Ces statistiques sont basées sur la répartition suivante des maisons étudiées au Québec :
Lors des études géobiologiques des maisons, différentes dimensions sont considérées afin d’avoir une approche le plus globale de la santé de la maison :
- Les nuisances cosmo-telluriques, où différents phénomènes tels que les courants d’eau souterrain, faille, réseaux énergétiques, etc. peuvent nous affecter. Elles peuvent avoir un effet négatif lorsque les ondes cosmiques rencontrent des accidents géologiques (failles, courants d’eau), elles sont reflétées à la surface du sol et peuvent amener des distorsions. Ces phénomènes peuvent alors amener des inconforts au sein de votre habitation, ce sont des phénomènes géopathogènes. La Terre est aussi quadrillée par différents réseaux énergétiques. Les réseaux ont peu d’influence sur la santé, mais les croisements peuvent être très actifs négativement sur le plan de la santé humaine dans une maison, ou attirer des espèces d’animaux nuisibles comme les termites, fourmis, etc.; on appelle ceci un nœud géopathogène. On rencontre aussi souvent des «cheminées» dont leurs rôles sont de rééquilibrer les plans vibratoires de la terre. S’il y a une charge négative sur le lieu (points négatifs, lieu où il y a eu un suicide, meurtre, guerre, etc.), elles vont «pomper» l’énergie au maximum et épuiser le lieu.
- Les nuisances électriques et électromagnétiques produites par les activités humaines (lignes haute tension, appareil électrique, Wi-Fi, etc.). Les champs électriques peuvent affecter notre système nerveux et endocrinien, alors que les champs magnétiques, eux, perturbent le fonctionnement cellulaire, particulièrement au niveau de l'ADN, jusqu'à modifier le patrimoine génétique.
- Les nuisances de l’air tel que le CO2 que l’on rejette, les COV que l’on retrouve dans nos produits ménagers, meubles, etc. Ces différents polluants conduisent petit à petit des auto-empoisonnements insidieux. Des maladies chroniques, des affections cancéreuses. Ce sont des choses difficiles à mesurer, car c’est selon la sensibilité de la personne.
- Les influences paranormales telles que des mémoires du lieu, des objets chargés négativement, voir des entités, etc. Celles-ci peuvent différer d’un individu à l’autre suivant sa sensibilité. Ceci peut donner une sensation de mal-être, de dépression, tristesse, fatigue, etc.
Sur le nombre total de nuisances rencontrées, en regardant la répartition des nuisances, les nuisances cosmo-telluriques et les pollutions électromagnétiques sont les plus rencontrés et sont en intercorrélation. En effet, plus la maison est polluée électriquement parlant et plus on y retrouve des nœuds géopathogènes, car le réseau est un vrai buvard absorbant toutes les négativités électromagnétiques du lieu. Un lien existe aussi entre le paranormal et les nuisances cosmo-telluriques, si on trouve des cheminées sont présentes sur le lieu, il y a une forte probabilité d’avoir des mémoires négatives, voir des entités.
Analyse des nuisances
Plus de 70% des maisons au moins un nœud géopathogène et comme mentionné précédemment ce haut pourcentage est dû aux pollutions électromagnétiques. L’important est de savoir où est situé le nœud géopathogène, s’il est dans le couloir, ce ne dérange personne, par contre si il est sous votre lit, vous avez des chances d’avoir des nuits agitées ou voir des douleurs apparaîtrent mais cela dépend de chacun. Une maison sur deux est aussi touchée par un phénomène de faille, pouvant amener un risque d’avoir du radon et un niveau de radioactivité naturelle plus élevé. Les gens peuvent ressentir de la fatigue en se levant si cette faille passe sous le lit. La notion de volume bouché correspond à des anciennes cheminées bouchées ou des puits bouchés, ceci peut amener une zone négative et une plus grande ionisation positive de l’air.
Plus de 80% des maisons ont des nuisances électromagnétiques, ce qui n’est pas surprenant. Tout le monde a un Wi-Fi dans sa maison branchée 24h/24h alors qu’il suffit de la débranche la nuit pour améliorer la qualité du sommeil récupérateur. Les champs basses fréquences sont souvent dus à des problèmes de mise à la terre et plus particulièrement à Montréal où on peut dire que c’est un vrai bouillon électromagnétique sans vouloir être alarmiste. Le test du radon n’est pas fait obligatoirement, seulement s’il sort lors de notre protocole d’étude.
Ces statistiques ne reflètent pas vraiment une réalité puisque celles-ci ont été intégrées plus tard dans le protocole d’étude de maison. Mais ce que l’on peut voir assez rapidement, c’est que nos maisons respirent mal.. Et surtout en hiver où on ne peut pas ouvrir les fenêtres (bien qu’il faudrait le faire, même 1 minute…).
Les nuisances métaphysiques sont bien présentes dans nos maisons. Entre les meubles de famille ayant une mémoire, des masques tribaux ayant servi à des rituels, etc. on peut vraiment ressentir un mal-être. Les entités ont été décelées dans 30% (actuellement) des maisons, mais ce chiffre est pour monter, depuis quelque temps, elles sont plus présentes (sans nuire obligatoirement), je dirais c’est plus des âmes perdues qui ont besoin d’aide. Notre monde occidental par son aspect de plus en plus matérialiste et ce sentiment d’insécurité alimenté en permanence empêchent nos proches surement de quitter ce plan dans une grande sérénité, parfois on est amené à les accompagner si cela est dans nos cordes évidemment.
Si on regarde par région les nuisances, plus particulièrement la Montérégie et Montréal, cela est pas mal similaire dans les proportions bien que Montréal a beaucoup plus de nuisances électromagnétiques.
Pour les autres régions, ceci est à titre indicatif vu que la proportion d’étude est plus petite et moins représentative par rapport à Montréal et la Montérégie.
Benoît TramblayFondateur de l'École de la Terre -géobiologuewww.ecoledelaterre.com | [email protected]www.naturame.ca | [email protected]