Vous vous rappelez que je me pose des questions quant à l’intégrité mentale de ma voisine ? Et bien ma réflexion s’est enrichie d’un élément dont j’avais oublié l’existence…
Si ma voisine est une avaleuse de pousière professionnelle, ce n’est pas de sa faute. C’est dans les gènes.
La faute à sa créatrice. C’est triste, mais j’en veux pour preuve cette scène qui se déroule dans l’appartement situé face au mien, pile in front of the fenêtre where I fume my clopes. Bref, ma voisine est en vacances, partie je ne sais où depuis deux jours, et elle a gentillement proposé à sa mère (oui ben je suppute que c’est sa mère, mais la ressemblance physique est quand même suffisamment marquée pour que je sois sûr de moi) de venir squatter son appartement.
En bien vous savez quoi ? Maman se la joue à la Marie Pierre Casey depuis 2 jours.
Et pourtant, ma chère voisine avait pris soin de tout nettoyer avant de partir… Et bien non, ça ne suffit pas. Depuis Jeudi soir, c’est lessives, repassage, rangement, nettoyage, fignolage, rafistolage à temps complet. Pas de répit pour les bactéries.
Dire que sa fille s’était donné tant de mal il y’a quinze jours pour tout nettoyer…
En tout cas, j’ai trouvé ma future activité professionnelle : le jour où ma voisine investira une demeure plus spacieuse, je monte une boîte de nettoyage. Fortune assurée.