Avec toute sa volonté, sa ténacité et sa force, l’allemand (…) aime à se mouvoir par grandes masses, il se plaît à suivre la méthode même dans les folies et la discipline lui est facile. » « Il leur est recommandé d’apprendre à vouloir et d’user de leur initiative : chacun d’eux doit se sentir une partie de l’Etat.
(L’objectif du système éducatif :) développer chez l’enfant l’esprit d’aveugle dévouement à l’Etat et à ceux qui le représentent.
Le Germain seul a droit au titre d’homme.
La discipline (…) est devenue l’âme de la nation, et cette âme a revêtu un caractère mécanique.
Magazine Société
Elisée Reclus semble avoir vu l’Allemagne comme l’antithèse
de l’idéal qu’il avait en tête (« la
lâcheté par excellence est le respect des lois ») :