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Critiques Séries : Red Band Society. Saison 1. Episode 3.

Publié le 05 octobre 2014 par Delromainzika @cabreakingnews

Red Band Society // Saison 1. Episode 3. Liar, Liar Pants on Fire.


Au fil des épisodes, je suis toujours sous le charme de Red Band Society (et ce même si la série est loin d’être un succès pour FOX, je dirais même que l’on peut parler d’un immense flop). Peu importe, même si j’avais cru en cette série et que cela n’a pas collé en termes d’audience, je reste persuadé que sur la durée cela reste une belle. Preuve en est, troisième épisode, et toujours pas de signe de faiblesses pour une série qui peut osciller entre la comédie et le dramatique en une pulsation seulement. Ce que l’on va apprendre avant tout dans cet épisode c’est que le petit coup d’un soir du Dr. McAndrew n’est autre que… la mère de Jordi… qui n’est pas morte. Cela fait beaucoup d’un coup d’un seul mais en tout cas c’était assez cocasse à l’écran. Mais cela permet aussi de nous embarquer dans un voyage avec des émotions, des éclats de rire et tout un tas de bons sentiments. Sauf que les bons sentiments ne sont jamais mauvais, bien au contraire ils sont toujours au sommet de leur forme. On ne pouvait pas demander mieux de la part de Red Band Society quoi qu’il en soit. En tout cas, le spectacle reste visuellement assez efficace en son genre lui aussi, notamment car l’on cherche toujours à nous attacher à eux.

On va découvrir que la mère de Jordi l’a eu quand elle avait 19 ans et l’a finalement laissé à sa grand mère afin qu’elle s’en occupe comme il se doit. Elle va alors décidé de rester cette semaine afin d’aider son fils. Ce n’était pas bête au fond, surtout que Red Band Society parvient à créer de vrais liens. Au départ ce n’est pas trop ça et petit à petit les liens se font de plus en plus tendres. Après tout, c’est clairement ce qu’il faut faire dans une telle série, créer des liens forts comme ceux-ci. Leo tente de son côté de se réconcilier avec Emma. La relation entre ces deux là est amenée à évoluer bien plus en cours de saison. Pourquoi ? Car ce genre de choses se ressent tout de suite quand deux personnages ont des atomes crochus comme ceux-ci. Mais c’est une belle expérience qui nous permet de plonger dans un univers toujours aussi intéressant et intelligent. Après tout, c’est aussi le but d’une série comme Red Band Society. Leo est peut-être le genre de personnages dont on a envie de voir beaucoup plus au fil des épisodes, c’est certain, mais ce que j’ai aussi envie de voir c’est des personnages qui grandissent grâce aux relations qu’ils vont tisser.

J’aimerais à côté que Scary Bitch soit un peu plus amusante. On a l’impression qu’après son introduction en tant que Scary Bitch elle est devenue un vrai loukoum. En somme, le personnage le plus gentil de toute le service. Il va falloir qu’ils la rendent un peu plus méchante (même s’ils tentent parfois de faire en sorte qu’elle soit l’infirmière que l’on n’a pas du tout envie de côtoyer). Surtout quand elle surprend Kara en train de coucher avec un garçon dans son lit d’hôpital avec à côté… notre jeune garçon dans le coma (j’ai adoré sa petite réplique sur le fait qu’il n’avait pas imaginé comme ça son premier plan à trois). Ainsi, cet épisode se concentre donc aussi sur Kara et son problème avec la drogue. Si au départ elle tente de nous faire croire qu’elle n’a pas de problème (c’est toujours ce que disent les droguer), on sait pertinemment qu’il y a quelque chose. Je comprends aussi le sentiment de Dash qui a l’impression d’être délaissé alors que tout le monde se rapproche de Jordi.

Dash - « I haven't heard any code blue alarms so I'm pretty sure the amigo's not dead. »

Note : 7/10. En bref, toujours une jolie série.


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