Autrefois on pensait que la terre était plate, puis quand on a découvert le contraire, on a prétendu que l’univers possédait un age et une taille infinie.
Selon le modèle qui prévaut actuellement, ce dernier serait né lors du Big Bang : tout aurait commencé il y a 13.8 milliards d’années à partir d’un point infiniment dense et infiniment chaud (appelé « singularité » par les scientifiques), lequel aurait explosé, donnant naissance à l’Univers actuel.
Aujourd’hui des scientifiques n’écartent pas une nouvelle théorie : l’univers posséderait un age infini mais une taille finie.
C’est à partir de la création d’un nouveau modèle combinant à la fois les principes de la mécanique quantique et la théorie de la Relativité Générale d’Einstein que deux physiciens sont parvenus à cette conclusion.
L’Univers aurait en réalité toujours existé sous la forme d’un potentiel quantique, lequel basculerait périodiquement dans un état dense et chaud : le Big Bang.
Ce nouveau modèle exclue la possibilité d’un Big Crunch, l’effondrement final de l’Univers prédit par d’autres théories.
L’un des intérêts du modèle établie est qu’il n’a pas besoin de postuler l’existence d’une singularité, ce point qui aurait donné naissance à l’Univers tel que nous le connaissons.
Depuis toujours la singularité pose un énorme problème aux physiciens, car il s’agit d’un état dans lequel les lois de la physique ne s’appliquent plus.