
La deuxième raison, et sans doute la raison principale pour laquelle un skieur de haut niveau gagne moins d'argent qu'un cow-boy de rodéo, est tout simplement parce que la FIS reste désespérément nulle en matière de marketing sportif. Quelqu'un doit vendre les droits à la télévision et pour y arriver, il faut un produit qui soit facile à comprendre, amusant, divertissant et adapté aux média.
Cette réalité – dure à avaler – nous conduit droit à la solution qui est grosse comme une maison : Que se passerai-t-il si FIS descendait de son grand cheval et commençait à se poser la question de savoir ce qu'il faudrait faire pour « bricoler » le sport et en faire quelque chose de mieux « vendable » après des téléspectateurs ? Pourtant pas bien compliquée !