LA FRENESIE
Un au revoir d’un regard qui parlait d’amour
Une brûlure dans ton être pour toujours
J’ai lu ta vie, j’ai lu tes plus fous espoirs
Des pétales de roses dans les couloirs
La veille l’impossible s’est révélé
Je t’ai croisé, à ton bras accrochée
Des questions j’en avais mille à te poser
Des réponses j’en attendais sans oser
Le destin jadis nous avait séparés
De tes sentences innocentes, éloignés
A la première danse j’ai frémi
A la dernière je me suis blottie
Une émotion forte nous a envahis
J’étais bien comme un vrai paradis
Danse avec moi, frénésie de nos pas
Tourbillons sur des airs de là-bas
Nos mains se sont cherchées
Tout savoir, tout connaitre
Rien ne devait disparaître
Dans un même lit, allongés
Caresses pures et suaves
J’aurai voulu être esclave
Attirance, plaisir, chavire
Plus encore à te dire
Que de vouloir mourir
Dans le sillon de tes désirs
AURORE -2014