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Rien ne va plus à la maison blanche

Publié le 29 mai 2008 par Hugo Jolly

Rien ne va plus pour l’administration terroriste et impérialiste états-unienne du génocidaire président George W. Bush. Son administration, comme l’ensemble de ses actions, n’ont pas valu les deux mandats, dont un possiblement volé, que la population états-unienne, cet immense prolétariat souvent ignoré, leur ont légué par la voie électoraliste.

Un ancien porte-parole, Scott McClellan, très connu pour ses propos souvent réactionnaires et primitivement largués sur la voie publique, se prépare à dénoncer l’incompétence de son président et du parti au pouvoir, le Parti Républicain, fidèle allié de nos conservateurs et de nos adéquistes conquis par la voix dumonienne.

Dans un livre intitulé “What happened: inside the Bush White House and Washington’s culture of deception” (Ce qui s’est passé: au coeur de la Maison Blanche de Bush et la culture de la tromperie à Washington), monsieur McClellan soulignera dès la semaine prochaine, un lot énorme de mauvaises décisions et de mensonges du gouvernement et du président lui-même. McClellan, un homme ayant pratiquement toujours été près de la famille Bush, un ami intime en fait, leur fait ainsi faux bond. Il en va de l’ouragan Katrina de 2005 à la guerre en Irak, n’oubliant pas de préciser la presque indifférence du génocidaire et terroriste président Bush, face aux désastres et ratées que représentent du moins, ces deux seuls évènements.

Monsieur McClellan, néanmoins complice de ces crimes qu’il dénonce, en va de sincères et très franches accusations à l’endroit de son allié et ami, monsieur Bush. “Personne ne peut savoir avec certitude comment sera jugée cette guerre dans des décennies, quand nous pourrons vraiment comprendre son impact. Ce que je sais, c’est que la guerre doit être engagée seulement quand elle est nécessaire et que celle d’Irak ne l’était pas,”.

Avec ce livre qui paraîtra la semaine prochaine, où certains de ses proches camarades ne seront pas épargnés d’être écorchés au passage de l’ouragan McClellan, ce dernier risque fort bien de terminer sa carrière comme Maxime Bernier, c’est à dire, à l’arrière scène. Le génocidaire n’a d’ailleurs pas voulu commenter le livre du “traître”.


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