Récemment, le Pape François a fait quelques commentaires assez convaincantes sur les risques liés à la provocation dans le cadre de la liberté d'expression.
Hier, un de mes amis m'a envoyé une copie PDF de la publication satirique française. Comme je m'y attendais, je l'ai trouvé de très mauvais goût et ne l’achèterai jamais.
C'est probablement une question de goût personnel. Alors que je suis convaincu que la liberté d'expression est un droit inaliénable, elle implique une part de risques et la façon dont elle est présentée, comme le fait Charlie-Hebdo, peut être très inflammatoire et entraîner un enchaînement difficile à anticiper comme ce que l'on voit dans les incidents impliquant des automobilistes irascibles.
Dans de tel cas, une bonne dose de bon sens permet souvent de limiter les dégats. Une fois de plus, ce ne est pas tellement ce que nous disons, mais bien d'avantage la façon dont nous l'exprimons.