Il paraîtrait...

vendredi 13 mars 2015

- qu’à la veille des élections Départementales 2015, la question affole toutes les rues : le record d’abstention sera-t-il battu ? Bon, ne tournons pas autour de l’urne, la réponse est oui. Donc, évoquons une autre question qui agite les trottoirs : doit-on rendre le vote obligatoire ? Sur la carte d'électeur, il est écrit noir sur blanc, ou plutôt blanc sur bleu vous pouvez vérifier : Voter est un droit, c’est aussi un devoir civique. Traduction : ce n’est pas, juridiquement, une obligation. Mais c’est, fortement sous-entendu, un devoir moral. L’obligation existe dans certains pays, comme l’Australie, la Belgique, la Suisse ou la Grèce. Quid de l’abstention là-bas ? Elle est très faible, bah, oui, forcément. Conclusion : pour éviter l’abstention, l’obligation s’impose. Ah, oui, oups, j’allais oublier : parce qu’il ne faut pas négliger le fait essentiel que les politiques inspirent méfiance, aversion, suspicion, défiance, dégoût, répulsion, ou rejet. C’est évidemment à prendre en compte. Quelquefois, s’il manque un élément dans la réflexion, il peut arriver, quelques fois, voire systématiquement, que ça fausse la flexérion.
- que l'Autorité européenne de sécurité des aliments estime que 45% de l'alimentation européenne contient des résidus de pesticides. On les retrouve dans les fruits et légumes. Mais aussi dans les aliments transformés. Et également dans les vins. Et puis itou dans les produits biologiques. Pour y voir plus clair, détaillons un peu : les fraises, suivies des pêches, pommes et laitues, sont les plus chargées en résidus. Pour autant, ne négligeons cette information essentielle ou même capitale : pour l'agence, il est, citons-la mot pour mot, improbable que la présence de résidus de pesticides dans les aliments ait un effet à long terme sur la santé des consommateurs. Si quelqu’un désire la définition de « improbable », qu’il m’envoie une enveloppe affranchie avec nom et adresse. Quelquefois, s’il manque un élément dans la réflexion, il peut arriver, quelques fois, voire systématiquement, que ça fausse la xéflerion.
- qu’on sait généralement qui garde les moutons, les côtes, les fous, les corps, les barrières, et les meubles. Ce sont, dans l’ordre, les bergers, des copains de Pamela Anderson, les pas râpés, les employés de funérarium, Alain et les huissiers. Mais qui garde son calme ? Pour repérer ces singulières personnes, c’est simple, il y a 7 indices. D’après une étude scientifiquement non prouvée et sans doute infondée, il, ou elle, essaie de trouver son centre, exprime sa gratitude, dort, se socialise, profite de ses jours de vacances, débranche, et, ce qui ne facilitera en rien notre enquête d’exploration de recherche de positionnement, d’identification et de reconnaissance de l’individu, elle, ou il, ne garde pas son calme tout le temps. Quelquefois, s’il manque un élément dans la réflexion, il peut arriver, quelques fois, voire systématiquement, que ça fausse la éxlieornf.