Which Computing, un magazine anglais, a eu la bonne idée de demander à un biologiste d’analyser
un échantillon de claviers pour vérifier leur degré de propreté. Non pas un échantillon de l’ADN du piètre comédien qui, malheureusement sévit trop régulièrement sur nos écrans français, mais un
éventail d’une trentaine de claviers d’ordinateurs de bureau pris sur un ensemble représentatif dans une société de Londres.
Nos claviers recèlent des trésors de saletés d’immondices.


Après l’étude parue il y a quelques temps déjà, qui montrait l’étendue des dégâts sur les cacahuètes des bistrots (traces d’urine, de matières fécales et j’en passe..), il ne semble pas judicieux d’aller se servir d’un ordinateur dans un cyber café au moment de l’apèro.
Pour info, ci-dessous le résultat d’un rapport de l'université de microbiologie en Arizona, daté de 2004 :

Le téléphone est l’élément le plus touché, environ 25 127 microbes y vivent par pouce carré, vient ensuite la surface du bureau sur laquelle on peut trouver 20 961 microbes par pouce carré puis arrivent le clavier et ses 3 295 germes, suivi de la souris(1676), du télécopieur(301) et du photocopieur(69).

