Au nom de la lutte contre le terrorisme, le texte autorise une surveillance de masse, notamment de l'ensemble des allées et venues des Internautes sur la toile. Des pratiques qui rappellent les collectes de données personnelles auxquelles nous ont habitué les géants américains Facebook, Google, Apple et Amazon. Très en pointe sur la question des "métadonnées", le sociologue Pierre-Michel Menger, professeur au Collège de France, nous livre son point de vue sur les bouleversements que leur utilisation implique. Un article de Marianne.fr
Sarkozy n'est jamais arrivé à faire passer un tel texte. Pourtant, ce n'est pas l'envie qui a dû lui manquer.
Hollande va probablement y arriver. C'est un grand classique de la politique française: les lois les plus régressives, que la droite n'arrivait pas à faire passer, ont souvent été imposées par la gauche.
Avec sa bonne tête de benêt rondouillard, bon vivant et queutard, Hollande est un tueur. Aux dernières élections présidentielles il a tué tous ses concurrents à gauche (bye, bye D.S.K, et envoyé Sarkozy au tapis)
On vient d'apprendre que, contrairement à ses prédécesseurs qui étaient plutôt timides sur les assassinats d’État, Hollande n'a pas d'état d'âme. Tout comme son collègue Barack Obama, l'icône des peuples, qui approuve personnellement et régulièrement, des assassinats ciblés, effectués la plupart du temps par des drones télécommandés très loin de leurs cibles. Là encore, ça évite les états d'âme.
Hollande a fait sienne la devise de Voltaire: «Il n'est de plaisir plus subtil que de passer pour un sot aux yeux des imbéciles»
Il en a fait un principe de gouvernement.
Pour cette raison, dans deux ans, il risque encore de tuer tous ses adversaires. Bien sûr, ce sera mieux que Le Pen (la mégère apparemment apprivoisée) ou Sarkozy (le coq arrogant qui chante encore, les deux pieds dans la merde) mais la position de borgne au pays des aveugles conviendra parfaitement au roi du double jeu qu'est François Hollande, cet esprit pointu dans un corps rond.
Tout faire, pour que rien ne bouge, telle est l'autre devise de notre Machiavel hexagonal. Il faut avouer que depuis bientôt trois ans il a excellé dans cet exercice.
En revanche, la France sera condamnée, une fois encore, à cinq années supplémentaires d’immobilité. Ce qui ne va pas arranger la marmite en ébullition que constitue désormais notre pays.