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227 – l’interdependance des constantes physiques

Publié le 18 janvier 2015 par Jeanjacques

Les constantes physiques présentent ce caractère remarquable que ..d’être constantes. Cela signifie qu’elles assurent une base immuable à l’univers à partir de laquelle le dynamisme de celui-ci est rendu possible. Elles renvoient également au principe selon lequel le mouvement, dans son essence, doit se mesurer relativement à un état d’inertie absolu.

1 - La constante fondamentale qui détermine toutes les autres est la vitesse de la lumière C. Mais cette vitesse n’est pas à considérer « en elle-même » comme un absolu sui generis, elle doit avoir une origine, une cause qui la suscite et lui donne sa valeur. Nous pensons l’avoir trouvé dans les propriétés de la substance composant l’espace à  savoir la prématière. C’est la densité absolue de cette substance absolument rigide et continue qui autorise la vitesse C des ondes EM. Ce mouvement s’initie à partir d’un état d’inertie absolue de cette prématière spatiale pour atteindre immédiatement la vitesse également absolue C.

2 - La valeur/énergie de chaque onde produite nous est donné par la constante de Planck h. En quoi cette dernière dépend de C ? Cette dépendance est transcrite par l’équation  E = h ν = ½ mc² (qui est inexacte, il faudrait écrire pour le photon E = pc avec p = mc mais le photon n’a pas de masse). L’énergie d’une onde, d’un photon dépendant de sa vitesse, h est donc tout naturellement liée à C.

Mais cette équation signifie également qu’une masse « contient » ou se trouve constituée par une quantité ν d’ondes composant la substance photonique ayant changé d’état pour se transformer en particule. Dès lors, la valeur/énergie des particules fondamentales (p,n,e, ν) et partant leur masse va dépendre de C et de h.

Mais peut-on affirmer que les masses des proton, neutron et électron peuvent varier, qu’il ne s’agit pas de valeur constante, que selon une même vitesse de la lumière nous pourrions avoir un électron plus gros ou moins massif ? Cela signifierait que l’état de sa masse est indépendant de son milieu d’évolution dont il ne subirait pas les contraintes. Mais l’expérience en laboratoire démontre que, s’il est possible de créer des particules de masse variable, elles finissent toutes par se décomposer en photons électron ou proton.  Les contraintes du milieu et partant de l’espace de prématière dans lequel elles évoluent s’imposent donc pour donner à ces particules permanentes une valeur CONSTANTE. Cette contrainte, c’est sans nul doute la pression de la prématière rigide sur la particule à laquelle la valeur de la masse doit s’accorder *(1)

3 - S’agissant de la constante de gravitation, nous avons démontré (voir art 223) qu’elle résultait également d’une pression exercée sur la substance de l’espace sur chaque masse, de telle sorte que la constante G n’est pas déductible de  la valeur des masses mais est extérieure à celles-ci Sa nature de constante est donc totalement attribuable aux propriétés elles-mêmes invariables de la prématière.

4 – Nous avons démontré que la charge EM « e » avait pour origine le mouvement de rotation de spin des particules lequel dépendait de son énergie de masse selon le principe qu’il ne saurait y avoir d’énergie sans mouvement d’un corps. Il faut donc relier la charge à la vitesse de la lumière, ce que la constante de Coulomb réalise.

En définitive, les quatre constantes fondamentales et la valeur immuable de la masse des particules permanentes constituent les fondations d’un univers éternel permettant de concilier statisme et dynamisme. Cette base intangible de constituants représente l’UNITE même de la physique de l’univers - que certains ont vainement recherché à travers une unification problématique des forces. Cette cohérence essentielle résulte de l’existence d’une substance jusqu’à ce jour méconnue qu’est la prématière d’où toutes les valeurs des constantes et des phénomènes physiques sont issus: le visible du monde est redevable de sa part d’invisible.

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1)Le mystère demeure entier sur la compréhension précise des lois qui interdisent une gradation sans limite des masses pour ne laisser permanentes que quatre particules. Les contraintes liées à la composition variable en quarks ont été élaborées à posteriori et n’expliquent pas cet interdit qui ne saurait être interne. Dans ce cas les pièces du meccano dont on disposerait permettraient de construire toutes sortes de particules


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