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Il paraîtrait...

Publié le 29 juillet 2014 par Ericguillotte
mardi 29 juillet 2014

- qu’une espèce panchronique désigne un organisme animal ou végétal qui présente une forte ressemblance morphologique avec des espèces disparues connues à l’état de fossile. On les appelle parfois fossiles vivants. Donc Berlusconi ou Régine, je le dis aux blagueurs invétérés, aux chansonniers en quête de la vanne éculée, ces deux personnages présentent un certain nombre d’aspects qui pourraient les inclure, mais on les exclut. En revanche, Sphéno, non. Le sphénodon est un animal panchronique, présent uniquement en Nouvelle Zélande, qui ressemble à un lézard et qui a la particularité de naître avec un troisième œil au milieu du front. Alors que les comiques fanfarons diraient que Régine et Silvio l’ont sûrement ailleurs. Est-ce que le schmilblick aura avancé avec ça ? Je réponds oui, un grand oui, car il faut savoir lire entre les schmils et les blicks.
- qu’Albert Einstein ne portait jamais de chaussettes et était toujours habillé de la même façon. Favorise-ce le fonctionnement du cerveau ? Je dis ça pour nos étudiants, nos bacheliers ? Pour les garçons, pour les filles. Faut-il nécessairement avoir les cheveux ébouriffés et porter la moustache pour être performant intellectuellement ? Il faut y réfléchir ! L’absence de chaussettes été comme hiver me semblant, comme ça, a priori, la chose la plus mixte et la plus aisée à proposer, il faudrait essayer dès la rentrée prochaine pour nos petites sections de maternelle, les tester ensuite en CE1, dans quelques années, et comparer leurs résultats avec ceux actuels. Si ça ne fonctionne pas, on décrètera une tenue identique et quotidienne pour chacun et chacune. Et on fera le bilan 4 ans plus tard. On finira bien par être plus malin. Est-ce que le schmilblick aura avancé avec ça ? Je réponds oui, un grand oui, car il faut savoir lire entre les schmils et les blicks.
- que le Bibendum Michelin tient son nom d'un phrase d'Horace : Nunc est bibendum qui signifie C'est maintenant qu'il faut boire, phrase que les sportifs assoiffés après une course haletante ne disent pas, car ils sont essoufflés, mais que les piliers de bar chantent en chœur, et encore. Mais quel rapport avec Michelin, monsieur Martin ? Le slogan de l'entreprise à l'époque était : Le pneu Michelin boit l'obstacle ! Reconnaissons que les publicitaires avaient été particulièrement mauvais. Mais leur médiocrité a conduit au bibendum, et finalement, à une forme de vrai symbole de la marque, donc, ils ne furent pas si mauvais dans leur nullité. Est-ce que le schmilblick aura avancé avec ça ? Je réponds oui, un grand oui, car il faut savoir lire entre les schmils et les blicks.


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