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Un nouveau roman, un nouvel enfant !

Publié le 02 juillet 2014 par Jacquesmercier @JacquesMercier

Une nouvelle aventure commence… La sortie d’un roman. C’est la fin de la création et le début de la transmission. On a construit une barque, va-t-on l’emprunter pour traverser le fleuve ?

L’édition en version papier de « Une diva amoureuse » est une belle histoire qui prend corps dans une récente maison d’édition « Ikor », installée à Toulouse, mais grâce aux réseaux et au Net, elle est présente partout. C’est aussi une première pour un de mes livres, puisque la « localisation » n’a plus le même statut et sans trahir notre patrimoine, il peut fleurir partout. D’autres livres se préparent.

En même temps, le même livre est remarqué par une Vénézuelienne qui finalement devient mon agente littéraire pour le continent américain et traduit ce roman ainsi que d’autres. Il sortira sans doute à Caracas en novembre… et ailleurs en langues espagnole et anglaise.

Son site http://www.cocoalifestyle.com

Comment vous faire ressentir ce plaisir de voir ses enfants grandir ?

Cette histoire est née de mes expériences sur scène et de la fréquentation des milieux du théâtre. L’envers du décor, et des humains qui y vivent, cela me passionne comme vous.

Karine Fléjo, une amie critique (Sur http://www.toutelaculture.com) a lu le manuscrit en son temps et m’a écrit un mot merveilleux, dont je vous livre le début :

« Le style est fluide, coulé, d’une sensibilité qui te ressemble tant ! Et aussi un dialoguiste de talent à n’en point douter. Pas de temps mort, pas de rupture de rythme, ton encre coule comme d’une source fraîche, limpide, dans les flots de laquelle on se laisse porter. Le récit m’a beaucoup touchée… Vraiment.

Tout particulièrement Arthur que l’on a envie de prendre dans ses bras, de rassurer, de consoler, dont on comprend les angoisses et la solitude. Ah, la solitude, les relations amoureuses, les faux-semblants, le monde des apparences, la société du spectacle, le besoin d’être aimé pour ce que l’on est vraiment et non pour ce que l’on représente, comme tu en parles bien !

Et l’amour ! Cette relation entre Jeanne et Arthur qui se délite, ce vœu de sauver la complicité plutôt que l’absence, la violence de l’annonce de rupture (mon cœur s’est serré, j’imaginais Arthur, le visualisais le cœur broyé), la douleur de la voir s’éloigner avec un autre et de se retrouver à la fois dans l’ombre de leur amour passé et dans l’ombre de la vie publique. Le tiraillement entre la douleur de l’avoir perdue, et cette envie de tourner la page, cette perspective exaltante aussi de pouvoir vivre une nouvelle complicité avec un être dont on ne sait si on croisera seulement le chemin un jour mais qu’on espère si fort !

Le raisonnement est brillant, très bien structuré. La métaphore, entre l’écriture d’une pièce et la psychanalyse est fort pertinente et belle. Les relations humaines sont analysées avec une finesse chirurgicale. Ainsi les balbutiements de l’amour tout comme son agonie, sont exprimés de façon très sensible, belle, émouvante, sensuelle. Qui n’a pas ressenti ces sentiments que tu décris, lors des premiers émois, ou au contraire, à la fin de cet amour qu’on croyait voué à l’éternité ? Tu mets des mots sur l’intime en habillant sur mesure le corps des émotions. Je m’incline. »

Le roman est en vente sur ce lien :

http://ikoreditions.com/commander.php?Id_Produit_Demande=id_une_diva_amoureuse_707010

Mais surtout, donnez-moi votre avis ? Merci !

Couverture Une Dive amoureuse - Fichier test de presentation de la photo - recto seul



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