Sans doute vous souvenez-vous de certains de vos anciens réflexes sur le web, comme celui qui consistait à taper simplement dans Google le nom d’un fichier un peu douteux, suivi de la mention de Megaupload ou celle de RapidShare, pour pouvoir télécharger tout cela à fond la caisse. Pour Megaupload, le cas avait déjà été réglé. Quant à RapidShare, sa fin vient d’être annoncée…
Le poids (de l’arrestation) de Dot Kom
Le 31 mars prochain, RapidShare débranchera définitivement. Eh oui, toutes les « bonnes » choses ont une fin, et si vous avez encore des fichiers qui y sont stockés, n’attendez pas trop pour les récupérer.
C’est assez fou de voir que la plate-forme, fortement ébranlée par la mésaventure arrivée au boss de son principal concurrent, Dot Kom et son Megaupload, de crainte de s’en prendre plein les gencives, avait rapidement muté. De zone de stockage « grise », blindée de fichiers pirates, RapidShare avait tout d’abord limité les débits, puis introduit des services proches de DropBox et consorts. Seulement, dans le domaine, la concurrence était bien plus rude, et visiblement moins rémunératrice que d’afficher simplement de la pub sur des links au pavillon noir. Heureusement qu’on nous inculque que le crime ne paye pas, sans quoi, on oserait se poser des questions…
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