Publié le 22 août 2014 par Dottmungeer
0[GC14] Hazard Ops : Mécha fun, mein liebes Kind !
Ce qu’il y a de bien avec la Gamescom, c’est que parfois, on t’invite à des sessions de jeu. Bien sûr, ça reste des rendez-vous, mais derrière, il y a la garantie de rigoler un bon coup en essayant de rosser les développeurs à leur propre jeu. Et c’est exactement ce qui s’est passé quand Lord et moi sommes allés voir Hazard Ops.
Au Hazard des couloirs
Une ribambelle de costumes sont disponibles, ici un déguisement plus futuriste
Hazard Ops est un TPS free-to-play en beta ouverte depuis mi-juillet et édité par Infernum, connu entre autre pour leur MMO Dragon’s Prophet et le très moyen Brick Force.
Conviés à la première heure, LordSuprachris et votre serviteur s’en sont allés sans attente particulière pour disputer leur première partie de ce soft dont on ne savait finalement pas grand-chose.
Alors que nous ne nous attendions qu’à participer à une fusillade bien classique, nous voilà bombardés pilotes de mécha pour un coup d’oeil à la prochaine mise à jour en exclusivité !
Les modes de jeu en coopération font la part belle aux boss
Parce que chez Be-Games on est taquins, c’est l’un contre l’autre que nous nous sommes battus, chacun avec un développeur dans son équipe. Afin de pulvériser dans les meilleures conditions son ennemi, le joueur aura le choix entre trois méchas, un léger fragile mais aussi agile que rapide et disposant d’une énorme épée infligeant de lourds dégâts, pour aller de pair avec sa mitraillette, un autre plus équilibré dont l’atout principal réside dans ses deux lance-missiles à la puissance conséquente lui conférant la possibilité de verrouiller un ennemi pour observer ses roquettes jouer les têtes chercheuses, et, enfin, un immense titan lent mais extrêmement solide armé d’une sulfateuse extrêmement désagréable. Ce n’est pas son seul avantage, car le monstre de métal peut, d’une seule pression sur le clic droit, s’abriter derrière un genre de bouclier laser renvoyant les missiles.
Pour commencer, j’ai décidé de tenter le robot plus fluet, en grand amateur de mobilité. Même si j’ai eu la chance de trancher dans le lard (ou plutôt dans le moteur) de mon estimé collègue, la vitesse et la nervosité de mon poulain m’ont semblé de bien maigres atouts face aux mastodontes qui avaient trouvé grâce aux yeux de nos ennemis. D’emblée, le mécha medium m’a paru beaucoup plus balèze, ses projectiles explosifs trouant le blindage de ses opposants sans trop de problème, ce qui m’amène d’ailleurs à penser qu’il serait peut-être le moins équilibré des trois.
« Mechassault was here »
Terminant mon pèlerinage vers la badassitude, j’ai clôt la partie en essayant le dernier titan. Malgré sa lenteur, qu’il compense par sa Gatling, la bête est finalement plutôt fun à jouer et pas si crispante quant à ses mouvements.
Le rendez-vous s’est hélas soldé par une défaite, il s’en est fallu d’un cheveu, pour ma part. Même si Hazard Ops n’est pas un canon de beauté, la multitude de modes de jeux, tant PvP que PvE, plus délirants les uns que les autres, à l’image de l’un d’eux où plus le joueur fait de kills, plus sa tête grossit, le transformant en une cible de plus en plus facile, contenteront l’amateur de TPS de tout poil, d’autant plus qu’il ne s’agit cette fois pas d’un pay to win. Dans notre cas, c’est le sourire aux lèvres que nous avons quitté le stand d’Infernum.
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