(Remarque. Ma contribution porte sur l’efficience du changement, j'apporte des outils, une expérience… qui permettent de le faciliter, mais mon rôle n'est pas de le provoquer.)
Par ailleurs, c’est cette « in quiétude » qui fait que son équipe trouve le leader crédible ou non. 2 raisons pour cela : elle le rend « prévisible » et prouve sa motivation pour l’intérêt commun.
Cela a au moins deux conséquences :
- Un leader doit concevoir le changement qu'il veut mener en fonction d'une préoccupation à long terme.
- Pour des sujets importants mais de plus faible « in quiétude » pour lui, il doit trouver des relais « d’in quiétude », c’est-à-dire relier le projet à des questions qui préoccupent les membres de son équipe. (D’où l’importance d’identifier des sous-projets à fort enjeu.) Le rôle du leader change. Il doit alors « maîtriser » le changement qu’il a lancé. Henri Bouquin disait « organiser l’autonomie ».