Suite à l'agression des antis lors de la non piqué de Maubourguer samedi soir, l' ONCT communique :
"La nouvelle agression dont vient de se rendre coupable le CRAC, derrière son président et ses principaux
meneurs, à l’encontre des arènes de Maubourguet, appelle une réponse judiciaire à la mesure des faits et des
multiples récidives constatées.
Depuis des semaines, sur son site, le CRAC appelait à un « rassemblement citoyen », précisant qu’il n’en était
pas l’organisateur mais qu’il se bornait à relayer l’information.
Au regard des évènements, de la présence sur place de ses principaux meneurs, de l’interpellation puis du
maintien en garde à vue de son président, et de la revendication des troubles par son vice président, le mensonge
est aujourd’hui avéré, ce qui permet de démontrer que derrière toutes les « actions citoyennes » organisées cet
été se cache le même groupuscule d’une dizaine de personnes.
À Maubourguet, ils étaient seize à envahir la piste, mais leur propagande évoque une « centaine de
manifestants ». Le mensonge, là encore, répond à la nécessité pour le CRAC d’apparaître comme la seule force
d’intervention susceptible de regrouper les militants animalistes, à un moment où il est de plus en plus isolé et où
son président est critiqué pour ses méthodes jugées violentes et ses échecs répétés.
Enfermé dans une logique judiciaire qui ne laisse aucun doute sur l’avenir qui l’attend, le président du CRAC
espère sortir de l’impasse en acquérant le statut de martyr de sa cause.
L’action de Maubourguet, qui reproduit celle de Rion l’an passé, mais sans la logistique qui avait permis aux
gros bras parisiens et belges de l’alter mondialisme radical de participer à l’opération, avait pour unique objectif
d’offrir une nouvelle vitrine médiatique au président du CRAC en lui permettant de dénoncer les supposées
violences policières dont seraient victimes les manifestants.
Malheureusement pour lui, interpellé durant l’opération, il a passé en garde à vue les heures suivantes, et n’a
donc pas pu bénéficier de l’exposition médiatique personnelle sur laquelle il comptait pour redorer son blason et
faire taire son opposition.
Il lui reste maintenant à affronter une nouvelle fois les conséquences de ses actes et à répondre des faits
incriminés, ainsi que des plaintes déposées par la mairie de Maubourguet et le Club Taurin organisateur de la
manifestation : non respect d’un arrêté municipal, troubles à l’ordre public, outrage à autorité et rébellion,
entrave à la liberté de travail et culturelle, mise en danger de la vie d’autrui, dégradation de biens publics, etc…
Une banale affaire de délinquance ordinaire qui s’ajoute à de nombreuses autres dont les instructions seront
bientôt closes et les faits prochainement jugés.
L’Observatoire National des Cultures Taurines, dont les avocats suivent tous ces dossiers, tient à féliciter une
nouvelle fois les aficionados pour leur tenue exemplaire. En ne répondant pas à la provocation et en laissant à la
Force Publique le soin de maintenir l’ordre comme elle le fait de manière parfaite depuis le début de la saison, ils
ont montré une nouvelle fois leur sens des responsabilités.
Dans l’intérêt de la démocratie et de l’ordre public, il est maintenant nécessaire que la Justice soit rendue et que
les atteintes discriminatoires contre une culture légitime et ceux qui la partagent soient sévèrement punies"