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Bambi."Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontreQue serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant..."Rassurez-vous,
je n'ai pas décidé de vous tutoyer, je ne vous connais pas assez pour
me permettre une telle familiarité, et quand bien même car, comme le
dit le poète ouzbek, il est bon de garder une certaine distance et même
deux, spatiale - sans aller cependant jusqu'à construire un mur sous
peine de sérieux problèmes de communication; les écrans qui nous
séparent font parfaitement l'affaire - et verbale - le vouvoiement.On devrait écouter le poète ouzbek plus souvent.Et puis c'est moi qui suis venue à votre rencontre, souvenez-vous."Le premier pas,
J'aim'rais qu'elle fasse le premier pas..."
Je le fis. Mais il est bon aussi, de temps en temps, de caresser le lecteur dans le sens du poil - "Que serais-je sans toi etc..." - ce que AMG, nouveau venu, et bienvenu, parmi vous, m'a indirectement rappelé cette nuit lorsqu'il m'a présenté Bambi. Pas le faon. Pas Michael. Non. Bambi le teckel.
Et c'est ainsi que profitant de ces clichés
symbolisant l'un des plus fidèles d'entre-vous et, par extension,
l'ensemble d'entre-vous tous ici présents ou non, je m'en viens en ce mardi matin pluvieux mardi matin heureux vous caresser... que dis-je que fais-je... vous saluer.