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179 – trou noir et rasoir d’ockham

Publié le 26 août 2014 par Jeanjacques

L’ARTICLE

L'univers a tellement de trous noirs qu'il est impossible de les compter. Il peut y avoir 100 millions de ces objets astraux dans notre seule galaxie. Presque tous les trous noirs se répartissent en deux catégories: grand, et colossal. LES ASTRONOMES SAVENT QUE LES TROUS NOIRS ALLANT D'ENVIRON 10 FOIS A 100 FOIS LA MASSE DE NOTRE SOLEIL SONT LES VESTIGES D'ETOILES MOURANTES, et que les trous noirs super massifs, plus d'un million de fois la masse du soleil, habitent les centres de la plupart des galaxies.
Mais dispersés à travers l'univers comme des oasis dans un désert quelques trous noirs sont d'un type plus mystérieux. Allant de cent fois à quelques centaines de milliers de fois la masse du soleil, ces trous noirs de masse intermédiaire sont si difficiles à mesurer que leur existence même est parfois contestée. On sait peu sur la façon dont ils se forment Et certains astronomes se demandent s’ils se comportent comme les autres trous noirs.
Maintenant, une équipe d'astronomes a réussi à mesurer avec précision - et confirment  l'existence d’un trou noir environ 400 fois la masse de notre soleil dans une galaxie à 12 millions d'années-lumière de la Terre. Le rapport de l'Université du Maryland a été publié en ligne le 17 Août dans la revue Nature.
                            https://www.youtube.com/watch?v=TSWZI2oUgnI&list=UUAY-SMFNfynqz1bdoaV8BeQ

COMMENTAIRES

Pour la science d’aujourd’hui, l’univers demeure plein de mystère et rempli d’objets étranges dont la connaissance serait par essence complexe et supposerait la mise en œuvre de théorie et de calculs extrêmement sophistiqués. Nous avons proposé ici un principe simple qui est celui justement de la simplicité initiale des composants de base, la complexité résultant de leur infinie combinaison. Nous avions pris pour exemple les 4 lettres de l’alphabet génétique à partir desquels l’extrême diversité du vivant est rendu possible. Une formulation autre peut s’énoncer : « les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables. »  On aura reconnu fameux principe dit du « rasoir d’Ockham qui peut s'exprimer aussi par la phrase « Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? ».

Appliqué à la compréhension des trous noir, ce principe d'économie ou principe de parcimonie revient à considérer que leur composition n’est en rien étrange et mystérieuse et que nous avons affaire à de la matière ordinaire. Comme est assez commune et connue la loi de l’attraction qui tend à rapprocher toujours plus les corps célestes. Enfin, nous savons qu’un astre nait très chaud et que sa température ne cessera de décliner jusqu’à devenir un corps froid et mort.

Ces trois constats d’évidence sont suffisants pour comprendre la nature d’un trou noir au centre des galaxies. Contrairement à une thèse admise par beaucoup, une galaxie ne surgit pas déjà constituée mais résulte d’une très lente agrégation des astres gouvernée par cette loi de l’attraction. Dès lors, un trou noir est le résultat ultime de cette lente concentration lequel devient d’autant plus attractif qu’il regroupe une quantité plus grande d’astres éteints.

Il se met à rayonner lorsque sa puissance d’attraction détruit et enflamme les astres qui s’y précipitent, ce qui a pour effet de déclencher des explosions en série aboutissant à la destruction totale des astres composant le trou noir. Nous avons affaire à une véritable apocalypse, à la fin d‘un monde qui et celui d’une galaxie entière. Ainsi, par cette procédure la matière se transforme en rayonnements lesquels retournent à la prématière originelle et ainsi se trouve justifié le CYCLE de L’UNIVERS mort et renaissance de la matière. (À l’opposé de la théorie du big bang, ce n’est pas l’univers dans sa totalité qui nait et disparaît mais seulement, si on peut dire, chaque galaxie).

Comme on le constate, pour analyser les principes fondamentaux du fonctionnement de l’univers il n’a pas été utile de recourir à des objets exotiques et encore moins à la sophistication mathématique. On peut alors se demander POURQUOI de telles vérités si simples ne sont pas admises par la communauté scientifique qui se perd dans des hypothèses les plus invraisemblables. C’est que la formation d’un trou noir implique des temps d’agglomération jouant sur la centaine de milliards d’années que suppose le refroidissement des astres et leur plongée vers ce centre galactique. Nous assez donc très loin des pauvre 13.7 milliards d’années de l’âge supposé de notre univers. C’est parce que la conception judéo-chrétienne impose un univers créé, daté et limité dans le temps que toute notre cosmophysique se rend incapable de comprendre les principes qui le gouvernent.


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