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Surprise : Nouveau livre de chevet !

Publié le 31 mai 2008 par Xavaic
Dans la vie, il y a des choses que l’on ne pourra jamais recommencer : Naitre (mon traumatisme originel à cause des forceps), apprendre à marcher (les gamelles) ou à faire du vélo (les gadins) … Donner le premier baiser avec la langue ( comment s’essuyer sans avoir l’air ) ou mettre un préservatif pour la première fois ( comment avoir l’air érotique sans pouvoir l’être). Il y a ces premières fois qui ne pourront jamais se dupliquer car l’expérience est déposée et imprègne à tout jamais nos actes.
Dans la vie, il y a des choses que l’on conçoit ne jamais devoir recommencer : Décrocher son DEUG d’Histoire ( j’avoue… ), recevoir le SMIC (aïe !), se marier au « Registro de la persona » a Avellaneda et faire moins de 5 erreurs à l’examen du Code de la route (J’ai obtenu mon code le 24 février 1999, jour de mon dix huitième anniversaire. Le sort m’a fait une petite tape sur l’épaule, je le sais !) .
Mais la vie est un manège ! Pour preuve … L’étranger passe son permis de conduire. Comme ça, il pourra aller autant de fois qu’il souhaite de l’autre côté du Rhin et participer à l'Oktoberfest de Munich en septembre sans moi. Sa présence permettra très certainement de battre le record de litres de bière siroté : Je pense que l’on franchira les 7 millions de litres de bière consommés cette année grâce à lui !
Enfin … Il doit avant décrocher son permis.

Alors, depuis une semaine, je l’accompagne aux leçons de code en tant que traductrice personnelle, même si mes compétences sont peu sollicitées. Je prends moi aussi ma feuille, mon crayon de bois pour répondre patiemment aux questions que pose le code de la route. J’avoue que j’y allais gonflée de confiance : Voilà prés de 9 ans que je conduis sans jamais avoir causé d’accident ! Or, je me retrouve délictueuse, voir criminelle : Je fais plus de 20 fautes… Certes, tous le monde sait que les questions du code sont des énigmes, voire des charades qui jouent avec le bon sens ; Mais tout de même… Moi qui pensais ne jamais avoir à repasser ce maudit code, je me retrouve, aiguillonnée par ma conscience et par les railleries de mon mari, plonger à nouveau dans le marasme du livre de code…
Je suis en crise.
P*** de code…

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