Ce matin ce n'est plus seulement des mausolées qui sont détruits, c'est tout l'espoir d'un peuple. Et c'est le poing levé que ce peuple arpente à nouveau les grandes artères des villes pour se dresser contre la violence politique.
Ce matin un homme qui défendait la démocratie est mort assassiné, un leader politique de gauche, Chokri Belaïd, un homme qui dénonçait certain parti et le régime de terreur imposé par des ligues criminelles.
Toute la Tunisie est en émoi et se soulève...