ODH Tizi-Ouzou: Les relations entre Israël et Washington sont plongés dans la crise la plus grave depuis 1975, a affirmé Michael Oren, lors d’un briefing téléphonique avec les consuls israéliens aux états unis durant l’après-midi du samedi 13 mars , rapporte notamment le quotidien israélien paraissant a Tel-Aviv Yediot Aharanot .Michael Oren, qui est l’ambassadeur d’israel aux États-Unis d’Amérique,est un spécialiste de l’histoire du proche orient, faisait référence a une grave crise en 1975 entre les deux partenaires, quand les états-unis avaient obligé Israël a un repli partiel du Sinaï égyptien,alors spolié par l’état sioniste . Ses manifestes désavouent ceux du premier ministre de l’entité sioniste Benyamin Netanyahou, qui s’est expérimenté de minorer la crise provoquée au cours de la visite en Israël du vice président Joe Biden, et ce, durant la crise de 2010 , par l’annonce d’un nouveau projet de colonisation à Jérusalem-Est. C ette déclaration-la construction de 1.600 logements Juifs a Jersusalem-Est, un secteur a majorité arabe annexé en 1967-a été ressentie, « parait-il », comme une « offense », par Washington. Elle a été interprétée comme un verrouillage aux efforts américains pour promouvoir le processus de paix israélo-palestinien.
« Cela a été un affront, une insulte, plus encore cela a vacillé le fragile processus de travail d’aligner la paix dans cette région profonde du proche orient. », a déclaré en date du dimanche 16 mars 2010, David Axelrod, conseiller du président Obama. La veille de cette sortie a la vaudevillesque, la secrétaire d’état Hillary Clinton eut un entretien téléphonique, « parait-il » comme étant « très dur »avec Benyamin Netanyahou, selon le département d’état. Une quarantaine de minutes pour passer un « savon »à ce dernier et condamner l’attitude profondément négative d’Israël envers Washington, selon la presse Israélienne, qui a longuement commenté cette bouffonnerie. Politiquement correcte, la tactique de Benyamin Natanyahou est simplement identique que celle du criminel de guerre Sharon et de Barak avant lui. Certes, un léger froid entre Washington et Tel-Aviv a été inspiré, pareillement, le casting presque parfait de Joe Bid en qui « condamne »cette annonce méprisable du premier ministre israélien, Hillary Clinton elle la trouve formellement « outrageante ».Avant la tenue du congres de l’AIPAC, le puissant lobby juive américain, qui a publié un communiqué invitant avec fermeté l’administration américaine a changer de ton. Une sorte de mise en garde contre Barack Obama, et il n’est donc pas exclu que la crise prétendue Israelo-Americaine soit, quelque part, intentionnelle et que les choses ne tarderont pas a rentrer dans l’ordre entre les deux grands amis dans les semaines a venir, moyennant des subterfuges diplomatiques réciproques et éventuellement une énième parade pour une baisse additionnel des attentes Palestiniennes. Les enjeux de cette pseudo crise israélo américaine ne portent nullement sur une réelle volonté de régler la question Palestinienne et encore moins celle de Jérusalem-Est.
« Une avancée vers la paix exige
que tous les belligérants, y compris Israël, établissent des choix douloureux mais indispensables quant a une amorce d’un conflit qui perdure. », a évoqué la secrétaire d’état américaine devant
le congrès annuel de l’Américain Israël Public Affairs Committee (AIPAC), le principal lobby pro israélien aux Etats- unis, qui se manifeste a chaque élections présidentiels pour renflouer les
caisses des candidats, a la condition 'sin qua non', de cautionner les dérives de l'état sioniste sur la population palestinienne. Pratiquement, tous les présidents qui ont foulés la maison
blanche y compris le 'Congres américain', ont 'avaliser' tous les attaques, spoliations et autres génocides perpétrés par l'état sioniste sur le peuple Palestinien depuis 1947.
La dernière sortie du président
américain 'Obama', prix Nobel de la paix et ce, suite a la démonstration de force de l'état raciste et criminelle sur des enfants,des femmes et des personnes sans défense,perpétrée par l'armée
israélienne au cours de cette deuxième semaine du mois de novembre 2012,qui a vu une énième fois,Obama déclarer en ces termes:"Que l'état d'israel a le droit de se défendre et de riposter par
tous les moyens pour se protéger des terroristes palestiniens."
Pour plusieurs observateurs
avertis, l’acceptation de principe par Benyamin Natanyahou de la création d’un état palestinien, comme sa disposition théorique a participer a des rounds de négociations de paix n’étaient qu’un
écran de fumée a usage diplomatique, un leurre, une bouffonnerie, destiné a dissimuler son refus de négocier et de restituer des terres spoliés, tout en rendant la responsabilité de l’obstruction
du processus sur la fraction palestinienne.
Que le soutien des Etats-Unis a
Israël soit inconditionnel ou indéfectible, cela n’a rien de surprenant quand on connaît l’influence exercée par les lobbies pro-israel sur la politique moyen oriental de Washington. Le premier
ministre israélien,juste avant les élections présidentiels de 2012, s’est rendu a Washington pour une visite officielle de trois jours, ,a mis le doigt sur l’abcès devant le congrès de l’AIPAC,
principal groupe de pression juif américain qui ne s’est pas courber,d’ailleurs, en toute désinvolture et audace a déclaré : « …Le peuple juif a construit Jérusalem il y a 3000 ans et le peuple
juif construit Jérusalem aujourd’hui.Jerusalem n’est pas une colonnie.C’est notre capital.Nous ne devons pas être piégé par des décisions insensés et irresponsables. »
C’est clair la construction à
Jérusalem, comme pareillement dans n’importe quelle autre ville annexée ou occupée par l’état sioniste va se poursuivre, et qu’il n’est pas question de ralentir la colonisation de Jérusalem –Est.
Pour Benyamin Natanyahou, Jérusalem-Est, ne fait pas partie du deal, et que la création d’une nouvelle colonie ou l’extension d’une colonie existante, a l’exemple de la construction de 1600
logements nouveaux à Ramat Schlomo, qui est devenue une colonie de Jérusalem-Est ou vivent déjà près de 20.000 colons israéliens. Plus grave et selon la presse israélienne datée de la deuxième
semaine du mois en cours, à savoir la construction de 20 logements a l’emplacement d’un hôtel palestinien a Jérusalem-Est a été confirmée par des organisations humanitaires activant dans la
région. La question de la colonisation, en particulier à Jérusalem-Est, est par ailleurs l’une de celles ou le comportement désoblig eant de l’état sioniste, sur l’esplanade, est la plus sévère a
défendre, face aux partenaires et même aux alliées étrangers.
Le gouvernement sioniste –toutes
tendances politiques confondus a démontré un mépris absolu le tout enveloppé dans une impunité totale des engagements fixés.Entre la signature des accords d’Oslo en septembre 1993et l’échec des
pourparlers de Taba en janvier 2001, le nombre des colons en Cisjordanie est passé de 110.000 a170.000 et la population des colonies de Jérusalem-Est de 147.000 a177.000. Le trouble est donc
grand, assez pour que la politique des visées expansionnistes de l’oncle ’Sam’ dans la région avec son protégé l’état ‘sioniste ‘ d’Israël ‘, qui illustre a quel point le badinage diplomate de
façade peut être cynique et cruel pour les Palestiniens.
Assimilée comme une sorte de
chantage par les différents observateurs internationaux, le premier ministre Benyamin Netanyahou, a souligné devant ce même congrès de l’AIPAC, que : « …Le gel total de la colonisation juive
exigé par les autorités palestiniennes et la communauté pourrait suspendre les négociations de paix pour un an encore ».La colonisation continuera en toute impunité via une certaine complicité
latente des états Etats-Unis,qui verse chaque année la modique somme de trois(03)milliards de Dollars US,comme aide militaire,et ce,pour mater plus le peuple Palestinien.
Pour les régimes arabes alignés sur
Washington sarclent la cause Palestinienne depuis une perpétuité pour plaire avec les concupiscences des Etats-Unis dans la région et se maintenir au pouvoir par tous les moyens,y compris les
veuleries, cela est devenu la coutume d’usage des pays Arabes-fréres.Sur ce point précis, l’Algérie illustre ,d’ailleurs, mémorablement sa prise de position historique et indéfectible au peuple
Palestinien pour une véritable patrie sans partie pris.Le sommet arabe,qui s'est tenu a l'époque du défunt Mouammar El Gueddafi en Libye(Syrte)au menu : la Palestine et El-Quods,qui demeurent
sous les feux de la rampe,et dont les populations continuent de subir l’ une des dégradations jamais égalées dans l’histoire de l’humanité. Les spoliations, les génocides et les crimes contre
l'humanité, ou ni le 'monde civilisé' ni les pays 'frères arabes' n'osent condamner. Le sommet arabe en question, serait-il un sommet de tout es les chances ou un simple rideau de fumée, vu les
dissensions profondes. L’histoire témoignera.
Manseur Si Mohamed pour
l'ODH Tizi-Ouzou