Magazine
Je continue mes posts de désamour à l'encontre de ce magazine (voir le premier ici), je me sens en
forme en ce moment.
Donc mon coup de gueule exècre cette fois les inombrables fautes de grammaire, synthaxe, orthographe et autres coquilles qui saccagent le magazine : déjà que le contenu laisse parfois à désirer, si
la forme s'y met on ne s'en sort plus.
Petit florilège :
" Hizaki prend TOUT (/toute) cette effervescence avec une grande humilité "
" Le quatuor enchaîne les tubes et nous LIVRENT (/livre) un disque ultra énergique "
" Les quatre comptent bien venir nous faire grâce de SA (/leur) présence physique "
" Ce qu'on n'a pas forcément le temps ou le loisir de LE faire en Europe "
" Les quinze minutes d'interview PREVUE (/prévues) seront donc réduites à dix "
" Un des groupes de métal les plus INNOVATIF (????) et extrême de toute une génération "
" Nous avons déjà AVONS ECRIT (tu bégayes attention !) vingt ou trente titres "
" Et savoir s'il s'agit QU'une quête spirituelle "
" Le mot semle venir de la mythologie grecque puisque QU'Argus... (ça recommence, tu bafouilles)"
Je trouve cela proprement scandaleux quand on sait que la cible de Rock One est très jeune (d'après le courrier des lecteurs 15-16 ans). C'est justement en lisant que l'on peut s'approprier les
règles qui régissent notre langue, alors si on fausse les pistes ça devient du grand n'importe quoi.
Et moi, ça ne me plaIt pas. Toc.
J'ai de nombreuses fois tenté de joindre Pierre Veillet, directeur de la rédaction du mag, pour lui proposer mes services de relecture (ben oui, on sait jamais). Je n'ai pu que laisser des messages
sur un fichu répondeur, et bien sûr je n'ai jamais été rappelée (forcément, ça doit être dur de réaliser qu'on est une quiche, de l'admettre et de demander de l'aide). Pierre, ma proposition tient
toujours !