La réforme des rythmes scolaires, dans sa mise en place concrète, est par bien des aspects consternante. Mais s’il y a un aspect plus consternant que les autres, ce sont bien les rythmes eux-mêmes.
En revenant à une semaine de quatre jours et demi, le ministère de l’Éducation nationale se devait d’apporter sa touche de modernité pour ne pas donner l’impression d’un retour au statu quo ante : c’est ainsi qu’il a imposé – contre toute logique – le mercredi matin comme seule demi-journée conforme à l’intérêt de l’enfant…