LA LEGERETE D'AIMER
Dans les confins de l’étrange
Régnant de tant de mystères
La nuit et le jour ivre
Le blanc et le noir chavirent
Un sourire d’avant-garde
Tremblante je te regarde
Espérant un de tes baisers
Pensées des envolées
Cupidité de jouvence
Délivre moi de ma transe
Frissons de joie
Frissons infinis
Tel est mon destin
Tracé par ma foi
Cœur tremblant et trébuchant
Aimant d’un regard posé
Du vrai bonheur rayonnant
Sur l'impossible d'aimer
Ô cruauté des puissants Amours
Combien de fois t'aurais-je menti
AURORE