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J’ai accouché à l’hôpital Franco Britannique à Levallois.

Publié le 15 juillet 2014 par Mycosmetiks

Lorsque je suis tombée enceinte, j’étais assez perdue quand au choix du lieu où je souhaitais accoucher. Ce que je savais, c’est que je ne voulais absolument pas accoucher en clinique. L’hôpital Franco Britannique a été mon premier choix pour la simple et bonne raison qu’il se situe à 10 minutes à pied de chez moi et qu’il a plutôt bonne réputation.
En cherchant sur internet, je me suis rendue compte qu’il y avait très peu d’avis sur cet hôpital, ce qui m’a fait pas mal douter. Donc pour rassurer celles qui ont choisi le Franco Britannique tout comme moi, voici mon avis qui est strictement personnel.

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  • Le suivi

Pour moi, le suivi à la maternité a commencé à partir du 7ème mois de grossesse. Avant j’étais suivi par un gynécologue qui travaille à mi-temps à son compte et à mi-temps au Franco.
Le suivi peut se faire soit par le gynécologue qui m’a suivie depuis le début soit par une sage femme. J’ai testé les deux. Mais j’ai préféré ma consultation avec la sage femme que j’ai trouvé plus humaine et plus concernée par ma grossesse. Elle a pris le temps de me demander comment je me sentais, si j’appréhendais l’accouchement… chose que mon gynéco ne m’a jamais demandé en 7 mois.

  • Les cours de préparation à l’accouchement

Pour participer aux différents cours, il faut s’inscrire sur le site internet de l’hôpital ce que je trouve plutôt pratique. Mais attention, il faut s’y prendre bien à l’avance pour avoir de la place. Les cours sont pris d’assaut dès l’ouverture des inscriptions.
Il y a 8 différents cours, à vous de choisir ceux qui vous intéressent. Les cours sont plutôt complets et on peut poser toutes les questions que l’on veut. Ils sont donnés dans une salle équipée de gros matelas et de coussins d’allaitement.

  • L’accouchement

Je vais parler uniquement de ce que j’ai vécu parce qu’il n’y a pas un seul accouchement qui se ressemble. Lors de mon arrivée à la maternité, j’ai été très vite prise en charge par une sage femme. Elle était adorable, rassurante et patiente. A chaque fois que je l’appelais, elle venait en quelques minutes et ne me fesait jamais sentir que je la dérangeais. Je ne la remercierai jamais assez d’avoir mis au monde mon bébé.
En revanche, j’ai trouvé l’anesthésiste pas très compétent et très peu humain. Tout d’abord, il lui a fallu un temps fou pour me poser la péridurale. Il a dû me la poser 2 fois! Je le sentais très tendu, peu compatissant et assez froid. Le pire dans tous ça c’est que la péridurale n’a pas marché jusqu’au bout. Je pense qu’elle a été mal posée et je ne suis pas la seule à le penser puisque cette nuit là, la péridurale n’avait pas marché sur plusieurs patientes.
Les soins post accouchement ont été très bien réalisés et j’ai même pas senti lorsque la sage femme m’a fait les quelques points de sutures nécessaires. La cicatrisation s’est faite parfaitement par la suite.
J’ai pu serrer dans mes bras mon bébé pendant un long moment avant qu’on lui fasse les soins obligatoires. J’ai adoré ce moment rien qu’à nous.

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  • Le séjour

Le gros point négatif de cet hôpital, c’est qu’il est impossible de réserver une chambre individuelle à l’avance. C’est au petit bonheur la chance! Et malheureusement pour moi, ma première nuit à la maternité s’est passée dans une chambre avec une maman dont le bébé n’arrêtait pas d’hurler. Autant vous dire que la nuit a été très dure! En revanche, dès le lendemain, on m’a proposée de changer de chambre, puisqu’une chambre individuelle venait d’être libérée.
Concernant les soins et le suivis que ce soit de bébé ou de moi-même, j’ai trouvé l’équipe géniale, au petit soin pour chaque maman et pour chaque bébé. Il n’y a pas un seul jour où je me suis sentie perdue. Il y avait toujours quelqu’un de disponible à qui poser des questions ou à qui demander conseil.

  • Conclusion

J’ai adoré accoucher à l’hopital Franco-Britannique, et si je devais avoir un deuxième enfant, je n’hésiterai pas à y retourner. C’est une très bonne maternité, j’ai même été triste de la quitter. On s’y sent vraiment bien!


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