la clairvoyance et une certaine dose de maturité, nous font élaguer, entre le doute, la suspicion et une incompréhension qui s’étendent de plus en plus, aux sphères, jusque là, imaginées, imperméables aux invectives érodées et sans avenant, aux indécisions et aux confrontations annihilant, l’œuvre collective, axée sur l’entame d’une nouvelle ère, en vue de consolider les acquis arrachés à la suite de hautes luttes, et au prix du sang de ceux qu’on apprendra désormais à appeler, les martyrs, il est et il demeurera, un impératif absolu, pour l’élite politique, en particulier, et celle intellectuelle en générale, de veiller aussi scrupuleusement que la nature des faits jalonnant notre évolution historique, et la logique résultant des données, scrutées, nous en attribuent le sens, au respect des clauses de la compromission et surseoir les dérives, impropres, à générer l’idéal collectif de sursaut, lorsqu’il faut dépasser les clivages habituels et parer aux éventualités dont les diverses improbabilités, nous plongent dans le creux de la déraison, sèment la désolation et nous renvoient au tréfonds de la déconvenue, source avérée d’implosion sociale, de crise politique et de stagnation économique. Ainsi, la Guinée et les Guinéens, se croyant dispensés de toute obligation de remodelage, de nos structures politiques et institutionnelles, notre modèle social erroné et désuet, y compris, d’observer les règles strictement célèbres de par leur propension à faire resurgir, une plateforme de gestion conséquente et rationnelle, à l’aide des agrégats politiques, sociaux et économiques, suffisamment tripatouillés, nous jette de nouveau sur le terrain de la discorde, à tel enseigne que nos anciens démons, ceux hérités des périodes les plus fastes, que ceux, acquis pendant les périodes les plus sombres de notre histoire, refont jour, planent sur les perspectives en vue, cloisonnent les ardeurs et confinent même les relents, dans le canevas, pseudo convenances. Pour mieux, que je me fis, l’abstraite illusion d’avoir suggéré la primauté, de l’action au détriment de la plénitude des subjectivations relatives à une conception rabougrie, dénouée du sens voulu, pour indénombrables, paraîtront, les prises de position désobligeantes, ayant entraîné, la dégringolade, et le confinement des aspirations de toute une nation, en lieu et place, d’une transition appelée de tout vœux, à demeurer un rempart absolu, contre l’ignominie et les dérapages en tous genres. Sur ce, que Tibou Camara ou autres accusés, dans la tentative d’assassinat de Alpha Condé, montent au créneau de nos jours, pour en appeler à une gestion concertée de la Guinée et mettre en avant l’incompétence, et l’incapacité de ce dernier, à faire face aux défis majeurs, tels que la demande sociale, les problèmes économiques, afin de d’augurer un sens et une portée, aux accusations et les corroborer, du moins celles le concernant dans cette affaire, me paraissent, nous renvoyer, à la période pouvant être considérée comme celle des véritables prédictions, vu qu’elle offrait, une marge considérable de résorption, de prévention et la mise en place des jalons d’une gestion future, qui aurait prémunis contre, une dérive, inéluctable, de par la jonction des volontés et des procédés.

Pour peu ou proue, que j’élague l’étendard des soubresauts, les dispensent de la vertu domptrice de toute docilité, me ressasse la matière grise avec un de ses innombrables, préceptes politiques, creux et vestiges, de l’approche à dimension Africaine, de la déconvenue, les divergences conceptuelles et les incertitudes binaires des lendemains alliés à une conception corporatiste trop vénale, je ne parviens point, à me dissocier, du calque des injonctions, ayant fait entériner, galvaniser, et germer, l’idéal de scrutation collective des dérives, jusque là, entrevues, comme, le socle de la mauvaise gouvernance, et de l’impodérance des procédés, gisant du fait, sous le poids indétectable des affres, d’une opposition de forme, faisant à gré et à souhait, essuyer, un effroyable et larmoyant, effritement au fond du problème, quoi que (ce fond) s’articulant, autour des mêmes aspects et s’offrant aux mêmes panels de critiques et par delà, cet aspect, concomitant, d’une adhésion commune aux mêmes idéaux, à la même cause et au même combat, rien en l’état actuel de l’évolution politique et des prises de positions; encore moins, remontant, le passé si proche, si vivant et vivace, si prégnant qu’il fut, si impacté par l’élongation des oppositions antérieures stériles, voir stéréotypées, et dont les séquelles (oppositions), ornent encore l’esprit des vivants et des illustres témoins, du combat mené, au cours de la dernière ligne droite d’une conquête (les élections libres et démocratiques) unanimement auscultée comme celle de toutes les vertus, un combat pouvant être dénommé, comme, celui de la grandeur d’esprit retrouvée, reprise et refaite, sur la base d’une concurrence, établie selon, les seules règles, de la préséance et de la bienséance, sur fond de compétence et de légitimité; ne nous poussent à céder à la tentation d’une jonction supposée altruiste, mais non illustratrice, des quelques possibles et rares points de convergences, au regard de l’observance de la marge de résolution escomptée, et du postulat originel décliné en avant goût de l’entame, par chaque frange, labellisée, sous le sceau de la primeur, d’une mutation aussi bien qualitative, que quantitative, des agrégats sociaux, politiques et économiques. Eh bien, en cela, rien ne me paraît souscrire, à la stimulation, comme sources, de la réticence maugrée, en hymne à la raison, y compris les apartés fait d’élucidations néfastes, à l’entente et à la cohésion sociale, tout au plus, un code de conduite, une approche, une méthodologie, et un engagement à n’altérer sous aucun prétexte, ne serait ce qu’extra technique, n’obéissant à aucune forme de reniement, à la logique pérenne de circonscription des aléas qui se font jours à l’image du script de toute gestion collective, d’une onction suffisamment et prétendument actée comme une présomption présumée pour les errements du futur, revue à l’image du chaos et des désertions doctrinales du passé, la stagnation, du présent, le dédale, le manque d’élucubrations quand il faut surseoir le gouffre abyssal, et inonder les cris sociaux de désespoir, de déshérence, de frasques onomatopées, et enfin qu’attendre ou solliciter, du futur, devenant de surcroît, hypothéqué et imbibé, de ce fait, des procédés dérisoires, malfaisant, malencontreux, contraignant, des régimes s’étant succédés au perchoir et ayant réussi à accumuler et endosser, l’exégèse des responsabilités, dis-je toutes les responsabilités, revues et réappropriées, en débitant, l’arc des convenances et celui des confiances, en soudoyant l’ardeur populaire et en fringant de pétulance, le vouloir submergé des démons de la discorde. Ceci étant, bien que les critiques qui fusent sur le toile, soient de natures à relever de passage, les marges in conséquentes du nouveau pouvoir à Conakry, de sorte à baliser son règne, pourquoi pas tenter, de le cerner soient au mieux, soient au dépourvu, il me revient, dans ce tollé dispatché, une conviction encrée et enracinée dans le creux de mes prises de positions et s’y adjoint, avec la seule et redoutable arme, dont l’origine explique, on ne peut mieux, ses pendants naturels actuels. Ainsi, face aux injonctions, c’est à dire, celles de ceux de nos jours, voulant dissiper dans une fonction éparse, les obstacles qu’ils ont contribué à dresser résolument, obstinément avec une détermination farouche à occulter une approche consensuelle et qui cherchent à forger, inéluctablement, bon gré, malgré, leurs revendications dans le moule vindicatif, je me refais une marge non moins, conséquente, vue qu’elle cherche à nous renvoyer dans les primats des disjonctions, mais largement à la portée de la donne préexistante et dominante, de la plate forme actuelle d’infléchissement des directives d’un régime, phagocyté de travers par ses approches et travesti par l’élan qu’il s’est imprimé, rien que pour s’emparer d’un pouvoir, arraché de l’urne, avec amalgame, stupeur et torpeur, au point, qu’on a failli, assister in extremis, si les révélations s’avèrent vraies, à un assassinat politique, dont les dessous sont à la fois, enfouis et entourés du fameux secret de polichinelle des dernières élections présidentielles Guinéennes, dites transparentes et démocratiques. Partant, moins un refus du ou une désertion à l’égard du champ d’expression du mérite, mais disons, plus l’impact d’un idéal inaltérable, de par sa fonction de redorer le blason, celle coercitive, d’innovation, de régulation, de renouveau et de moralisation, le nouveau régime de Conakry, attire par exemple, par sa propension à augmenter le budget de la présidence, rien que celui alloué à la caisse noire, c’est à dire, les dépenses privées du PRG, à hauteur de plus de 75%, alors chiffré à une dizaine de milliards du GNF, à l’heure où l’austérité, la discipline et la rigueur budgétaires sont de mises. Pire, il paraît que le RPG se servirait des fonds de l’état, pour faire campagne, en les distribuant aux militants pour augurer faste et plénitude, à chaque déplacement de l’actuel président, (lire l’article, d’Alkhaly Daffé sur Guinée58 concernant le voyage du PRG aux USA). Outre, que ce fait, soit récurrent dans le paysage politique Guinéen, comme en font fois, les avantages, accordés au PUP, au temps de Conté, il ne saurait demeurer, un tabou pour les contemporains, encore moins, pour les politiques et l’élite de façon générale, de se voir, tôt ou tard, rappeler à l’ordre, et à la justification des financements de leurs partis politiques, de sorte à élucider les financements occultes, sinon justifier tout simplement, la gestion des comptes publics!!!

En lieux et places, de l’euphorie, la félicité, le contentement et le désir de jouissance extatique, des uns et autres, à l’égard d’un pouvoir, acquis, par une onction diversement, qualifiée à la fois, d’avenante à l’évolution politique des oppositions de principes, d’imaginaire, issue d’une contrainte à tout point de vue, et institué (le pouvoir) en référence, à un ordre longtemps, demeuré encré, dans la primeur à une aspiration inestimable, incommensurable, et vouée à transcender toutes les contraintes et obstacles et quoi que cette frange, soit sublimée au point de céder, sur toute la ligne, du socle fondateur des idéaux qui nous ont permis, d’amoindrir les dérives éparses des différents régimes, ayant présidés aux destinées du peuple de Guinée, circonscrire ces règnes, soient par des actions sporadiques de soulèvements populaires, soient par des actes d’infléchissement des directives et politiques gouvernementales, impropres à générer ipso facto, l’idéal collectif de progrès, de prospérité et de développement, il me restera infiniment gravé dans la cervelle; aussi longtemps que la primeur des actes à observer pour doter la Guinée d’une plate forme de gestion conséquente et à la hauteur des objectifs de développement, nous dictera la saisine des règles primo définies comme incontournables, et aussi édifiante que pourraient me paraître, la jonction et l’édification, des procédés sans lesquels, se prémunir, contre les errements du futur et ses élucubrations seront une vanité; que le recours à une méthodologie opérationnelle et pragmatique, nous feront accéder à un postulat de résolution, des difficultés et baliseront, pour autant que le sens se joint à l’action, l’élucidation de la problématique du développement, débarrassée, des immixtions sur le terrain des divergences stériles et l’alliance naturelle qui nous la rattache, à coup de buttoir et à défaut de solutions, à la fatalité. Ainsi, en repassant au crible, les différents postulats qui se dessinent sur le terrain politique, les oppositions nourries et la discorde élaguée de son mobile, on en reviendrait sans encombres, ni prise à partie, encore moins, des injonctions à but détournées, à revoir le discours du Pr Alpha Condé, prononcé le 23 septembre 2011, devant l’assemblée générale et un parterre de dirigeants politiques, d’hommes politiques, de diplomates des Nations-Unies, y compris tous ceux de près ou de loin, se voient impliqué dans et concerné par la recherche des solutions au processus de développement, sans oublier, l’illustration parfaite de ses pendants naturels, au sein d’une institution à dimension planétaire. Partant, le discours, prononcé, quoi qu’obéissant à une tradition, aux origines mal élucidées, quand on veut privilégier, le symbole qui s’y accole, au détriment, d’un vouloir, ressuscité de marquer une rupture, telle qu’exprimée à travers la volonté de changement, nous aura permis, celui de Alpha Condé, d’en savoir un peu plus, sur les déterminations actuelles du nouveau PRG, articulées autour de sa vision politique, en ses grandes lignes. Pour ainsi établir un rapport aussi étroit qu’ils nous auraient donné d’en déceler, entre ces déterminations et les grandes idées qui la caractérisent, je me suis donné pour devoir, concomitamment, aux confrontations politiques en vue, les diverses prises de position et le postulat actuel, sous lequel le pouvoir se présente à Conakry. Reprenant un inventaire des actions menaient de front par son gouvernement, à l’égard de tous les secteurs, pour éradiquer la pauvreté, combattre la corruption et les détournements de deniers publics, respecter les libertés fondamentales et les droits de l’homme, bien que ne devant nullement figurer, à l’agenda de son gouvernement en attendant les élections législatives qui sont un passage obligé, pour celui qui se soucient d’une gestion consensuelle et paramétrée des différents secteurs, il fait étalage d’une docilité et d’un esprit de consensus, qui sont de loin, observés sur le terrain, comme en témoignent les tractations actuelles pour l’organisation des élections législatives, contrairement à son exposé, des actions menées jusque là, je cite: "Des stratégies et politiques dynamiques sont élaborées et appliquées pour l’amélioration des conditions de vie des populations. Au nombre des réformes engagées le gouvernement accorde une place de choix à l’agriculture, en vue de parvenir à l’autosuffisance alimentaire. De même, le secteur minier est en voie d’être assaini, à travers l’adoption d’un nouveau Code plus attractif, qui prend en compte les intérêts de la Guinée et de ses partenaires. Dans cette dynamique de changement, des actions se poursuivent pour la modernisation et la restructuration du système judiciaire, afin de garantir la promotion et la protection des droits et libertés des citoyens, de créer un cadre incitatif pour les investissements. Sur le plan financier, la réforme permettra de juguler l’inflation, d’empêcher les détournements de deniers publics, d’éviter l’utilisation de la planche à billets, de combattre la mal gouvernance, l’impunité et la corruption. Des mesures rigoureuses de gestion tels que l’unicité de caisse de l’Etat, le renforcement du contrôle économique, la refonte de l’administration, ainsi que la réalisation d’audits, arrêteront la saignée financière et corrigeront les dysfonctionnements. Outre les mesures d’amélioration de la gestion macroéconomique et les réformes structurelles dont je viens de faire état, le gouvernement a élaboré des stratégies de réduction de la pauvreté pour satisfaire les besoins fondamentaux des populations en matière de création de revenus et d’accès aux services sociaux de base, notamment l’approvisionnement en eau potable et en énergie".

Pour mieux analyser, le discours prononcé le 23/09/2011, par le Pr Alpha Condé, devant la 66° session de l’assemblée générale des Nations-Unies, en ses aspects relevant de la politique intérieure, je pense qu’il faut mieux, s’en référer à la fois à la dimension technico-structurelle du discours et à une approche axée sur la faisabilité des dites réformes, doublés de leur niveau de conception, d’exécution et de mise en œuvre, esquissés en étendard absolu, d’une convenance, supposée et censée refléter le niveau d’adhésion de la population. Ainsi de par son aspect technique et une approche conjoncturelle, (discours) tentons de cerner au mieux, le bien fondé des orientations impulsées et leur conformité avec un choix judicieux, efficient et rationnel, en sachant d’entrée que l’analyse technique, nous dispense de tergiverser, sur le mode de conjugaison des efforts, liés, disons, à la surenchère politique, déclinée, à la place, d’un discours de politique générale, dépourvu de mordant, lorsqu’il faut le disséquer, selon le postulat standard de légitimité conférable aux décisions et réformes d’un état qui se bâtit selon le seul précepte, de l’interaction et l’équilibre des institutions républicaines, de la modernisation des structures et leur fonctionnement , non pas transposée, mais inspirée autant des spécificités sociologiques, que de la particularité d’une évolution politique, enfourchée et alternée depuis l’entame de l’indépendance politique, entre la centralisation d’une économie au service d’une politique rigide, et aux antipodes du pluralisme politique, et la libéralisation anarchique d’une économie au service d’un état qui fléchissait rien que sous le poids de ses indécisions et son incapacité récurrente à coordonner, cadrer et impulser les politiques publiques, dites alors, de redressement national, ne cessons jamais de le dire.

. Pour ainsi feigner, à la souscription momentanée, et pourquoi pas prémunir, le socle collectif, contre les aléas privatifs et entravant, y compris parer aux éventualités diversement contributives et aliénant pour les perspectives en tous genres, de surcroît, en mode de transcription pérenne d’une démarche, à la solde exclusive, d’un renouveau resplendissant, teinté d’un brassage des procédés et des techniques, pouvant et devant être hérités, simultanément des passages auréolés et fastes de l’évolution de la Guinée aux passages à vide, observés, comme une déchéance, à ne ménager, que dans l’optique d’un sursaut, refaisons une dissection combinée de certains passages du discours, avec les faits, caractéristiques, de la situation politique, économique et sociale, telle que corroborée, par l’embellie, non illustrative, à mon sens, d’une rigueur perceptiblement distincte des errements du passé, une conception échelonnée en fonction des priorités, articulée autour de la nécessité d’identifier à défaut d’un afflux de financements, les pôles de croissance et ceux de compétitivité, dans la recherche des effets du multiplicateur et d’entraînement et finalement aplanie (conception) par les divergences et oppositions constructives. Partant, du discours, force de persuasion, nous est dévolue et faite comme l’entame d’un règne, qui doit être circonscrit selon les règles de l’art, lorsque l’imaginaire collectif, se voit contraindre de demeurer, dans le creux vivace de l’action enfilée, par et pour, non subsister selon le gré de la dimension symbolique, des politiques publiques. Sur ce, abordant la question très sensible et suffisamment usitée, des conditions de vie de la population, qui est en soi, le déterminant essentiel, de la politique globale, ambitionnée par le gouvernement, en temps et en heures, il lâche un boulet subjugué, pour ceux qui savent, qu’un récit est toujours narré au passé, soutenant en quelques 9 mois d’exercice du pouvoir; et bien que sachant qu’à la fois, la légitimité et la compétence technique, du CNT comparativement à une assemblée Constituante, furent largement au creux des injonctions nourries, à travers les lignes qui suivent que: « Des stratégies et politiques dynamiques sont élaborées et appliquées pour l’amélioration des conditions de vie des populations." De là; à brusquer avec force et conviction, un bilan d’évaluation à mi-parcourt, de Alpha Condé, fustigera la retenue, et d’ailleurs, ce bilan, ne serait plus qu’une souscription volontaire, au discernement, car, à la lumière de la vérité, on est plus enclin à forger le moule de la conception et de la mise en oeuvre des réformes, à la caution de l’existence d’une assemblée étoffée techniquement et largement représentative des différents courants et tendances politiques qui se disputent, à ne plus s’en offusquer, l’autel des convenances, relatives, à une gestion politique concertée, à un leadership de taille, le tout au service d’une économie qui prospère, d’un état dont le règne s’apprécie et d’une société, qui transgresse les inégalités, en donnant consolation et vigueur, à l’humain. Plus loin, en métronome absolu, et au lieu, d’assortir, l’esquisse des mesures et réformes engagées par son gouvernement, à mon sens, tout au plus, la plume de celui qui écrit, ces discours, de pendants naturels et acquis pouvant en être générés du point de vue, économique, notamment, la stratégie de réduction de la pauvreté, la création de revenus, et l’accès aux services sociaux de base, lorsque gardant, fidèlement à l’esprit que l’économie, est le dénominateur commun avéré de la résolution des difficultés et une solution capitale pour juguler, les effets pervers des dysfonctionnements structurels, et stopper l’hémorragie des finances publiques. En cela, les lignes qui suivent, suscitent de plusieurs manières, des débats à connotations inversement supposées, et relativement imaginées, raison pour laquelle, encarter d’autres solutions et d’autres alternatives, me paraît traduire au summum, l’adhésion commune, à un mode de gestion qui se veut consensuel et débarrassé, des entraves, qui la confinent et la cloisonnent, dans le moule de l’incrédulité. "Outre les mesures d’amélioration de la gestion macroéconomique et les réformes structurelles dont je viens de faire état, le gouvernement a élaboré des stratégies de réduction de la pauvreté pour satisfaire les besoins fondamentaux des populations en matière de création de revenus et d’accès aux services sociaux de base, notamment l’approvisionnement en eau potable et en énergie" ».

Revenant toujours, sur le discours du Pr Alpha Condé devant la 66° assemblée générale des Nations-Unies, comme un pic dans un amas de disjonctions et de constellations primitivement allouées à river les supputations réimposées et à la risée, des dissections sporadiques d’un ordre appelé à s’éclipser, et quoi que, (amas) subtilement, dévolus, à marquer, les points de divergences, pour ainsi élucider, les points de convergences, tout en me permettant de franchir le Rubicon et lever le voile, sur l’incompris et l’incompressible divagation qui taraudent, au point de faire émousser, toutes les tentatives d’accréditations des structures innovantes, d’agrégats conceptuels à la hauteur des impératifs sociaux, économiques, politiques et mêmes culturelles, largement réactualisés et revigorés à la lumière et l’éclat, d’un sursaut avéré comme le credo d’une largesse d’esprit, accaparée à la faveur d’une introspection non au sens exigu du terme, mais tout au plus, un recul sur soi, afin de mieux entrevoir l’avenir auréolé d’un véritable Riquiqui; mon cerveau se regimbe, se reprend et s’enclenche, sous le poids des incertitudes méthodologiques, les dérives intempestives d’un pouvoir titubant et balbutiant sous les injonctions vindicatives, afin de demeurer au creux d’un discours qui paraît, on n’en peut plus, fondateur, d’un ordre qui s’illustrent peu à peu par ses incohérences, ses accointances avec le terrain des conceptions aiguisées et son assimilation de l’incompétence à une absence totale de marges de manœuvres, l’inertie prononcée par anticipation au regard de la confusion générale, suscitée, par moult digressions, tel qu’en témoigne, ce discours devant l’assemblée générale des Nations-unies, dont la narration à l’image des récits historiques, s’est faite au passé simple. De ce fait, obstrue, occulte et s’enferme (discours) dans une logique acquise, à la réunion de tous les préalables, à l’amorce des réformes en tous genres et leurs mises en œuvre, en lieu et place de leur entame, à savoir la conception et l’élaboration de certaines réformes,  nécessitant obligatoirement une saisine du parlement, dont l’élection est attendue de pieds fermes, au détriment d’un discours, souhaité, ouvert, futuriste et construit en prévisions des perspectives qui pointent à l’horizon temporel, car, à lire et relire, ce discours, on s’aperçoit que c’est un plaidoyer en faveur du retour des investisseurs au motif que l’héritage trouvé sur place, ne laissait guère, présager un lendemain meilleur, je cite: "Les défis à relever sont nombreux et complexes. La situation socioéconomique dont nous avons hérité n’était point reluisante. Une économie complètement désarticulée avec pour corollaires l’inflation, la corruption, un dysfonctionnement total de l’Etat". Ainsi plus loin, il s’engage à demeurer, en phase avec les principes sans lesquels, rêver de démocratie, voir d’un état de droit serait illusoire. En cela, et relativement à l’interdiction des manifestations, qui est un droit constitutionnellement reconnue à toute formation politique, qui se soumet et se conforme à la procédure légale, prévue par la loi, ce passage, est une souscription, u engagement et une prise de position supposée, définitive, sachant le parcours de l’homme, devant l’institution la mieux étoffée, pour s’enquérir du degré d’application du droit, assortie, du respect scrupuleux des libertés fondamentales et dotée d’un pouvoir de sanctions de toutes exactions ciblées et violant, les principes universels, de préservation, de protection juridique et de sauvegarde de la vie, d’autrui, je cite: "C’est le lieu pour moi d’assurer la communauté internationale de l’engagement de mon gouvernement de respecter et de promouvoir les droits de l’homme, de consolider l’unité et la concorde nationale, de bâtir une société démocratique et d’assurer le progrès et la prospérité des populations Guinéennes"

Telle une envolée, au sein de la nouvelle plate forme, de gestion économique prônée et entamée, en Guinée, dans le but de juguler, si ce n’est une tentative d’enrayer l’hémorragie financière des comptes publics, surseoir les méthodes obsolètes de contenir les dérives des politiques publiques et inaugurer une nouvelle ère, à l’aide d’un leadership de la taille des aspirations sainement vouées à transcender les clivages quotidiens, érodant et taraudant, le moule du compromis, une décision certes annonciateur d’un souci de circonscrire les vestiges de la corruption et du détournement des deniers publics, mais aussi et surtout, à l’origine, du décryptage, voir de l’exégèse des pendants, tenants et aboutissant d’une vision économique, concoctée, définie et esquissée en solutions palliatives, aux multiples défis, jalonnant l’atteinte et la réalisation de l’idéal collectif de progrès, transparaît en ligne de mire de ma scrutation des actes posés par le régime de Conakry, en réponse aux multiples injonctions étalées en contrepoids à l’incrustation d’un régime fort de présupposés, éblouit de confrontations, illustré par une vieille fable et rengaine, reprises des potentats et agrégats locaux, aux antipodes de la jonction des ardeurs, de la diversité conceptuelle et dont l’entrée en scène, (régime) ne laisse plus subsister que la prudence, la retenue et une forme quasi substitutive à une avalanche de digressions, lorsqu’il faut, sortir des entraves du marasme, de la gabegie, de la litanie d’antan et celles (entraves) au processus de régénérescence, mis en branle, pour conférer, disons, une cure de jouvence, à l’ensemble des structures fonctionnelles de l’état pour ainsi équilibrer, l’interaction des institutions républicaines, en butte, à la rareté constante des ressources, seuls gages de leurs optimisations.

Cette décision, qui apparaît à la lumière du jour, et aux yeux des autorités Guinéennes, comme un acte fondateur, se trouve corroborer par une approche à mon sens, incohérente, axée sur la réévaluation et la sécurisation des recettes de l’état, déclamée à la faveur des annonces relatives aux réformes économiques prioritaires, à savoir, l’unicité des caisses de l’état, une réforme dont l’état Guinéen, rêve, pour mettre la main à la patte et piloter les actions de développement, engagées, mais est-ce pour autant qu’il faille, remettre aussi facilement en cause et à plat, une œuvre, déjà entamée et porteuse de résultats probants, dans la perspective, de la déconcentration des services de l’état?

Ainsi d’une approche fondée sur le pragmatisme à une approche axée sur les référents classiques, voir les doctrines et les théories, expérimentées et émises, on se trouverait complaisamment altérée par une opposition à trois dimensions: la décentralisation structurelle, financière et le transfert des compétences, en sachant que le respect scrupuleux des principes budgétaires en corrélation avec une modulation des annexes, dudit budget ainsi que la création des fonds spéciaux, accroissent la lisibilité du budget, y compris la fiabilisation et la viabilisation du contrôle de la chaîne de perception des recettes, et des dépenses, car, à prendre connaissance, du taux de la fiscalité au sein du PIB des pays Africains, qui caracole autour des 10%, en tout cas, pas plus de 17%, comparativement aux pays d’ailleurs, on se rendraient compte à la fois, de la pertinence, la nécessité quasi absolue de procéder à des correctifs de la politique de décentralisation, et un transfert suivi des compétences de l’état vers les collectivités locales, ainsi que la dotation financière requise, afin d’émarger leurs marges de manœuvres financières, au regard de l’impact escompté. Partant, si le principe de l’unicité des caisses, permet de centraliser et limiter l’ensemble des recettes et dépenses, à une caisse unique, à l’image du trésor public Français, il n’en est pas, une expérience réussie, au point, d’annihiler, la vision et la volonté politique, du développement local, à l’image d’une pyramide, au sommet rétréci, et à la base élargie, c’est à dire, celle orientée du sommet vers la base.

A ceci près, alors, comment la France peut-elle continuer à croire aux vertus salvatrices de la décentralisation, à l’autonomie financière et au transfert des compétences de l’état vers les collectivité locales, en remettant sans cesse en cause, son modèle économique préexistant?

Quoi qu’il en soit, la Guinée, n’est pas un pays qui sort de la guerre comme la Côte d’ivoire et tant d’autres, pour qu’on estime prioritaire l’unicité des caisses de l’état. Bien au delà, le bilan de la politique de décentralisation, en Afrique, pointe partout du doigt, le décalage entre la politique de décentralisation, l’autonomie financière, le transfert et la délimitation du champ des compétences entre l’état et les collectivités locales, comme une entrave à la consolidation des politiques publiques à vocation locale.

Alors, on se demanderait bien, quel choix le gouvernement entend t-il opérer, entre l’intégration et l’efficience des acquis d’une part et de l’autre, entre une politique à visée macroéconomique de la croissance, de la productivité, de l’investissement etc…. et la fonction de péréquation selon les cas, d’impulsion et d’orientation de la politique globale de l’état.

Afin de mieux relever le niveau de la rhétorique du postulat universellement dévolu, à une conception relativement classifiée à des fins de vulgarisation de la pensée humaine, et dans le but de redéployer mes arguments antérieurs étayés, sur l’adjonction absolument nécessaire du socle des politiques publiques aux extensions qui s’y impriment, de sorte à impulser une politique multisectorielle et multidimensionnelle de l’état, je renoue sans jamais abdiquer; (ramolli par les injonctions que je suis au quotidien, confiné et effaré par la mage telle céleste, et insoumis à la horde et meute barbare, et de la discorde que je demeurerai à l’infini); avec certains de mes penchants naturellement voués à transcender les incohérences résultant de la violation et les graves manquements observés, lorsqu’il faut allier l’option politique aux principes qui la sous-tend, principes sans lesquels; l’ordre de la préséance même, alloué à l’action politique et à l’application des grandes théories et doctrines, émanant de l’évolution, et de la consolidation des régimes politiques et les processus de développement économiques; se verront déroger de leur objectif. Ainsi, revenant de nouveau, sur un aspect, du développement auto centré, je dirai, un aspect qui ne serait en rien, un glas lugubre, malgré la disparition du communisme, et à la fois, de par sa teneur et sa portée actuelles, parce que logé dans le creux des concepts les plus innovant, qui préconisent, la combinaison des genres, en référence, à un constat alarmant et accablant, de la mise en œuvre des politiques de développement en Afrique; (Guinée quel devenir 1, resurgit dans les sillages de cette analyse, à travers et l’entremise de ses anticipations, tendant à inciter la correction des politiques publiques par le biais d’une mise à profit, voir à contribution, des erreurs et les dérives accumulées); j’entrevois la logique de l’histoire s’entrebâiller, vu que des deux équations suivantes: décentralisation+déconcentration=partage de compétences entre collectivités territoriales+organismes déconcentrés, quand la première valeur (décentralisation) admet le transfert de tutelle, l’autonomie financière et la délégation de pouvoir, pendant que le second, admet juste la délégation de pouvoir, à l’opposé du principe d’unicité des caisses de l’état, vu qu’elle (unicité) laisse perplexe, quand à son issue, son adaptation rapide, les effets pervers possibles liés à l’adéquation des choix en investissement local avec la disponibilité financière, la lenteur probable du décaissement, lesquels faits obstrueront à leur tour, le rythme et le taux d’exécution des projets, en lieux et places, de lancer une réflexion à des fins de réformes et de recadrages de l’arsenal législatif, régissant le fonctionnement des collectivités territoriales, les communes et les CRD, sur fond de réforme générale de l’état, en sachant que la France, qui nous inspire, dans ce cas d’espèce, avait procédé à une vaste réforme des collectivités territoriales, et des communes en 1982, des réformes jugées très positives. De là, à minimiser, réduire substantiellement et qualifier, les possibilités de l’état à sécuriser les dépenses et recettes publiques et celles des collectivités publiques, mettre en place des outils de gestion performant et modernes, avec à la clé, la création d’une cellule financière pour la répression, au sein, soit de la gendarmerie nationale soit un corps spécialisé, ainsi qu’au sein de la justice, à la suite des cellules d’inspection, de dérisoires et le traiter (l’état) d’incapacité avérée, n’est plus, qu’une suite s’offrant à gré et à provision, à la décadence. Ceci étant, la décentralisation contrairement à la déconcentration et comme des rapports à fusion nous en apportent les preuves, revêt une spécificité, qui la rend, contraire, à un développement de type auto centré, apparemment prôné par Conakry quoi qu’aux conséquences désastreuses, pour redorer le blason de l’agriculture, partant du fait, que seules une économie de marché, doublée des subventions publiques pour la production et le soutien à la filière d’écoulement des produits agricoles et au service de la dynamique d’une tutelle assurant le contrôle total, le suivi et l’élaboration des grandes orientations, seront à même, d’épargner l’effort d’autonomisation financière et de délégation progressives de pouvoirs aux collectivités, d’une dérive in conséquente, à l’opposé d’une politique qui renverrait à la centralisation financière et économique d’antan, car, plus l’état se dote de perspectives de développement et de réformes structurelles, plus il se dispense d’une bureaucratie improductive, accroît et prospecte les champs du développement local, en impulsant les grands équilibres, sous et à l’origine des initiatives locales. Ainsi débarrassé l’état des contraintes qui l’empêchent de se consacrer au développement à haute échelle, en transférant certaines de ces compétences aux collectivités locales, peut prouver à suffisance le niveau d’implication des populations dans le processus de développement et ressort, le champ d’expression du vouloir local, et même permettre la spécialisation des régions en fonction des agrégats naturels, j’en passe !!! En définitive, une politique ambitionnée selon les postulats universels, requinqués des agrégats et spécificités locaux, se doit un paravent et avant gardiste, contre, la tentation démesurée, l’occultation de l’action et le hasard scalpé, pour le fait, d’une prémonition à léguer, au compte du scrute de l’évolution, de ses aspects les plus insidieux aux plus déprimant de l’arbre de la consolance, du compromis et de la concorde…..

Bien que l’on se doit, sous multiples principes, de regarder, les tenants de la vérité avec humilité, lorsque la témérité nous y complaint, et s’adouber de vertus, somme toutes, illustratives, d’une donne primo définie, à la jonction entre les ardeurs déployées et les objectifs en constante gestation, il paraîtrait plus que de la rétribution, d’en référer en totale harmonie avec la logique émanant d’une oeuvre de stabilisation politico sociale et de redressement économique, après avoir, réussi tant bien que mal, à mobiliser autour des questions majeures, l’essentielle des forces et mouvements politiques, dont les interactions ont fini, par éroder la confiscation antérieurement prônée du pouvoir, subjuguée les tentatives antérieures de musellement de la classe politique et décloisonner, la volonté et les aspirations supérieures de la nation, du moule de l’incrédulité.

Ainsi, de par le constat et les aspects résultant de l’observance des règles sacro saintes, y compris le panel des expériences, jusque là, catalogué, et dispensé à titre de benchmarking et au regard bien évidemment de l’acception universelle de la démocratie; en matière de processus de démocratisation, dont, dans la plupart des cas, l’entame fut obstruée par un manque de consensus et un décalage entre l’élite et le peuple, il ressort d’un certain nombre, de considérations, une volonté inexprimée par une frange, dont on peine à localiser de par son pouvoir de nuisance, de spolier les acquis arrachés de hautes luttes, et les utiliser à son seul profit, lesquels acquis, demeureront à jamais entaché du sang des martyrs, croupissant dans les oubliettes, pourtant, de la mémoire collective.

Par ailleurs, une exigence transparaît assez clairement, dans cette analyse de la situation politique Guinéenne, lorsqu’il faut, inscrire en lettre capitale, les principes fondateurs, d’une nation qui se veut de bout en bout, et à tout bout de champ, encré dans le système démocratique, c’est celle qui nous imposent en tout lieu et en toute circonstance, d’imposer le respect scrupuleux des libertés, notamment celles dont l’occultation nous aura fait investir le champ des investigations et des revendications, et sans lesquelles, parler de ou songer à la démocratie, serait pareille que s’encastrer, dans un gouffre sans issue, d’où, un regret manifeste et une pensée profonde à la mémoire des disparus du 27 septembre 2011, pour les blessés, et finalement, ceux ayant été détenu et font l’objet d’un procès contesté et présenté, comme une première, dans l’histoire judiciaire de la Guinée par les médias sur place, car il paraîtrait que plus de 1000 personnes interpellées à la faveur de cette manifestation, sont actuellement jugées en comparution immédiate. Chose éminemment devant appeler à la mobilisation de l’élite politique et intellectuelle, pour non seulement dénoncer l’inertie antérieure du pouvoir politique, qui aura refusé de tout temps de mettre la machine judiciaire au service du droit et des justiciables à un moment à la fois, où l’ensemble du peuple avait foi en la capacité de l’état à pouvoir sanctionner à temps opportun, les graves manquement au droit et quand il a fallu, créer une harmonie entre le fonctionnement des institutions républicaines et la justice.

En conséquence, il ne serait plus qu’une question de logique, d’opposer une fin de non recevoir, à une pratique qui annihile les vertus de la démocratie, sape les fondements d’une république et assène un sérieux coup à la saine morale, lorsqu’on se souvient, du parcours et la lutte de Alpha Condé.

Vue que l’opposition, s’est dessaisie du devoir tant moral que politique, devant l’inciter à rompre s’il le faut le cordon du dialogue avec l’état, continuer à mettre la pression sur le pouvoir pour sortir de ses geôles, les innocents qui auront fait les frais de leur sympathie et leur adhésion à la cause de l’opposition démocratique, il ne me revient plus à l’esprit qu’un rappel au sursaut. Un appel, qui fait abstraction de toute appartenance ethnique ou régionale, sinon, on se serait abstenu, mais plutôt un appel qui met en avant la seule résurgence, des principes définis, comme indépassables, pour amorcer le rassemblement…..

Du degré le plus élevé des exigences, au primat de toutes les adversités et prises de positions, vouées à rehausser l’existence collective, solder le parcours discursif de cette vaste littérature politique imaginée, concoctée, consacrée et supposée   sou tendant le parfaire ou la réalisation des objectifs majeurs de développement, d’une adéquation subtilement imagée entre le vouloir et le disponible, on ne peut s’enivrer, sous la gestation des prémisses d’une forme de dirigisme primo définie acquise à la conscience des nantis des préceptes prévalant à la mise en place d’un cadre conceptuel favorable à l’épanouissement à la fois intellectuelle, morale et économique, mais aussi et surtout à la pleine jouissance à l’égard des droits et libertés, en sachant de surcroît, que la plate forme des revendications de tout temps observée et esquissée, va d’un panel échéancé à vue, à une hiérarchie fondée sur la prédominance des procédés, des méthodes, des gesticulations de l’histoire entachées de graves distanciations du souhait à l’advenant.

Ainsi, bien qu’il soit désagréable, soudoyé intellectuellement et mal pourvue en ressource morale, d’ en référer au contexte socio politique actuel, en ces aspects les plus déprimants, les plus rétrogrades, les plus figuratifs de l’arbre de la désolation, de la discorde, et de la fuite des valeurs sures vers d’autres cieux, y compris l’emprise de cette dichotomie du légitime et de l’illégitime, axée sur une sale rengaine qui n’a pas encore finie d’inscrire son scripte au panthéon de l’histoire de la nation,  éminemment revigoré(le contexte socio politique) par les non dits, qui vont finalement jusqu’à faire voler en éclat et en miette le pacte de la dissuasion collective, consistant à s’honorer de la seule vertu, de sauver ce qui reste des meubles de la patrie de la désuétude, de la morosité et de la récrimination successive des entraves à l’évolution, il nous est, nous ethnie supposée minoritaire, impossible, sinon improbable de croire à une gestion unie et unifiée de la patrie, avec pour devise, la croyance illico dar, si ce n’est illico presto, aux principes édictés par le droit et la démocratie, et soumise à la seule et unique appréciation de la compétence, du savoir faire technique et de l’aptitude à faire germer un projet de société portant sur des idées qui feront carillonner le pays et lui faire renouer avec son désir d’hégémonie d’antan, clairement affichée à l’origine de sa politique d’expansion, (désir d’hégémonie) pérennisés par les régimes qui se sont succédés au perchoir et tenter avec une maladresse incongrue, une incompétence criante et notoire, une divagation spontanée, un sectarisme avoué et une propension naturellement scalpée de ne point booster le devenir collectif hors des vestiges, qui l’ont tripatouillées à tel enseigne, qu’une fuite en avant prend le dessus sur le sentiment patriotique, qui nous a pourtant et de tout temps, focalisé sur la résolution des aspects techniques, détournant ainsi notre vue, des problèmes cruciaux, existentiels vu qu’on en est au summum de toutes les craintes et brisures imaginables lorsque les opinions et les aptitudes exposent une minorité à toutes les envies.

Par ailleurs,  la position actuelle de Sidya Touré sur l’échiquier politique Guinéen, nous donne la primeur et les signes avant coureurs, de la mentalité qui prévaut, bien qu’on ait appris à la connaître, à force d’en ausculter les tenants, en abreuver les tenanciers et consacrer une large vue, à une discontinuité non rétriburtive de valeurs à la pratique politique, que l’ont veut (la pratique politique) tirée des méandres du postulat de la dénégation, de l’impromptitude, de la manie  qu’on accole injustement à la jonction des valeurs et finalement, une guerre qu’on ose s’avouer, mais à laquelle on se livre et s’évertue, sous l’emprise de l’orgueil suffocant qui empêche la Guinée de connaître la grandeur, le rayonnement et l’entame d’une véritable révolution, une révolution qui se nomme mutation qualitative et quantitative.

En cela, force de principes et convictions pérennes nous exhortent à revoir le profil exigé, pour que plus jamais, nous ne nous souvenions des affres méthodiques de ce système macabre à la solde de l’ignominie et à la merci de la déchéance, tout en gardant à l’idée, que la marge des ascensions, ne requiert et ne requerra, que la capacité à pouvoir incarner le changement dans ce qu’il a de plus probant.



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