…épuisant, exotique, rythmé et sympatoche.
Berimbau et pandeiro, instruments caractéristiques de la pratique ouvrent le cours, et accompagnent un chant brésilien marin, à base de paroles simples et compréhensibles “je vais pêcher des poissons dans la mer”. Jusqu’ici, tout va bien.
L’entraînement commence alors, avec un échauffement très intense, à base de roues, d’enchaînements de coups de pieds “marteros”, “negativas”, “cocorinhas”, … Aïe je sens déjà les courbatures de demain…
Art martial afro-brésilien, il viendrait des méthodes de combat et des danses pratiquées par les esclaves africains du Brésil. Ludique, acrobatique et en musique, on pourra dire que c’est une danse. Oui mais. Comme le souligne la prof avec son accent carioca, “la capoeira, c’est la malice” : on ne quitte pas son adversaire des yeux. Car même s’il s’agit d’un jeu (jogo) où la beauté des mouvements prend une place importante, son but reste de mettre l’adversaire à terre.
Brésil, abdos, danse, baston > capoeira !
Enthousiasmant, plein de vibrations positives, de découverte d’une nouvelle culture et d’un sport très complet alliant travail de l’équilibre, esthétisme et rapiditié… Je n’aurai qu’une parole : essayez ! Et à la clé un corps de rêve !
Crédit photo : Morten Josephson
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