Un lieu bucolique et bien calme, si vous voyez ce que je veux dire. Je pense que les auteurs du projets avaient juste copié Zermatt en Suisse, le précurseur de cette tendance. Cinquante ans passent et aujourd'hui, Avoriaz est devenu la victime de son propre succès avec ses lits remplis à ras-bord et ses pistes désormais saturées par des hordes de skieurs et de glisseurs en tous genre.

Quand j'entends ça, je ne peux pas empêcher de penser qu'avec l'avènement de Vail Resorts à Park City, nous sommes maintenant condamnés à partager ce même avenir trop encombré. Pour éviter cela, je vais soit devoir quitter le sport, soit skier beaucoup moins ou me mettre à la peau de phoque !