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The Expendables 3

Publié le 24 août 2014 par Bigreblog

Bonjour mes ptits Bigronautes! Je sais, cet article est en retard d’un jour, mais que voulez-vous, hier, j’étais juste un peu beaucoup excitée par le retour de mon Dr Who préféré (et je pense bien faire un ep by ep pour cette saison, on verra si je suis motivée tout-à-l’heure).

Bref, en attendant, je suis donc allée voir le film le plus burné de l’année, dernier-né et dernier tout court d’une trilogie qui partait comme un foutage de gueule mais qui finalement s’est avéré être une super bonne idée. ;)

Alors ‘Allons-y Alonso’ et parlons un peu de The Expendables 3.

Pas de spoilers. Mais en même temps, c’est pas difficile pour un film pareil. ;)

Ce troisième opus reprend un petit temps après le deuxième. Les Expendables sont en effectif réduits après que plusieurs de leurs membres aient quitté le navire. Ne restent plus que Barney, Christmas, Gunner, et Toll Road. Ces quatre gaillards sont chargés par la C.I.A. de ramener un criminel de guerre à La Haye pour qu’il soit jugé. Ils s’épaulent alors d’un ancien, Doctor Death. Sauf qu’il apparait que ce criminel de guerre est Conrad Stonebanks, ancien Expendable. Et Barney décide alors pour la sécurité de ses hommes de les remplacer par des recrues plus jeunes…pour le meilleur comme pour le pire…

Ce scénario est presque meilleur que celui des deux films précédents. Je dis ‘presque’ parce que nous sommes tous d’accord que le scénario est loooooin d’être le plus important dans cette franchise. Mais au moins, ici, on aborde un peu de psychologie de personnages avec Barney qui décide de larguer son équipe plutôt que de les perdre. Ce qui change, et ma foi, passe assez bien.

Le plus important donc, dans un film pareil, c’est le casting.

Passons rapidement sur les vieux de la vieille.

Sylvester Stallone, Jason Statham, Randy Couture, Terry Crews et Dolph Lundgren incarnent donc toujours les Expendables de base, Barney Ross, Lee Christmas, Toll Road, Hale Caesar et Gunner Jansen.

Jet Li, sous-utilisé pire que dans le deuxième opus, incarne toujours Yin Yang, mais purée, je râle mais comme pas possible de ne pas l’avoir vu plus que ça… :'(

Et Arnold Schwarzenegger interprète toujours Trench, ancien coéquipier et rival de Barney, qui ici se la joue super coooooooool… Et franchement, moi, Arnie, je suis tellement fan qu’il jouerait encore une chaise que j’approuverais. ^^

L’ancien Expendable Doctor Death, expert en lame et en parkour, est incarné par Wesley Snipes, que je connais trèèèèès bien en Blade. J’ai adooooooré la saga des Blade, alors franchement, j’étais contente de le voir se pointer. :)

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Il y a du changement à la C.I.A. Exit Bruce Willis et son Chapelle/Church (qui en prend pour son matricule, d’ailleurs), et bonjour à Harrison Ford et son Major Drummer, ex-pilote et ma foi un bon personnage bien cynique comme Harrison en a l’habitude. J’ai bien aimé ses private jokes (y en a deux impayables).

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Conrad Stonebanks, le grand méchant de cet opus, est incarné par Mel Gibson, qui joue très bien les connards (je ne le supporte pas) mais qui n’arrive quand même pas à la cheville musclée de mon JCVD national.

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Parmi les nouvelles recrues, on retrouve Kellan Lutz, qui a incarné Hercule dans The Legend of Hercules, et quelqu’un d’autre dans une franchise que je ne citerai pas pour ne pas vous donner une mauvais image de lui. Son John Smilee, ancien marine, est vraiment un bon personnage bien badass, et franchement agréable à regarder. Gniark.

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Alert! Scene stealer spotted! Alert!

Ouep, même dans un truc comme ça, il peut y avoir un personnage et/ou un acteur qui vole toutes les scènes, selon: grâce à son charisme; à son charme; ou à son potentiel comique. Je vous préviens donc que le personnage cité ajd rempli ces trois conditions.

Oui, mes amis, mes enfants spirituels, Antonio Banderas incarne Galgo, le personnage le plus timbré, le plus charmeur et le plus poilant du film. Et je pèse mes mots. Chacune de ses scènes nous font pisser de rire. Rien que ça.

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Et il faut quand même avouer que le Antonio est franchement super canon même encore maintenant. Damn!

Bref, donc, il revient quand il veut dans mon écran de cinéma.

Donc, mes ptits chéris, de la trilogie, c’est sans doute le plus spectaculaire, mais il perd un tantinet son appeal vu les répétitions vis-à-vis des précédents. Mais c’est toujours un plaisir non-contenu de retrouver nos vieux briscards en mode mitraillette. ;)

Note: 7,5/10 (scénario: 7/10 (on s’améliore un peu)jeu: 8/10BO: 6/10 - plaisir coupable: 9/10)

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