Faute de nouvelles infos sur le travail dominical, je publie un court extrait de Jean-Claude Pirotte qui s'est en aller avant cet été à la météo... pourrie comme la politique de F. Hollande, l'homme qui ne lit que les fiches de ses conseillers entre deux cirages de pompes du MEDEF ou d'Obama, et une virée en scooter.
« On ne choisit pas son mode d'existence, on est largué ici ou là, on s’accommode de tout et de rien, et l'on survit en dépit du bon sens. Tout cela est d'une écœurante banalité. »
« Mais je me réjouis d'apprendre qu'aujourd'hui c'est dimanche. Rien de faste, ni de néfaste, ne peut survenir. Dimanche de neige et de silence d'hiver. Je pourrais cesser de m'observer le nombril. Je regarderais les traces que laissent les pattes de merles dans la neige, et l'immobilité surprenante du cerisier et du frêne aurait sur mes pensées l'effet apaisant d'une médecine naturelle. »
(J-C Pirotte, Brouillard)