Un roman qui parle de quoi?

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Un roman qui parle de quoi?

Par Mélissa Lévesque

Lorsque j’ai annoncé sur les réseaux sociaux et, ici-même, sur le blogue, que j’étais en train d’écrire mon premier roman, je ne m’attendais à recevoir autant de messages d’encouragement. Et parmi ces gentilles personnes qui m’encouragent, y a aussi des curieux. Et comme j’aime les gens curieux, j’avais envie de répondre ici à la question qui m’a été posé une bonne dizaine de fois: «Ça va parler de quoi, ton roman?» Comme je suis en train de l’écrire, je ne peux pas vraiment vous faire un résumé. Mais j’ai envie de vous parler du message que je veux passer à travers ce roman destiné aux adolescents.

En fait, c’est l’histoire de Juliette, 15 ans, qui mène une vie bien ordinaire de jeune adolescente. Elle vit au sein d’une famille légèrement dysfonctionnelle, mais elle ne l’échangerait pour rien au monde, même si ses parents l’obligent à aller visiter le Nunavut avec eux, pendant sa semaine de relâche, alors que toutes ses amies vont dans le Sud. Mais un événement (que je ne vous dirai pas, même sous la torture) vient bouleverser sa petite vie tranquille et paisible. Cet événement, elle doit le tenir secret. Malgré la lourdeur de ce secret, Juliette tente de continuer sa vie. Y a de l’amitié, beaucoup. De l’amour aussi. Des relations familiales qui évoluent. Des rêves. Et beaucoup d’ambition aussi.

Bref. Ce résumé vous dévoile beaucoup de choses tout en ne dévoilant rien. Mais l’important, c’est le message que je veux transmettre. Je veux que toutes les jeunes filles qui se reconnaîtront en Juliette soient au courant que la vie n’est pas toujours rose. Je veux qu’elles sachent qu’elles auront des épreuves à traverser, des larmes à verser et des manches à relever. Mais je veux aussi qu’elles sachent que la vie n’est jamais toute noire non plus. Parce que même dans les pires moments, y a de belles choses qui se passent. En fait, je veux leur montrer qu’il y a toujours d’espoir et qu’il peut y avoir du positifs même dans les pires moments. C’est seulement une question de perception.

J’espère que les curieux seront satisfaits de cette réponse que j’ai rédigé d’un seul coup, avec mon coeur (et un peu ma tête, pour éviter de voler des «punchs»).