Magazine Côté Femmes

Ode Ass

Publié le 02 juin 2008 par Mawquise

Oui, chers lecteurs ectoplasmiques, je suis consciente que ce billet va créer l’émeute.

On va me vilipender dans toutes les bourgades de Gaule septentrionale, le Comte de Paris va mettre ma tête à prix pour avoir jeté l’opprobe sur les derniers Bourbons (on the rocks) et plus jamais, jamais je n’aurai l’honneur de poser mon majestic butt sur les chiottes de mon ami royaliste qui a une fleur de lys sur l’abattant de la cuvette.

(véridique. D’ici quelques temps, la photo)

Je vais révéler devant la France entière l’identité de l’homme qui me fait shaker l’underwear. Autant vous dire qu’il va falloir s’accrocher pour rivaliser. “Oh non, oh non, misère, que ça gémit dans les fermes agricoles, et moi qui voulais tellement lui proposer la botte!”.

Et bah tu te la mets sur l’oreille et tu la fumeras plus tard. La botte.

Ceci dit j’ai pas plus de chances de me taper l’Homme que toi de te taper moi. De me taper. Comment on dit putain?

Ami gérontophile bonjour, en chaud, chaud, chaud-time, celui qui transpire la testostérone par tous les pores: Alan Rickman!

Rhââââ sa mère la pute -excusez moi Marie Pétronille, je m’emporte- ce mec est d’un hot que c’en est à peine croyable. Regarde moi cette moue de petit salopard qui va t’en faire baver, coz’ qu’il est bien conscient de son sex à piles voire à barre d’uranium non modifié en ce qui le concerne.

Ah Alan, enfile ta robe de professeur de magie noire et montre moi quelques tours bien sentis avec ta baguette!

Pardon je m’égare.

Et j’ai de la référence merdique aussi, vous noterez.

Mais cette voix. THE VOICE. Le bad boy glacial à la voix de velours. Même quand tu le soupçonnes de pas avoir pris de douche depuis Valmy, genre dans Sweeney Todd, il suffit qu’il l’ouvre pour que tu aies envie d’aller fourrager dans de la nippe pouilleuse…

Cet notte doit être interrompu à cause que la Marquise nous a fait une crise de démensse toute bizar: elle est tombé à la renverse en crian “A l’âne, à l’âne”. Du coup v’la t’y pas qu’on l’a transportée jusqu’à l’enclos de Francisla, l’âne. Scusez-nous, on cause pas très bien, qu’on est que palfreniers, nous.

Signé: Arimbert et Baldaric


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