Certes, les chaînes d'acier n'entravent guère plus les esclaves, pourtant elles existent toujours dans la réalité, même dans la réalité virtuelle, et souvent sous une forme pernicieuse dont vous n'avez pas conscience.
Cherchez et vous verrez que l'esclavage est inscrit en filigrane à chaque instant de votre vie. Les libertés personnelles sont conditionnées par les forces contraignantes du monde moderne.
C première lettre de chacun de mes vers de mon poème " Un homme très attachant " où cette lettre symbolise le maillon brisé d'une chaîne.
C'est à vous de les briser pour qu'elles n'emprisonnent votre bouche, pour qu'elles n'empoisonnent votre vie.
Nelson Mandela vous le dit :
" Être libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes, c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. "
Comme par exemple la liberté de respirer ? Oui, l'air un pur non polluée.
Quand vous usez et abusez du véhicule diesel qui vous transporte pour uniquement aller chercher à l'autre bout du quartier votre baguette de pain ou votre enfant à la sortie de l'école alors que vous pourriez le faire en marchant, vous privez les générations présentes et futures de respirer.
Vous finirez par être privé de la liberté d'utiliser votre voiture diesel et tenté de manifester, c'est fois à pied dans les rues, sans comprendre pourquoi une nouvelle loi entrave votre liberté de mouvement, de circuler avec votre polluante voiture.
En respectant votre environnement, chaque être vivant, faune et flore, vous respectez la liberté, une liberté d'être humain.
Je ne peux mieux dire que Victor Hugo : " Tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité ".
Charles Beaudelaire écrit, " Homme libre, toujours tu chériras la mer. ", je luis dis, homme libre, toujours tu chériras la terre, homme libre tu chériras toute la vie, qu'elle soit végétale ou animale.
Vous êtes libre de vivre, de vivre autrement, vivez autrement et la nature vous le rendra.