Promoteurs forcenés des méthodes globales, ils militent pour apprendre les mots sans en connaître les lettres, refusant avec frénésie les preuves scientifiques qui montrent la nocivité de ces approches.
Ils ont investis des places stratégiques pour répandre leur idéologie :
- E. Changeux a modelé des cohortes d’enseignants dès leur formation, ayant été professeur à l’Ecole normale, puis formatrice en IUFM.
- J. Foucambert, en inspecteur départemental, note les professeurs selon sa propre appréciation.
- Mais surtout, tous deux pèsent sur le système éducatif en tant que chercheurs à l’Institut National de Recherche Pédagogique de Paris.
Militants, ils veulent d’abord influencer les pratiques des enseignants. Ils rêvent d’égalité par la lecture…
Mais quand deux scientifiques reconnus internationalement montrent que la réalité ne veut pas suivre leur idéologie, c’est un dangereux scandale !
On en récupère aujourd’hui les fruits : 20 % des enfants entrent au collège sans maîtriser la lecture. Et l’écart se creuse, entre ceux qui ont les moyens d’apprendre à lire chez eux et les autres qui doivent se contenter de ce qu’ils trouvent à l’école.
Depuis plus de 5 ans, les Anglais, eux, ont pris une décision courageuse : ils ont pris la méthode syllabique au sérieux, et ils sont en train d’éradiquer l’illettrisme jusque dans les écoles les plus pauvres et difficiles.
Avec de telles influences, la France est loin d’y arriver.