L'art d'entreprendre start-up : "Small is beautiful"

  Je reprends les contributions de Bill Reichert / Guy Kawasaki qui travaillent ensemble dans la société de capital risque : garage.com.  Ce sont des pionniers de l'entrepreneuriat et de la nouvelle économie 2.0 au même titre que Peter Drucker qui se faisait l'apôtre du Small is Beautiful dans les années 80/90.   A cette période je m'étonnais de la glorification de ces patrons effectuant des plans sociaux notamment au niveau de l'industrie automobile où l'individu devenait une unité abstraite : l'art du chiffre 10 000 à 60 000 licenciements, nom de code "cost killer". A l'inverse je rêvais d'un autre monde. A l'image de la renaissance d'Apple et de ses idées, "Think Different", ainsi que les nouvelles opportunités qu'apportaient les jeunes pousses même si beaucoup d'entre elles ont brûlé sur le buché des vanités courant 2000. En effet il ne suffisait plus de mettre un .com pour lever des capitaux. Le temps du "nouveau marché" était révolu où néanmoins une société comme Memscap leva plus de 100 m. d'euros au printemps 2001. Ironie cette société me gratifiant de 600 € de salaire brut pour 6 mois de stage en 98/99 de quoi manger des pâtes pendant quelques temps avec du beurre et de perdre toutes mes illusions pour trouver le job rêvé dans l'immédiat. Après les bulles économiques, comme la vie du reste, sont cycliques ... sauf que les générations de crise ont intégré ces éléments là. Le "Small is Beautiful" va très bien avec le "Less is more" aujourd'hui.    Comme le montre Bill Reichert dans le monde du capital-risque et des start-up les valeurs ont changés : nous ne sommes plus là pour brûler du cash. C'est que je vous propose de voir à travers le "small is beautiful" et les 10 erreurs clés des entrepreneurs en start-up vu par Guy Kawasaki.   Start U up une série réalisée et écrite par Boost Your Brand / Romain Yvrard