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The Village (TV)

Publié le 28 avril 2015 par Bigreblog

Heps la population!

Deux articles pour le prix d’un aujourd’hui, soyez heureux!

Cet après-midi, je vous parle donc d’une série dont je viens de finir la première saison. Une série estampillée BBC dessus, parce que vous savez mon amour inconditionnel pour ces machins-là.

Alors, si vous aimez les séries déprimantes mais addictives, The Village est faite pour vous!

Spoilers free!

Dans un petit village du Derbyshire, le destin de plusieurs familles sont intimement liés lorsque la Grande Guerre éclate. A travers les yeux du jeune Bert Middleton, on rencontre ainsi sa famille: son père, John, alcoolique; son frère, Joe, homme-courage; sa mère, Grace, qui porte le monde sur ses épaules; mais aussi d’autres vilageois: Gerald Eyre, l’instituteur; Martha, la fille du pasteur qui prêche la bonne nouvelle partout où elle met les pieds; ou encore Carol Allengham, la fille de bonne famille particulièrement instable…

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Quand la série a été diffusée sur la BBC, j’étais un peu dubitative. Une série sur la Guerre 14-18 et ses répercussions sur la vie des habitants du Royaume-Uni, pour moi, c’était un peu trop douloureux… Et puis, j’ai lu une triclée de bonnes critiques, et ça m’a convaincue d’enfin la regarder.

Si, durant les deux premiers épisodes, je me suis un peu ennuyée, je dois dire que le reste de la saison m’a vraiment beaucoup plu. Les personnages sont très attachants et le sujet, pour grave qu’il soit, est facilement identifiable même à notre période.

Et le casting n’est pas mal non plus. ;)

John Simm, mon Master chéri de Doctor Who, incarne John Middleton, le personnage le plus complexe de la série. Tantôt vrai connard, tantôt attachant père paumé, il est réellement excellent.

Maxine Peake, une actrice que je ne connaissais pas avant (ça arrive), est bluffante dans le rôle de Grace. Elle porte le rôle à bout de bras et est, selon moi, l’âme de la série…

Et parmi les autres, je citerai Joe Armstrong, mon ptit loup de Robin Hood (il y était Allan A. Dale), qui est génialissime; ou encore Rupert Friend, rescapé de World without end, dont le personnage est plus compliqué qu’il n’y parait…

En fait, le seul défaut que je pourrais trouver à la série, c’est Bert, un autre sale gosse dans le paysage des séries… J’aurais envie de le secouer un bon coup pour qu’il arrête ses conneries.

Bref, une série que je ne peux que vous recommander, même si elle est assez déprimante… Mais il en faut, parfois. ;)

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Note: 7/10

Cette série fait partie de mon Challenge Séries 2015

challenge séries



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