Une école à Argenteuil, la maitresse demande une minute de silence pour les victimes assassinées. Un enfant ne peut rester silencieux durant la minute, car il est pris d’une crise de fou-rire. La maitresse gronde, l’envoie dans le couloir pour faire cesser la perturbation. N’était -ce pas une belle forme d’hommage à nos humoristes disparus, une scène qui les aurait beaucoup amusés, eux qui ont toujours dénoncé les institutions, et les révérences.