Originally posted on Some kind of unreal music:
Je vais vous faire un aveu : j’ai de plus en plus peur d’écrire, tant certains événements récents et tragiques m’enlèvent toute inspiration quand il faut parler de ce qui me tient le plus à cœur : la musique. En effet, mon père, celui qui m’a initiée à mes références musicales les plus classes (classique, jazz, blues, rock français, musique brésilienne…), s’en est allé vers d’autres cieux il y a maintenant trois mois. Certes, notre relation était ce qu’elle était, mais à l’instar de mes yeux clairs et de mes cheveux noirs, je ne peux désormais renier le fait qu’il m’ait transmis cette passion dévorante que Le Chevalier entretient désormais à coup d’exégèse.
Désolée donc de plombler l’ambiance, d’autant plus que j’ai encore le cœur endeuillé. Alors, comme toute personne en deuil et en colère, je me suis mise à réfléchir. De fil en aiguille, ma réflexion s’est transformée en fantaisie uchronique…
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