Contre toute attente, un 4e film s’ajoute à la série Jurassic Park, librement adaptée des romans de Michæl Crichton.
L’histoire se déroule une vingtaine d’années après les événements tragiques de 1993, alors qu’un nouveau parc ouvre ses portes sur Isla Nublar, au large du Costa Rica. Car oui, contrairement au premier film, dont l’intrigue se déroulait avant l’ouverture d’un parc thématique sur les dinosaures, celui de Jurassic World est en activité et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Jusqu’à ce que rien n’aille pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles (sinon, à quoi bon en faire un film).
Évidemment, nous en savons très peu sur l’histoire du film. Suite à l’acquisition de l’entreprise spécialisée en biotechnologie InGen après la mort de son fondateur, Masrani Global Corporation reprend l’idée de recréer des dinosaures à partir de leur ADN fossilisé et la pousse plus loin : son équipe de scientifiques produit le premier dinosaure hybride génétiquement modifié.
Pourquoi? Parce que.
Difficile de ne pas transformer la question que pose le personnage de Chris Pratt (Guardians of the Galaxy) comme suit : Vous êtes allé de l’avant et avez réalisé un nouveau Jurassic Park? Probablement pas une bonne idée.
La sortie nord-américaine du film, réalisé par Colin Trevorrow et produit par Amblin Entertainment, Legendary Pictures et Universal Pictures, est prévue pour le 12 juin 2015.