
Une fois encore la désinstitutionalisation* risque d’être pointée du doigt pour accélérer la marginalisation des malades psychiatriques, qui sans le soutien de leur famille désarmée, sont davantage exposés aux dangers de l’itinérance et la criminalité.
Le meurtrier présumé sera-t-il jugé irresponsable de ses actes? La Justice sera-t-elle un jour rendue ?
*Pour en savoir plus sur la désinstitutionalisation, je vous invite à consulter cette étude : 35 ans de désinstitutionalisation au Québec