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Les mensonges sur la grippe espagnole ont la vie dure... et sont lourds de conséquences!

Publié le 08 février 2015 par Plusnet
Les mensonges sur la grippe espagnole ont la vie dure... et sont lourds de conséquences! La médecine allopathique a décidément bien du mal à se remettre en question: après avoir fait inutilement peur aux gens lors de la pandémie bidon de H1N1 en agitant le spectre d'une ressemblance du virus porcin avec le virus de la grippe espagnole , voilà que se préparent pendant ce temps-là, toujours plus activement, les futures pandémies tant annoncées. Un certain pourcentage de citoyens (endormis au gaz) continuent de croire que l'establishment médico-scientifique veille à leur meilleure sécurité en étudiant les moyens les plus efficaces de gérer les risques infectieux...
 
Pourtant, il s'avère en réalité que le virus de la grippe espagnole n'était pas le virus en soi/ à lui seul hypervirulent qui a été dépeint mais que ses conséquences les plus funestes étaient dues au traitement tout à fait inadapté qui était alors préconisé par la médecine classique, à savoir l'aspirine à haute dose (considérée comme anti-douleur anodin). Ce traitement par aspirine a en fait favorisé des pneumonies bactériennes secondaires qui constituent la véritable cause des décès. Le Dr Taylor de Philadelphie déclarait à l'époque: " Certains peuvent résister à l'aspirine, d'autres peuvent résister à la grippe, mais personne ne peut résister aux deux". L'excellent article de Nexus qui évoque les faits liés à la grippe espagnole poursuit: "De 1950 à 1980, des milliers de décès d'enfants souffrant de grippe et d'une autre affection, le syndrome de Reye, sont restés inexpliqués jusqu'à ce que l'acide acétylsalicylique (= aspirine) ait été identifié comme le facteur principal".
 
Grippe espagnole de 1918 à MontréalGripe espagnole de 1918 à Montréal
 
En comparaison, les homéopathes qui traitaient les patients atteints de grippe à l'époque et qui ne recouraient pas à l'aspirine mais à des remèdes comme GELSEMIUM ou BRYONIA, obtenaient des taux de décès 10 à 30 fois inférieurs  (cf pp 14 à 18 dans le lien précédent + aussi ici), ce qui montre bien l'erreur flagrante de la médecine officielle qui reste hélas la seule à imposer ses prétendues "solutions" (= VACCINS +++ et antiviraux) dans le cadre de la préparation aux prochaines pandémies tant attendues. Il faut évidemment être assez aveugle au vu de ce qui est rappelé ci-dessus pour ne pas s'inquiéter de ce monopole idéologique et pratique que la médecine allopathique autoritaire exerce sur le choix de ces prétendues solutions qui risquent à tout moment d'être imposées par la force au nom, bien sûr, du prétendu "plus grand Bien de tous"!
 
Ne pas tirer les leçons des erreurs anciennes est grave, s'entêter dans l'aveuglement et l'idéologie est grave et menace littéralement la santé de milliards de gens sur cette terre. Les prétendus experts qui ne cessent de recommander la conception, la distribution et l'achat de nouveaux vaccins et de nouveaux antiviraux doivent être considérés pour ce qu'ils sont et avec la plus grande circonspection: comme des personnes éminemment liées au monde de la pharmacie et dont l'étroitesse de vue quant à l'éventail possible des meilleures solutions est liée au contexte socio-éducatif dans lequel ils ont évolué. N'oublions pas que la médecine allopathique et ses effets est la TROISIEME cause de mortalité dans un pays comme les Etats-Unis, juste derrière les maladies cardiovasculaires et le cancer, avec plus de 225 000 décès annuels! Si on fait un petit "tableau" des dégâts collatéraux de la médecine officielle aux USA  (basé sur les données d'une étude officielle parue dans The Journal of American Medical Association (JAMA) sous la référence suivanteStarfield, B. (2000, July 26). Is US health really the best in the world? Journal of the American Medical Association, 284(4), 483-485.), on arrive aux chiffres suivants:
 
 
- 12 000 décès dus à des opérations chirurgicales inutiles
- 7000 décès dus à des erreurs médicales dans les hôpitaux
- 20 000 décès dus à d'autres erreurs dans les hôpitaux
- 80 000 décès dus à des infections dans les hôpitaux
- 106 000 décès dus à des effets secondaires de médicaments prescrits
 
Accéder ici à l'article du Nexus n°89 sur les mensonges liés à la grippe espagnole
Source :  AlterInfo

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