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Deep breath (8×01) ~ Into the Dalek (8×02)

Publié le 08 septembre 2014 par Bigreblog

Coucou mes Bigronautes adorés!

Je l’avais annoncé, certes sans grande conviction, mais après l’épisode de ce samedi, il fallait que je me sorte les doigts de là où vous savez et que je les fasse, ces review episode by episode de la nouvelle saison de Dr Who. Notamment donc parce que l’épisode de samedi était une pure tuerie (et est probablement devenu easy l’un de mes préférés toutes saisons confondues); mais aussi parce que nombre de mes copines Whovian ne sont pas encore tout à fait convaincues par Peter Capaldi.

Je vais être claire, nette et précise: moi, il m’a eue à peu près direct après sa première réplique. XD Je suis comme ça. ;)

Evidemment, faut pas déconner, spoilers alert!

Deep breath:

Ce premier épisode de saison commence donc par l’apparition mystérieuse d’un T-Rex en plein Londres de l’époque victorienne. A l’intérieur de sa bouche: le TARDIS. Et si notre nouvellement régénéré Docteur ne sait pas très bien comment il est arrivé là ni trop qui il est, ce sont surtout de très violentes et mystérieuses disparitions qui vont le faire enquêter…mémoire ou pas…vêtements ou pas.

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Bon, ne soyons pas chèvres, OUI, il est toujours délicat et super difficile d’introduire un nouveau Doc sans faire que tous les fans et groupies du précédent ne hurlent ou crient au scandale. C’est dans ces cas-là que je serais – presque – heureuse que Steven Moffat soit aux commandes. Presque, j’ai dit. ;)

Peter Capaldi, certes, ne sait pas trop réitérer l’exploit de son prédécesseur Matt Smith qui nous avait claqué à la face dès son premier épisode, le bien nommé The eleventh hour. Mais je ne sais pas, quelque chose dans le jeu ou dans le regard de ce mec a fait que personnellement, j’ai craqué assez vite.

Il faut dire que si Eleven était gentiment barré à sa façon, Twelve est complètement et irrémédiablement cinglé. Ouep, cin-glé. Avec la rage et la mauvaise humeur qui vont avec. Et je sais pas vous, mais moi, un Grumpy Docteur, ça m’avait manqué depuis Nine. :)

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Notre Grumpy Docteur commence donc en mode cinglé, régénération oblige, et ce bon vieux Twelve fait aussi ce que Eleven aurait dû faire des années auparavant: rejeter Clara Oswald, cette espèce de quiche sans cervelle qui a osé remplacer ma Amy chérie et mon Rory d’amour. Nope, demoiselle, il n’en a plus rien à battre de ton joli minois, je sais pas si tu as remarqué, il est légèrement plus âgé que le précédent, donc pour la drague, tu repasseras.

Oui, ces scènes où elle s’entête à ne pas le reconnaitre parce que selon elle c’est un bébé sont pathétiques à loisir. ESPÈCE DE GRELUCHE, IL A 2000 ANS!

Ça c'est moi à chaque fois que cette connasse ouvre la bouche...

Ça c’est moi à chaque fois que cette connasse ouvre la bouche…

Je citerai aussi Madame Vastra, Jenny Flint et Strax que j’ai eu le bonheur de retrouver. Ces trois imbéciles sont juste savoureux (et on a eu un baiser lesbien et inter-races, si c’est pas mignon. ;) )!

Mais bon, voilà, le but de ce presque pilot est quand même d’introduire un nouveau Doc, et quel Doc! Oui, je vous l’ai déjà dit, j’ai craqué pour Twelve, son cynisme, ces blagues à la con et ses manières de Grumpy Doctor. Mais bon, voilà, j’ai sans doute été polluée – ou happée, au choix – par Peter Capaldi qui a donc un de ces charmes tel que maintenant, je m’avoue avoir un crush dessus. Je précise qu’il a l’âge d’être mon père. Mais soit. Ignorons ce passage où je craque encore pour des hommes bizarres (mais bordel, je suis la seule à le trouver craquant?)…

Who wants to come inside my snog-box?

Who wants to come inside my snog-box?

Voili-voilou pour ce premier épisode certes moins réussi que The eleventh hour, mais qui fait plaisir aux mirettes et aux zygomatiques dans le même temps. ;)

PS: Sans oublier un caméo en fin d’épisode qui vous fera tous et toutes pleurer à chaudes larmes…rien que ça…

Into the Dalek:

Comme le titre l’indique, cet épisode marque le retour des nemesis tant adorés de notre Docteur: les Daleks. En pleine guerre entre les humains et ces aliens terribles et indestructibles, un petit vaisseau fait appel au Docteur pour les aider à "réparer" un Dalek. En effet, l’un d’entre eux, que le Doc a vite fait de surnommer Rusty, semble avoir…de bonnes intentions. Et grâce à un procédé de miniaturisation, un petit groupe parvient à entrer dans le Dalek pour tenter de réparer une fuite de fluide radioactif…

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Je vais vous le dire tout de suite: je n’ai pas franchement aimé cet épisode, mais je ne l’ai pas détesté non plus. En fait, c’est kif-kif.

Le problème, je pense, c’est que rentrer dans un Dalek, c’est un peu LE truc à ne jamais faire, qui que l’on soit…même un putain de Timelord avec un complexe de Peter Pan… If you get my meaning…

Certes l’idée en soi est assez bonne dans le sens où il permet au Doc de se révéler comme nouvelle incarnation du War Doctor, sorte de mix entre la cinglitude d’Eleven et la colère perpétuelle de Nine. Ce que j’apprécie franchement beaucoup. Mais…

Oui, mais… Ce ‘mais’ regroupe tous ces seconds rôles qui ne servent à rien (bonjour-bonsoir à toi, Edd la Douleur, merci d’être passé); ou ces passages nawak où on avance puis on recule…

(Mais de rien, ce fut avec plaisir)

(Mais de rien, ce fut avec plaisir)

Je le répète donc une nouvelle fois: n’entrez JAMAIS dans un Dalek. C’est chiant à mourir…

(Surtout cette fille-là: Journey Blue. A part râler pendant tout l’épisode, elle fait rien de concret…)

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Voilà donc. Vous remarquerez que j’ai beaucoup moins de choses à raconter pour ce deuxième épisode que pour le premier… La faute à…

Mais pas la faute à Peter Capaldi, parce qu’une fois de plus…je craque. XD

On se retrouve plus tard dans la semaine pour la review du troisième épisode, dubbé donc "Meilleur épisode de la saison". On s’en fout qu’il en reste dix à voir. :p



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