Les autorités gouvernementales jouant les autruches, si l'école publique était gangrenée ?

Et si, comme en Grande Bretagne où une enquête judiciaire et policière est en cours depuis 2014, au moins 25 écoles publiques étant gangrenées par la mouvance salafisto-djihadiste et par celle des Frères Musulmans, l'école publique et laïque française était larvée par l'extrémisme religieux salafisto-djihadiste ? De par le silence le plus total de nos édiles gouvernementaux et de la presse bobo a solde de la présidence de la république bananière française, la question ou les questions sont à se poser !

A l'origine, car ce sont des Eldorados qui leur servent des aides pécuniaires et sociales conséquentes sans qu'ils n'aient besoin de travailler, dès qu'ils y ont posé pied et en en faisant seulement la demande, des requêtes qui leur sont systématiquement accordées au détriment des autochtones qui ne peuvent en bénéficier, mourant d'envie de vivre en Grande-Bretagne, en France, en Belgique, en Allemagne et plus généralement en Occident, tous pays de « l'égarement et de la mécréance » plutôt que dans ceux de la « juste voie islamique », et finissant, débarquant par dizaines, centaines et milliers, eux, leurs concubines et leurs armadas infantiles, par s'y installer, les islamistes salafistes, wahhabistes et djihadistes combattent, dès leur premier jour sur un sol d'accueil qui leur est étranger, la culture et les lois de l'Occident pour lui imposer leur propre herzat religio-culturel qu'ils considèrent être comme étant une émanation des « pieux ancêtres », les salafis.

Ils profitent de la liberté de culte qui leur est offerte, par ces nations laïques, pour exiger, d'elles, des lieux de prière, des mosquées et des écoles islamiques. Même ceux qui ne fréquentaient pas la mosquée dans leur pays d'origine se mettent à s'y rendre, au point qu'on les voit déployer leurs tapis de prière en pleine rue, contribuant à provoquer des embouteillages. Certains d'entre eux déclarent même, ouvertement, au vus et sus de tous, sous le regard bon-enfant des chefs d'état, des gouvernements, des parlements, des Présidents des Conseils régionaux et généraux, des assemblées régionales et générales, des maires, - Anne Hidalgo, maire de Paris, n'a-t-elle pas porté plainte, pour propos offensants et diffamatoires, à l'encontre d'une télévision américaine qui avait étalé le fait au lendemain des attentats de Paris, en Janvier dernier, alors qu'elle n'en a pas déposé contre les extrémistes salafistes-djihadistes qui tiennent des propos identiques -, et des conseils municipaux, que des quartiers londoniens, parisiens, bruxellois, munichois... sont des « zones d'application de la charia. »

Évidemment, au nom de l'identité musulmane, dès l'inscription de leurs enfants dans les écoles laïques de ces nations, ils refusent le système d'éducation, - les britannique encourageant la liberté de pensée, les français favorisant la laïcité, etc... -, qui y est enseigné. Chose totalement inacceptable Pour ces « parangons autoproclamés d'un islam aux antipodes de la religion musulmane, une religion qu'ils combattent tout autant qu'ils s'acharnent sur les apostasiaques,... et les mécréants », de telles libertés sont contraires à leur doxa religieuse, donc totalement inacceptables. Par voie de conséquence, ils refusent que leurs enfants soient éduqués selon ces principes de la laïcité, de la libre-pensée, de l'approche rationnelle du monde, ... et de l'ouverture aux autres cultures, et ils exigent, pour leur progéniture, avec la bénédiction des gouvernements qui leur font des courbettes ou, comme en France, qui livrent des armes de guerre à leur combattants, - pour François Hollande, jugeant s'être trouvé confronté à faire un choix terrible entre un dictateur et un groupe terroriste, préférant livrer des armes aux rebelles qui méritent tout son soutien -, sur les champs de bataille syriens et irakiens, que dites écoles britanniques, françaises, belges, allemandes et occidentales préservent, en priorité et au détriment des identités autochtones, leur identité musulmane radicale et extrémiste salafiste-wahhabite-djihadiste, une identité qui sert vraiment les valeurs de l'islam et des musulmans modérés ? ou qui fait tort au premier comme aux seconds ?

Si une enquête officielle a été lancée en Grande Bretagne au sujet de chafouines menées islamistes extrémistes dans les écoles publiques, il en est loin qu'il en soit, de même, lancée une, les édiles gouvernementaux l'ont-ils supputée un seul instant, en France, en Belgique, en Allemagne et en Occident ? Cette enquête, en Grande Bretagne, a commencée à être diligentée, par les autorités, suite à des plaintes déposées par des familles musulmanes modérées qui ont dénoncé l'extrémisme qui sévissait dans des écoles publiques où les enseignants apprennent aux enfants à rejeter les non-salafistes-wahhabites-djihadistes, où ils séparent les garçons des filles, où ils y interdisent les cours de sciences, de natation, de musique, etc., en fait toutes les matières scolaires qui peuvent éduquer les élèves et les ouvrir sur le monde, et où ils ont réussi à remplacer les équipes pédagogiques par des instituteurs musulmans rigoristes qui enseignent les préceptes salafistes-djihadistes et la haine au détriment de la culture. En outre, dans 25 établissements scolaires publics anglais, des « gardiens fondamentalistes » sont au contact des enfants, et agissent comme une police des mœurs, sermonnant les élèves musulmanes et non-muslmanes qui s'habillent de manière « indécente » ou qui ne jeûnent pas, allant jusqu'à les agresser physiquement, certains allant même jusqu'à violenter les filles, et qui exigent des repas halal, des salles de prière et des endroits spécifiques pour la récitation du Coran pendant le ramadan…