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Scandale scientifique : Falsification des données de température

Publié le 12 février 2015 par Plusnet
Scandale scientifique : Falsification des données de température De nouvelles données montrent que la « disparition » des glaces polaires n’est pas due à l'emballement du réchauffement climatique.
  Quand les générations futures se souviendront de la peur du réchauffement global des 30 dernières années, rien ne les choquera plus que l’importance avec laquelle les mesures de température officielle – sur lesquelles reposait finalement la panique entière – ont été systématiquement « ajustées » afin de montrer que la Terre se réchauffait bien plus que les données réelles ne le justifiaient.
  Il y a deux semaines, sous le titre Comment on nous trompe avec des données fausses sur le réchauffement climatique, j’ai écrit à propos de Paul Homewood, qui, sur son blog Notalotofpeopleknowthat, avait vérifié les graphiques publiés des températures de trois stations météorologiques du Paraguay par rapport aux températures enregistrées à l’origine. Dans chaque cas, l’évolution réelle de 60 années de données a été considérablement inversée, de sorte qu’une inclination au refroidissement est devenue une tendance marquée au réchauffement.
  Ce n’était là que le dernier des nombreux exemples d'une pratique depuis longtemps connue des experts observateurs des quatre coins du globe – l’un de ceux qui suscitent une interrogation toujours plus grande à propos de l’ensemble du dossier officiel des températures de surface.
  Suite à mon dernier article, Paul Homewood a vérifié beaucoup d'autres stations météorologiques d'Amérique du Sud autour des trois originales. Dans chaque cas, il a trouvé les mêmes « ajustements » à sens unique suspects. Ceux-ci sont d’abord le fait du Global Climate Network Historical (GHCN) du gouvernement américain. Ils sont ensuite développés par deux des principaux archivistes officiels des températures de surface, le Goddard Institute for Space Studies (Giss) et le National Climate Data Center (NCDC), qui utilisent les tendances au réchauffement pour estimer les températures sur de vastes régions de la Terre où aucune mesure n’est faite. Pourtant ce sont sur ces mêmes archives que s’appuie la croyance au « réchauffement global » des scientifiques et des politiciens.
  Paul Homewood porte désormais son attention sur la plupart des stations météorologiques de l'Arctique, entre le Canada (51 degrés Ouest) et le centre de la Sibérie (87 degrés Est). Encore une fois, dans pratiquement chaque cas, ont été effectués les mêmes ajustements à sens unique, dans le but de montrer un réchauffement d’1°C ou plus que ce qu’indiquaient effectivement les données enregistrées. Personne n’a été plus surpris que Traust Jonsson, qui a longtemps été en charge de l’étude météorologique pour l'Islande (et avec qui Homewood a été en contact). Jonsson a été étonné de voir comment la nouvelle version « élimine » complètement les « années de banquise » islandaise autour de 1970, une période de refroidissement extrême qui a presque dévasté l'économie de son pays.
  L’un des premiers cas de ces « ajustements » a été exposé en 2007 par le statisticien Steve McIntyre, quand il a découvert un document publié en 1987 par James Hansen, le scientifique (transformé plus tard en militant fanatique du climat) qui a dirigé le Giss pendant de nombreuses années. Le graphique original de Hansen montrait les températures arctiques bien plus élevées vers 1940 qu'à tout autre moment depuis. Mais comme Homewood le révèle dans Les ajustements de température transforment l’histoire de l'Arctique, le Giss a mis cela sans dessus dessous. Les températures arctiques étaient à cette époque tellement descendues, que ce qu'elles sont aujourd’hui est éclipsé par celles des 20 dernières années.
  L'intérêt de Homewood pour l'Arctique est dû en partie à ce que la « disparition » de sa glace polaire (et de ses ours polaires) est devenue si emblématique pour ceux qui essaient de nous persuader que nous sommes menacés par l’emballement du réchauffement. Mais il a choisi cette étendue particulière de l'Arctique parce que c’est là que la glace est affectée par les transgressions des eaux plus chaudes amenées par des changements cycliques dans le grand courant de l'Atlantique – cela a atteint un dernier pic il y a juste 75 ans, quand la glace de l'Arctique a reculé encore plus loin que dernièrement. La fonte des glaces n’est pas du tout due à la hausse des températures mondiales.
  Parmi beaucoup de faits plus graves, il y a pourtant la façon dont cette manipulation en bloc du dossier officiel des températures – pour des raisons que le GHCN et le Giss n’ont jamais expliquées de manière plausible – est devenue la véritable pierre d’achoppement à la plus grande et plus coûteuse panique que le monde ait connue. Cela commence vraiment à ressembler à l’un des plus grands scandales scientifiques de tous les temps.
Source :  Telegraphe

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