Ah notre monde,vaste monde,
Toi bien plus que notre regard peut apercevoir,
Au-delà de ton apparence une incroyable évidence,
L’éternelle danse des consciences en mal de certitudes,
Non tu n’es pas que cet ensemble de corps semblant perdus au sein de ton immense nature,
Que ces grains de poussière posés là en ton vaste univers,
Planètes de vie,porteuses des âmes toutes vouées à leur divine destinée,
Toi notre monde,
Sommes-nous dignes de saisir l’essence première de ton mystère.