Il n’y a pas de virage libéral au PS. Les divergences dans le parti sont tout à fait normales et font partie du débat démocratique. Il faut avoir confiance en notre premier ministre, un homme énergique et tellement bienveillant envers l’humanité souffrante qui agit pour l’intérêt collectif. Il n’y pas du tout de risques de division au PS, aucune querelle, seulement de la sur-interprétation de la part de médias un peu trop fébriles… D’ailleurs, les frondeurs n’existent pas, ou si peu. Et Christiane Taubira ne leur a jamais rendu visite. L’université d’été du PS à La Rochelle se passe très bien, tout à fait sereinement, dans le meilleur des mondes possibles. Et puis, nous dit Michel Sapin, "Même ceux qui ne sont pas d’accord avec nous disent qu’ils sont satisfaits que les choses soient claires». Le PS est un grand parti populaire fièrement ancré à gauche.